- 29 janv. 2010, 12:04
#195315
Bonjour à toutes et à tous
Une petite nouvelle, venue aujourd'hui rejoindre vos rangs...
Si je suis ici, vous en aurez bien sûr compris la raison.
Il m'a quitter. J'ai si mal. Mal dans mon coeur, dans ma chair. Je suis dans un état pitoyable.
Je ne peut m'arrêter de pleurer. Et encore, je me retiens pour ne pas hurler. Je l'ai fait, je l'avoue. J'ai hurler, à en avoir du mal à m'arrêter , à m'en arracher la voix.
Je tremble comme une feuille. Les joues trempées de mes larmes qui coulent non stop.
Je ne suis capable de rien. A part de poster ici. Plus rien n'a de sens.
J'ai tellement mal ! Il me manque à en crever !
Si je suis ici, c'est parce qu'il m'a quitter, mais je ne pourrais pas lui jeter la pierre. Je ne m'apprête pas à me flageller non, pas à dire que je suis une minable, qui ne le méritait pas, qu'il est normal qu'il soit parti. Non pas du tout.
Dans un couple on est deux. On a coutume de dire, et c'est absolument logique que si rupture il y a, ça vient forcément des deux. D'une manière ou d'une autre : Il n'y en a jamais un tout noir, un tout blanc.
Pourtant comme chacun le sait, chaque personne est différente, aucune histoire ne fait l'autre. Même quand certaines similitudes sont frappantes, chaque histoire reste unique.
Je vois juste les choses en face.
Si il n'est plus là aujourd'hui, c'est "de ma faute" . Non pas que je l'ai chercher, ou que j'ai volontairement fait quoique ce soit pour que nous en arrivions là.
Je le sais, je lui ai fait vivre quelque chose d'extrêmement dur. Je lui ai fait ressentir une des pires choses que l'on puisse faire ressentir à un homme qui aime : Je l'ai fait ce sentir inutile. Je lui ai donner le sentiment de ne pas réussir à me rendre heureuse, et, il faut bien le dire de ne pas être à la hauteur.
Je craignais que ça arrive, vraiment très fortement. Alors j'ai fait ce que je pouvais pour qu'il ne le ressente pas. Subtilement bien sûr. Je n'allais pas faire la bêtise de lui dire une telle chose. Mais les mots, les gestes, ne sont souvent rien, ne changent souvent rien. Il a fini par le ressentir. Comment pourrait-il en avoir été autrement?
J'avais beau glisser par là un : "Je suis tellement heureuse avec toi mon amour." , et d'autres choses encore... Comment mes mots et le restes auraient-ils pu être plus forts que ce qu'il voyait?
Bien sûr que je ne lui mentait pas. J'étais heureuse avec lui. Plus que je ne l'avait jamais été. Tout cet amour qu'il me donnait, avec tant de force et de sincérité. Jamais avant je ne m'étais sentie aussi aimer, aussi précieuse. Tant d'implication dans notre histoire.
Si l'on m'avait demander, pendant notre relation ce que je pouvais lui reprocher, je n'aurais tout simplement rien eu à répondre. Que lui reprocher ?
Que reprocher à un homme qui vous aime si fort, qui vous le montre chaque jour, dans ces mots oui bien sûr, mais, surtout, dans ces attentions, dans tout ce qu'il entreprend. Dans sa façon d'être, tout simplement.
Je ne fais pas ici son apologie, je me montre juste objective. Même si je le sais, il est difficile à croire que je puisse l'être dans une telle situation. Si il y a bien un point sur lequel je le suis c'est celui ci : Il m'aime, n'a en aucun cas fait l'enfoiré avec moi.
Il ne m'a pas quitter à cause de sentiments en baisse, a cause d'une autre ou quoique ce soit dans ce genre.
Il m'a quitter, parce que quoi qu'il dise, quoi qu'il fasse, rien ne s'arrangeait. Parce que les choses, n'allaient pour moi qu'en s'empirant. Il a fini par ce convaincre qu'il était, si ce n'est la cause de mes tourments, au moins un obstacle à ma reconstruction.
Là dessus il a eu tort : Il ne détenait peut être pas en ces mains le "pouvoir de me guérir", ( moi seule peut me "soigner") . Il était pourtant tant pour moi !
