- 24 oct. 2009, 00:05
#161882
Bonsoir à tous!
Attention, c'est très long.
J'ai découvert cet endroit que je parcours depuis une semaine, bien évidemment parce que j'ai de même subi une rupture assez brutale. Je suis jeunot car je n'ai que 18 ans, tandis que la majorité des "victimes" si je puis dire ont au moins la vingtaine. Mais je m'explique, car je suis en ce moment en SR, mais je ne cache pas que certains jours, j'ai encore du mal à digérer ce qu'il s'est passé.
Nous nous connaissons depuis l'âge de 10 ans, et bien que nous habitions loin l'un de l'autre, nous avons toujours gardé le contact et on s'est toujours arrangé pour se voir lorsque l'occasion se présentait. On est tous les deux en France cela dit. Notre relation amoureuse a vraiment commencé à démarrer vers l'âge de 15-16 ans, ou l'on se voyait de plus en plus régulièrement et ou l'on commençait à partager énormément de choses ensemble, et à se découvrir.
Cette année et l'année dernière aussi, notre relation n'a cessé d'être de plus en plus fusionnelle. Nous étions heureux d'être ensemble, et elle oubliait les maux de son quotidien chez elle, qui n'est pas facile à supporter tous les jours. Elle me répétait tout le temps "je suis bien avec toi" et "ne m'abandonne pas".
Dernièrement, on découvrait toujours plus, elle y prenait de plus en plus de plaisir. On se voyait à chaque vacance, et je souhaitait aussi me déplacer certains week-ends pour la voir plus souvent et partager plus de moments ensemble. On se parlait presque tous les jours au téléphone, en se racontant nos journées et en rigolant. Dernièrement, je l'ai même emmené à Londres avec moi, et on a visité, on s'est amusé, jamais l'on ne s'est jamais bien senti, et elle me le montrait bien. Nous étions chez mon frère, qui vit et travaille là bas, et elle adorait mon frère, et adorait Londres, rien ne présageait du cataclysme qu'elle déclencherait (terme hyperbolique... ou pas, faut voir...). Nous étions ensuite chez ses parents, comme souvent, et force était de constater que plus nous nous rapprochions et effectuions quelques tendresses minimes librement, plus son père râlait -même elle ne comprenait pas-, et en plus de cela, nous manquions de place entre autre (impossible même de dormir ensemble). Bref, c'était encore moins simple que d'habitude. Faut-il savoir que ses parents ont un contrôle total sur elle et elle ne peux pas contester ses parents, qui dépassent parfois les bornes.
Vu ces difficultés, elle venait souvent chez moi pour respirer un peu et parce que l'on avait beaucoup plus de liberté. Elle se plaisait beaucoup.
Tel que je le raconte, notre relation était idéale. Et c'est plutôt vrai, car je ne lui trouve que peu de défauts que je n'accepte guère. Il y en a sûrement que je ne vois pas tellement, mais c'est parce que je les accepte et que vois surtout les cotés positifs. Mais elle avait quelques soucis personnel dont elle me parlais sans se cacher : elle peine beaucoup à accepter son corps. Je l'ai bien remarqué : elle refusait toujours de se montrer à la lumière, même lorsque je lui faisait ces tendresses bien appréciées par les femmes (et surtout par elle). Elle disait d'elle même qu'elle avait des jambons à la place des jambes. Il n'y a que récemment ou j'ai enfin pu la voir, ou elle "pris sur elle" selon ses propres termes et ou elle s'est montré, sans que je la force (au lieu ou l'on résidait, il n'y avait pas de volets, mais elle ne voulais pas se couvrir quand même). Elle s'est d'ailleurs montré encore plus affective que d'habitude dans ces moments. J'ai toujours essayé tendrement mais avec conviction de démentir ses propos, mais elle ne m'a jamais écouté.
Dernièrement, lorsqu'elle m'embrassait amoureusement (et elle embrassait très bien), soudainement elle s'interrompait, car selon elle, elle ne se contrôlait plus, elle devenait sauvage selon elle même. Je ne comprends toujours pas.
Tout cela pour expliquer dans quelle mesure elle a du mal à apprécier, dans une certaine mesure, son corps. Elle est encore vierge. Elle est selon ses propres mots, pas encore prête, bien qu'elle apprécie quelques plaisir qui n'en sont pas loin. Je n'ai jamais souhaité la forcer, j'attendais, rien ne servait de la forcer. Elle me le ferait savoir lorsqu'elle en aurait envie. Selon elle, je ne suis jamais là quand elle en a envie. Malgré ma grande envie, par amour, j'attendais. Bon, cela ne m'a hélas pas empêché quelques fois d'éclater en sanglots car c'est difficile. Mais je ne la forçais jamais quand même, je ne lui demandais même pas. Elle n'est pas prête du tout. Forcer est la pire des choses.
