- 12 déc. 2009, 15:04
#180383
Bonjour à toutes et à tous (très peu de mecs ici...)
Ma vision du silence radio et comment l’appréhender.
A la base on a « atterri » ici parce qu’on est dans le déni, où on se dit : « non ce n’est pas possible ! Ça ne peut pas finir comme ça ! Je ne veux pas !»
Malheureusement cette phase de déni se doit d’être une étape dans une reconstruction post rupture, puisqu’il s’agit bien de cela non ? Se reconstruire ? Mais en venant ici et en espérant que ce ne soit pas totalement fini (le déni) on arrête le processus et on stagne, on reste dans le passé…
Faire un silence radio, c'est-à-dire couper les ponts, est ce qui arrive normalement dans toutes séparation (voir la définition du mot séparation).
Couper les ponts en dehors du cadre « JRME » c’est très difficile, parce que c’est tout se prendre sur la gueule d’un coup, sans rien pour se raccrocher, ni rien à espérer, c’est une épreuve, on pourrait comparer ça (relativement bien sur, juste pour illustrer mon propos) à la perte d’un être cher, il ne reviendra pas c’est une certitude…
Bref, pourquoi, malgré ce préambule je trouve ça bénéfique ?
Ici, sur JRME, on se laisse une porte ouverte, consciemment, on coupe les ponts, c’est dur, mais au fond du tunnel, demeure une petite lueur d’espoir, celle de la reconquête de notre ex, qui aide à tenir le coup, et nous soutient inconsciemment cette fois (c’est dur mais c’est pour la bonne cause).
Ça peut être utile au départ, mais pour en revenir au sujet de mon post, qu’au départ seulement après il va bien falloir s’en détacher…
On a tous compris une chose : l’autre ne veut pas de nous.
On a tous bien compris qu’il faut que l’expérience du passé nous serve pour l’avenir.
On a tous bien compris que la balle est dans on camp et que toutes nos gesticulations nous desserviront plus qu’autre choses (mettez-vous toujours à la place de l’autre imaginez-vous harcelée par un prétendant auquel vous n’avez rien à faire, vous êtes devenues maintenant des prétendantes envahissantes…)
Je pense qu’ici, au lieu de se soutenir en se demandant nos avis sur ce qu’on doit faire vis-à-vis de l’autre,(la réponse on l’a connait c’est RIEN) se serait plutôt de se donner des pistes pour traverser le plus sereinement possible ce tunnel pour entrevoir au fond cette fameuse petite lueur qui ne doit être celle de la reconquête de notre ex, mais celle de notre « guérison ».
Parce que considérez-le, nous sommes blessés, pas malades, blessés.
Après bien sûr la vie fera le reste, la personne saine et sereine que vous serez devenue, et « guérie » j’insiste, sera enfin disposée à vivre tout simplement.
Tout ça vous le savez, mais, ne voulez pas l’accepter, normal encore une fois, le DENI !
En conclusion, ça été dit à mainte reprises, le silence radio d’une main et dans l’autre l’objectif de changer pour retourner avec l’autre, au départ, c’est bien : ça donne le courage de se mettre en route, mais ensuite il faudra bien se délester du poids de la reconquête de l’autre et ne la considérer plutôt comme la conquête de tous les autres (et pourquoi pas lui compris).
Voilà ma petite pierre à l’édifice de notre « reconstruction ».
à méditer.
Bises à vous les filles.
Ma vision du silence radio et comment l’appréhender.
A la base on a « atterri » ici parce qu’on est dans le déni, où on se dit : « non ce n’est pas possible ! Ça ne peut pas finir comme ça ! Je ne veux pas !»
Malheureusement cette phase de déni se doit d’être une étape dans une reconstruction post rupture, puisqu’il s’agit bien de cela non ? Se reconstruire ? Mais en venant ici et en espérant que ce ne soit pas totalement fini (le déni) on arrête le processus et on stagne, on reste dans le passé…
Faire un silence radio, c'est-à-dire couper les ponts, est ce qui arrive normalement dans toutes séparation (voir la définition du mot séparation).
Couper les ponts en dehors du cadre « JRME » c’est très difficile, parce que c’est tout se prendre sur la gueule d’un coup, sans rien pour se raccrocher, ni rien à espérer, c’est une épreuve, on pourrait comparer ça (relativement bien sur, juste pour illustrer mon propos) à la perte d’un être cher, il ne reviendra pas c’est une certitude…
Bref, pourquoi, malgré ce préambule je trouve ça bénéfique ?
Ici, sur JRME, on se laisse une porte ouverte, consciemment, on coupe les ponts, c’est dur, mais au fond du tunnel, demeure une petite lueur d’espoir, celle de la reconquête de notre ex, qui aide à tenir le coup, et nous soutient inconsciemment cette fois (c’est dur mais c’est pour la bonne cause).
Ça peut être utile au départ, mais pour en revenir au sujet de mon post, qu’au départ seulement après il va bien falloir s’en détacher…
On a tous compris une chose : l’autre ne veut pas de nous.
On a tous bien compris qu’il faut que l’expérience du passé nous serve pour l’avenir.
On a tous bien compris que la balle est dans on camp et que toutes nos gesticulations nous desserviront plus qu’autre choses (mettez-vous toujours à la place de l’autre imaginez-vous harcelée par un prétendant auquel vous n’avez rien à faire, vous êtes devenues maintenant des prétendantes envahissantes…)
Je pense qu’ici, au lieu de se soutenir en se demandant nos avis sur ce qu’on doit faire vis-à-vis de l’autre,(la réponse on l’a connait c’est RIEN) se serait plutôt de se donner des pistes pour traverser le plus sereinement possible ce tunnel pour entrevoir au fond cette fameuse petite lueur qui ne doit être celle de la reconquête de notre ex, mais celle de notre « guérison ».
Parce que considérez-le, nous sommes blessés, pas malades, blessés.
Après bien sûr la vie fera le reste, la personne saine et sereine que vous serez devenue, et « guérie » j’insiste, sera enfin disposée à vivre tout simplement.
Tout ça vous le savez, mais, ne voulez pas l’accepter, normal encore une fois, le DENI !
En conclusion, ça été dit à mainte reprises, le silence radio d’une main et dans l’autre l’objectif de changer pour retourner avec l’autre, au départ, c’est bien : ça donne le courage de se mettre en route, mais ensuite il faudra bien se délester du poids de la reconquête de l’autre et ne la considérer plutôt comme la conquête de tous les autres (et pourquoi pas lui compris).
Voilà ma petite pierre à l’édifice de notre « reconstruction ».
à méditer.
Bises à vous les filles.
Modifié en dernier par Franky le 12 déc. 2009, 20:41, modifié 1 fois.