- 08 nov. 2009, 11:25
#167519
Hello tout le monde,
à mon tour de sortir mon histoire...
Mon ex est ce que l'on peut clairement qualifier de phobique de l'engagement, puisqu'il respecte le schema typique de la cour effrenée pendant les premiers mois, à être celui qui est le plus dans la relation, qui me fait vivre des moments merveilleurx, qui y met toute son énergie parce que ma confiance ne s'acquiert pas si facilement (j'ai eu des expériences traumatisantes).
Et un moment il s'est pris une claque: j'étais acquise, et je commençais même à l'aimer très sérieusement. Puisqu'il me paraissait si amoureux lui aussi. Et il a commencé à flipper. Du jour au lendemain, on est passé d'une histoire parfaite à un coup de téléphone rempli de doutes sur nous: "où on va comme ça?".
Notre relation est à distance, donc nous ne nous voyions que le week-end, toutes les 2 semaines. Donc il est venu pour que l'on discute de tout ça, il commencait même à parler de rupture. Mais je l'ai rassuré, et il m'a dit à ce moment "ne pas vouloir arrêter tout tout de suite" puisqu'il m'aimait trop. Week-end très calin, mais discussion triste et prenante, avec quelques larmes.
Deux semaines se sont passées, puis je suis allée chez lui. Il a été très distant niveau communication entre temps, et je le sentais plus ou moins distant physiquement, même s'il était toujours aussi tendre, calins, bisous et autres...
Ce week-end là il a rompu. Il m'a dit qu'entre nous c'était allé "trop vite, trop loin" et il remettait même ses sentiments en cause. Je n'ai rien dit et ai respecté sa décisions.
Sur le chemin du retour, ce dimanche, j'ai voulu garder la tête froide et haute. Mais dans le metro j'ai craqué, en face de lui, en croisant son regard. En relevant la tête je l'ai vu en larmes lui-aussi...
Puis il m'a agrippé la main, prise dans ses bras en sanglottant. Le départ fut laborieux, impossible de partir pour moi et de me laisser partir pour lui. Nous nous sommes embrassés en pleurant, il me prenait par les hanches, etc...
J'ai ensuite commencé un SR, malgrè ses sms réguliers pour prendre de mes nouvelles (il ne tenait jamais plus de 48h). Puis je l'ai appelé au bout de 4 jours pour lui dire que le lendemain je serai chez lui... Sans autre explication.
J'y suis donc allé la semaine derniere. Ca me dérangeais que tout soit aussi ambigüe... Mais ça n'a rien arrangé. Il m'a dit être totalement perdu, ne pas savoir ce qu'il se passait dans sa tête, avouer que ses sentiments avaient été submergés par la peur de l'avenir. J'ai encore pas mal pleuré, et lui était mal, se prenait la tete entre les mains, n'arrivait pas à dormir, avait des grosses périodes de bug, les yeux dans le vide.
J'ai dormi sur place pour repartir le lendemain. Là-encore nous avions le comportement d'un couple... Nous avons fait l'amour plusieurs fois, nous embrassions, calins etc. Je le sentais perdu, névrosé. En partant nous nous sommes jurés de "ne pas nous abandonner" car il ne veut pas que je sorte de sa vie. Tout comme il refuse que l'on se rende nos affaires persos, il a ma photo dans son portefeuille et porte mon écharpe...
J'ai voulu prendre ça comme une rupture définitive, et ai repris mon SR. Mais là encore il m'envoyait des message, et m'a avoué s'etre rendu sur mon blog chaque jour depuis la rupture (il y a des articles le concernant, mais il a récupéré l'adresse par ses propres moyens). Il disait "tu sais que je suis là que tu ailles bien ou mal", "tu es sure que ça va, j'ai peut-être trop squatté ton blog mais j'ai vu ton article..." etc.
Il s'agissait d'un article concernant une de mes soirées où un autre mec m'avait invitée au resto, et aurait voulu surement plus. Mais j'aime toujours mon ex et je ne suis pas allé plus loin.
Récemment nous avons eu une discussion de 1h30 au téléphone, il y a 3 jours. Il m'a suppliée de lui dire ce qu'il s'était passé avec ce mec, croyant que j'avais couché avec. Il était mal, perdu, m'a encore dit ne pas se comprendre lui-même, et il aurait voulu que je l'appelle durant cette fameuse soirée. Je lui ai dit que la rupture, son choix, impliquait certaines règles dont la prise de distance. Il m'a dit que lui "n'avait pas de règles"....
Voilà où nous en sommes aujourd'hui. Je ne sais plus trop quoi penser...
à mon tour de sortir mon histoire...