Bref, dans cet amour à distance, mais sincère et qui n'a jamais cédé à la distance, je reçois un jour un appel de sa part. Elle veut me parler, et je cite ce qu'elle m'a dit, elle ne veut plus que ça continue comme ça, elle ne veut plus vivre avec des illusions, on est trop loin, elle ne veut plus me considérer que comme son frère ou son meilleur ami...
Vous l'avez sûrement deviné... j'ai *explosé* en pleurs et en hurlements. D'habitude, je reste assez muet lorsqu'il m'arrive des trucs, mais pour le coup, un couteau planté dans le corps n'aurait pas fait mieux. Je n'arrivais pas à y croire, c'est toute une partie de moi qui s'arrachait de mon coeur, après avoir été solidement greffé à moi pendant tout ce temps.
Réaction que je n'aurais pas du faire, mais a mon avis, cela n'a pourtant rien d'anormal ni d'étonnant. Elle même a un moment a éclaté en sanglots.
Bref, j'ai bien mis trois jour pour en recouvrir. J'ai commis un second interdit, à chaud : je lui est envoyé une lettre du genre supplication. Pas énorme, mais quand même une erreur. 5 jours plus tard, elle me rappelle pour me faire comprendre que ce l'on ne pouvait vraiment pas continuer, avec un air désemparé. Je lui ai répondu immédiatement un "j'ai compris!", pas énervé mais ferme. Sa réponse : "ah...d'accord". Et on a continuer à parler normalement et aimablement. Petite gaffe : je suis un peu revenu sur notre histoire à la fin, mais c'est pas énorme".
Mon frère m'a pris en charge pour supporter ça et m'a suggérer de suivre un SR similaire à celui préconisé ici, sauf que plutôt de l'appeler, je pends de la distance et j'utilise le mail, et je lui fais juste de petits signes de temps en temps. Mais je ne sais pas quoi penser : à la fin de la première semaine presque sans contact, je lui ai envoyé un petit message sur Facebook, mais elle ne m'a jamais répondu. Après, j'ai essayé de l'appeler, elle était occupée avec sa mère (elle m'a donc répondu froidement). Le soir, elle a essayé de me rappeler, mais je n'ai pas pu décrocher.
Ses motifs apparents : la distance, des illusions, et le fait que je partes faire mes études en Angleterre (Londres précisément), accroissant la distance (elle a fait une fixation sur ces études à l'étranger, alors que je comptais aussi m'inscrire aux concours aux IUP de Sciences-politiques). Bref, elle ne m'a jamais fait pas de cela auparavant. Elle dit aussi avoir longuement réfléchit, mais personellement, j'en doute. Avant qu'elle ne m'annonce la rupture, nous nous étions pas parlé depuis quelques jours, car nous étions tous deux occupés et un peu déprimés.
Il y a maintenant une semaine que j'ai eu un appel de sa part (elle n'a droit qu'à 20 minutes par mois, donc elle m'envois un sms court pour demander si on discute, et en général je la rappelle). Je l'ai donc rappelée (trop tôt à mon avis) et on a parlé. J'étais normal, aimable, on a rigolé ensemble. A la fin, elle m'a demandée si "les filles me courraient après". Je réponds en rigolant un peu. Puis j'ai coupé court à la discussion, elle disait qu'elle était fatiguée, me faisait part de quelques soucis qu'elle avait, mais elle ne semblait pas vouloir raccrocher. C'est moi qui ai raccroché.
Avant cet appel, elle m'avait attrapé en messagerie instantanée (j'avais une conférence avec d'autres personnes du CA d'une asso) et on avait aussi discuté normalement. Elle a un peu joué avec mes sentiments à un moment car elle a eu quelque chose "qui satisfaisait son petit plaisir personnel". Je ne sais pas tellement ce que cela veut dire, mais je ne cherche pas trop.
Depuis le dernier appel expliqué au dessus, plus rien. Je vis ma vie, je vois mes amis, je fais mon boulot, je fais mes formalités administratives en tant que nouveau majeur, je m'occupe... De temps à autre, elle commente juste mon statut sur Facebook, mais je n'ose pas y réponde. Elle ne met pas beaucoup à jour son profil.
Je suis en SR depuis une semaine.