Il n'était pas inutile loin de là !
Une petite nouvelle, venue aujourd'hui rejoindre vos rangs...
Si je suis ici, vous en aurez bien sûr compris la raison.
Il m'a quitter. J'ai si mal. Mal dans mon coeur, dans ma chair. Je suis dans un état pitoyable.
Je ne peut m'arrêter de pleurer. Et encore, je me retiens pour ne pas hurler. Je l'ai fait, je l'avoue. J'ai hurler, à en avoir du mal à m'arrêter , à m'en arracher la voix.
Je tremble comme une feuille. Les joues trempées de mes larmes qui coulent non stop.
Je ne suis capable de rien. A part de poster ici. Plus rien n'a de sens.
J'ai tellement mal ! Il me manque à en crever !
Si je suis ici, c'est parce qu'il m'a quitter, mais je ne pourrais pas lui jeter la pierre. Je ne m'apprête pas à me flageller non, pas à dire que je suis une minable, qui ne le méritait pas, qu'il est normal qu'il soit parti. Non pas du tout.
Dans un couple on est deux. On a coutume de dire, et c'est absolument logique que si rupture il y a, ça vient forcément des deux. D'une manière ou d'une autre : Il n'y en a jamais un tout noir, un tout blanc.
Pourtant comme chacun le sait, chaque personne est différente, aucune histoire ne fait l'autre. Même quand certaines similitudes sont frappantes, chaque histoire reste unique.
Je vois juste les choses en face.
Si il n'est plus là aujourd'hui, c'est "de ma faute" . Non pas que je l'ai chercher, ou que j'ai volontairement fait quoique ce soit pour que nous en arrivions là.
Je le sais, je lui ai fait vivre quelque chose d'extrêmement dur. Je lui ai fait ressentir une des pires choses que l'on puisse faire ressentir à un homme qui aime : Je l'ai fait ce sentir inutile. Je lui ai donner le sentiment de ne pas réussir à me rendre heureuse, et, il faut bien le dire de ne pas être à la hauteur.
Je craignais que ça arrive, vraiment très fortement. Alors j'ai fait ce que je pouvais pour qu'il ne le ressente pas. Subtilement bien sûr. Je n'allais pas faire la bêtise de lui dire une telle chose. Mais les mots, les gestes, ne sont souvent rien, ne changent souvent rien. Il a fini par le ressentir. Comment pourrait-il en avoir été autrement?
J'avais beau glisser par là un : "Je suis tellement heureuse avec toi mon amour." , et d'autres choses encore... Comment mes mots et le restes auraient-ils pu être plus forts que ce qu'il voyait?
Bien sûr que je ne lui mentait pas. J'étais heureuse avec lui. Plus que je ne l'avait jamais été. Tout cet amour qu'il me donnait, avec tant de force et de sincérité. Jamais avant je ne m'étais sentie aussi aimer, aussi précieuse. Tant d'implication dans notre histoire.
Si l'on m'avait demander, pendant notre relation ce que je pouvais lui reprocher, je n'aurais tout simplement rien eu à répondre. Que lui reprocher ?
Que reprocher à un homme qui vous aime si fort, qui vous le montre chaque jour, dans ces mots oui bien sûr, mais, surtout, dans ces attentions, dans tout ce qu'il entreprend. Dans sa façon d'être, tout simplement.
Je ne fais pas ici son apologie, je me montre juste objective. Même si je le sais, il est difficile à croire que je puisse l'être dans une telle situation. Si il y a bien un point sur lequel je le suis c'est celui ci : Il m'aime, n'a en aucun cas fait l'enfoiré avec moi.
Il ne m'a pas quitter à cause de sentiments en baisse, a cause d'une autre ou quoique ce soit dans ce genre.
Il m'a quitter, parce que quoi qu'il dise, quoi qu'il fasse, rien ne s'arrangeait. Parce que les choses, n'allaient pour moi qu'en s'empirant. Il a fini par ce convaincre qu'il était, si ce n'est la cause de mes tourments, au moins un obstacle à ma reconstruction.
Là dessus il a eu tort : Il ne détenait peut être pas en ces mains le "pouvoir de me guérir", ( moi seule peut me "soigner") . Il était pourtant tant pour moi !
Il n'était pas inutile loin de là !