Mon ex est ce que l'on peut clairement qualifier de phobique de l'engagement, puisqu'il respecte le schema typique de la cour effrenée pendant les premiers mois, à être celui qui est le plus dans la relation, qui me fait vivre des moments merveilleurx, qui y met toute son énergie parce que ma confiance ne s'acquiert pas si facilement (j'ai eu des expériences traumatisantes).
Et un moment il s'est pris une claque: j'étais acquise, et je commençais même à l'aimer très sérieusement. Puisqu'il me paraissait si amoureux lui aussi. Et il a commencé à flipper. Du jour au lendemain, on est passé d'une histoire parfaite à un coup de téléphone rempli de doutes sur nous: "où on va comme ça?".

Notre relation est à distance, donc nous ne nous voyions que le week-end, toutes les 2 semaines. Donc il est venu pour que l'on discute de tout ça, il commencait même à parler de rupture. Mais je l'ai rassuré, et il m'a dit à ce moment "ne pas vouloir arrêter tout tout de suite" puisqu'il m'aimait trop. Week-end très calin, mais discussion triste et prenante, avec quelques larmes.

Deux semaines se sont passées, puis je suis allée chez lui. Il a été très distant niveau communication entre temps, et je le sentais plus ou moins distant physiquement, même s'il était toujours aussi tendre, calins, bisous et autres...
Ce week-end là il a rompu. Il m'a dit qu'entre nous c'était allé "trop vite, trop loin" et il remettait même ses sentiments en cause. Je n'ai rien dit et ai respecté sa décisions.
Sur le chemin du retour, ce dimanche, j'ai voulu garder la tête froide et haute. Mais dans le metro j'ai craqué, en face de lui, en croisant son regard. En relevant la tête je l'ai vu en larmes lui-aussi...

J'ai ensuite commencé un SR, malgrè ses sms réguliers pour prendre de mes nouvelles (il ne tenait jamais plus de 48h). Puis je l'ai appelé au bout de 4 jours pour lui dire que le lendemain je serai chez lui... Sans autre explication.

J'y suis donc allé la semaine derniere. Ca me dérangeais que tout soit aussi ambigüe... Mais ça n'a rien arrangé. Il m'a dit être totalement perdu, ne pas savoir ce qu'il se passait dans sa tête, avouer que ses sentiments avaient été submergés par la peur de l'avenir. J'ai encore pas mal pleuré, et lui était mal, se prenait la tete entre les mains, n'arrivait pas à dormir, avait des grosses périodes de bug, les yeux dans le vide.
J'ai dormi sur place pour repartir le lendemain. Là-encore nous avions le comportement d'un couple... Nous avons fait l'amour plusieurs fois, nous embrassions, calins etc. Je le sentais perdu, névrosé. En partant nous nous sommes jurés de "ne pas nous abandonner" car il ne veut pas que je sorte de sa vie. Tout comme il refuse que l'on se rende nos affaires persos, il a ma photo dans son portefeuille et porte mon écharpe...

J'ai voulu prendre ça comme une rupture définitive, et ai repris mon SR. Mais là encore il m'envoyait des message, et m'a avoué s'etre rendu sur mon blog chaque jour depuis la rupture (il y a des articles le concernant, mais il a récupéré l'adresse par ses propres moyens). Il disait "tu sais que je suis là que tu ailles bien ou mal", "tu es sure que ça va, j'ai peut-être trop squatté ton blog mais j'ai vu ton article..." etc.
Il s'agissait d'un article concernant une de mes soirées où un autre mec m'avait invitée au resto, et aurait voulu surement plus. Mais j'aime toujours mon ex et je ne suis pas allé plus loin.
Récemment nous avons eu une discussion de 1h30 au téléphone, il y a 3 jours. Il m'a suppliée de lui dire ce qu'il s'était passé avec ce mec, croyant que j'avais couché avec. Il était mal, perdu, m'a encore dit ne pas se comprendre lui-même, et il aurait voulu que je l'appelle durant cette fameuse soirée. Je lui ai dit que la rupture, son choix, impliquait certaines règles dont la prise de distance. Il m'a dit que lui "n'avait pas de règles"....
Voilà où nous en sommes aujourd'hui. Je ne sais plus trop quoi penser...