Bref, après cette longue histoire précise et peut être un peu somnifère sur les bords, je me présente et j'explique ma situation actuelle. Je vis ma vie, cela me donne aussi l'occasion de me reconstruire un peu et de regarder ce que j'ai autour de moi, et d'être ouvert à d'autres. Je suis jeune, oui. J'ai encore plein de possibilités, les rues sont pleins de célibataires aussi, certes. Je suis ouvert, puisque nous ne formons plus un couple. Mais j'ai du mal à aller vers les autres. Elle aussi d'ailleurs. Mais nous avons énormément de souvenirs et d'éléments en commun, qui se sont accumulés au fil du temps (rappel, depuis l'âge de 10 ans, et ça s'est intensifié depuis 15 ans, nous connaissons toute la famille de l'un et de l'autre, on communiquait énormément), et de fait, cela ne me dérangerais pas de la récupérer. Certes, nous avons besoin de voir du monde et d'autres personnes aussi et sans doute, mais bon. Timide et introverti sont des mots qui peuvent me coller souvent. Notre relation à distance durait jusqu'à maintenant, et l'on se voyais de plus en plus souvent, sans qu'il soit nécessairement question que je parte au Royaume-Uni (elle a du faire une fixation sur ça). Il n'y avait aucun projet précis en tête, à part qu'elle voulais bien que je m'installe avec elle.
Voilà. Si vous avez des conseils, allez-y. Je pense pouvoir aborder le sujet à l'aise. J'ai juste encore un peu de mal à abdiquer (sinon je n'aurais peut être pas posté ici). Je ne veux pas d'autres filles qu'elle.
J'ai volontairement détaillé pas mal de choses pour expliquer mon cas, et quelques particularités. Puis parler fait du bien.
PS : J'ai la hantise qu'elle tombe sur ce post... punaise...
Attention, c'est très long.
J'ai découvert cet endroit que je parcours depuis une semaine, bien évidemment parce que j'ai de même subi une rupture assez brutale. Je suis jeunot car je n'ai que 18 ans, tandis que la majorité des "victimes" si je puis dire ont au moins la vingtaine. Mais je m'explique, car je suis en ce moment en SR, mais je ne cache pas que certains jours, j'ai encore du mal à digérer ce qu'il s'est passé.
Nous nous connaissons depuis l'âge de 10 ans, et bien que nous habitions loin l'un de l'autre, nous avons toujours gardé le contact et on s'est toujours arrangé pour se voir lorsque l'occasion se présentait. On est tous les deux en France cela dit. Notre relation amoureuse a vraiment commencé à démarrer vers l'âge de 15-16 ans, ou l'on se voyait de plus en plus régulièrement et ou l'on commençait à partager énormément de choses ensemble, et à se découvrir.
Cette année et l'année dernière aussi, notre relation n'a cessé d'être de plus en plus fusionnelle. Nous étions heureux d'être ensemble, et elle oubliait les maux de son quotidien chez elle, qui n'est pas facile à supporter tous les jours. Elle me répétait tout le temps "je suis bien avec toi" et "ne m'abandonne pas".
Dernièrement, on découvrait toujours plus, elle y prenait de plus en plus de plaisir. On se voyait à chaque vacance, et je souhaitait aussi me déplacer certains week-ends pour la voir plus souvent et partager plus de moments ensemble. On se parlait presque tous les jours au téléphone, en se racontant nos journées et en rigolant. Dernièrement, je l'ai même emmené à Londres avec moi, et on a visité, on s'est amusé, jamais l'on ne s'est jamais bien senti, et elle me le montrait bien. Nous étions chez mon frère, qui vit et travaille là bas, et elle adorait mon frère, et adorait Londres, rien ne présageait du cataclysme qu'elle déclencherait (terme hyperbolique... ou pas, faut voir...). Nous étions ensuite chez ses parents, comme souvent, et force était de constater que plus nous nous rapprochions et effectuions quelques tendresses minimes librement, plus son père râlait -même elle ne comprenait pas-, et en plus de cela, nous manquions de place entre autre (impossible même de dormir ensemble). Bref, c'était encore moins simple que d'habitude. Faut-il savoir que ses parents ont un contrôle total sur elle et elle ne peux pas contester ses parents, qui dépassent parfois les bornes.
Vu ces difficultés, elle venait souvent chez moi pour respirer un peu et parce que l'on avait beaucoup plus de liberté. Elle se plaisait beaucoup.
Tel que je le raconte, notre relation était idéale. Et c'est plutôt vrai, car je ne lui trouve que peu de défauts que je n'accepte guère. Il y en a sûrement que je ne vois pas tellement, mais c'est parce que je les accepte et que vois surtout les cotés positifs. Mais elle avait quelques soucis personnel dont elle me parlais sans se cacher : elle peine beaucoup à accepter son corps. Je l'ai bien remarqué : elle refusait toujours de se montrer à la lumière, même lorsque je lui faisait ces tendresses bien appréciées par les femmes (et surtout par elle). Elle disait d'elle même qu'elle avait des jambons à la place des jambes. Il n'y a que récemment ou j'ai enfin pu la voir, ou elle "pris sur elle" selon ses propres termes et ou elle s'est montré, sans que je la force (au lieu ou l'on résidait, il n'y avait pas de volets, mais elle ne voulais pas se couvrir quand même). Elle s'est d'ailleurs montré encore plus affective que d'habitude dans ces moments. J'ai toujours essayé tendrement mais avec conviction de démentir ses propos, mais elle ne m'a jamais écouté.
Dernièrement, lorsqu'elle m'embrassait amoureusement (et elle embrassait très bien), soudainement elle s'interrompait, car selon elle, elle ne se contrôlait plus, elle devenait sauvage selon elle même. Je ne comprends toujours pas.
Tout cela pour expliquer dans quelle mesure elle a du mal à apprécier, dans une certaine mesure, son corps. Elle est encore vierge. Elle est selon ses propres mots, pas encore prête, bien qu'elle apprécie quelques plaisir qui n'en sont pas loin. Je n'ai jamais souhaité la forcer, j'attendais, rien ne servait de la forcer. Elle me le ferait savoir lorsqu'elle en aurait envie. Selon elle, je ne suis jamais là quand elle en a envie. Malgré ma grande envie, par amour, j'attendais. Bon, cela ne m'a hélas pas empêché quelques fois d'éclater en sanglots car c'est difficile. Mais je ne la forçais jamais quand même, je ne lui demandais même pas. Elle n'est pas prête du tout. Forcer est la pire des choses.
Bref, dans cet amour à distance, mais sincère et qui n'a jamais cédé à la distance, je reçois un jour un appel de sa part. Elle veut me parler, et je cite ce qu'elle m'a dit, elle ne veut plus que ça continue comme ça, elle ne veut plus vivre avec des illusions, on est trop loin, elle ne veut plus me considérer que comme son frère ou son meilleur ami...
Vous l'avez sûrement deviné... j'ai *explosé* en pleurs et en hurlements. D'habitude, je reste assez muet lorsqu'il m'arrive des trucs, mais pour le coup, un couteau planté dans le corps n'aurait pas fait mieux. Je n'arrivais pas à y croire, c'est toute une partie de moi qui s'arrachait de mon coeur, après avoir été solidement greffé à moi pendant tout ce temps.
Réaction que je n'aurais pas du faire, mais a mon avis, cela n'a pourtant rien d'anormal ni d'étonnant. Elle même a un moment a éclaté en sanglots.
Bref, j'ai bien mis trois jour pour en recouvrir. J'ai commis un second interdit, à chaud : je lui est envoyé une lettre du genre supplication. Pas énorme, mais quand même une erreur. 5 jours plus tard, elle me rappelle pour me faire comprendre que ce l'on ne pouvait vraiment pas continuer, avec un air désemparé. Je lui ai répondu immédiatement un "j'ai compris!", pas énervé mais ferme. Sa réponse : "ah...d'accord". Et on a continuer à parler normalement et aimablement. Petite gaffe : je suis un peu revenu sur notre histoire à la fin, mais c'est pas énorme".
Mon frère m'a pris en charge pour supporter ça et m'a suggérer de suivre un SR similaire à celui préconisé ici, sauf que plutôt de l'appeler, je pends de la distance et j'utilise le mail, et je lui fais juste de petits signes de temps en temps. Mais je ne sais pas quoi penser : à la fin de la première semaine presque sans contact, je lui ai envoyé un petit message sur Facebook, mais elle ne m'a jamais répondu. Après, j'ai essayé de l'appeler, elle était occupée avec sa mère (elle m'a donc répondu froidement). Le soir, elle a essayé de me rappeler, mais je n'ai pas pu décrocher.
Ses motifs apparents : la distance, des illusions, et le fait que je partes faire mes études en Angleterre (Londres précisément), accroissant la distance (elle a fait une fixation sur ces études à l'étranger, alors que je comptais aussi m'inscrire aux concours aux IUP de Sciences-politiques). Bref, elle ne m'a jamais fait pas de cela auparavant. Elle dit aussi avoir longuement réfléchit, mais personellement, j'en doute. Avant qu'elle ne m'annonce la rupture, nous nous étions pas parlé depuis quelques jours, car nous étions tous deux occupés et un peu déprimés.
Il y a maintenant une semaine que j'ai eu un appel de sa part (elle n'a droit qu'à 20 minutes par mois, donc elle m'envois un sms court pour demander si on discute, et en général je la rappelle). Je l'ai donc rappelée (trop tôt à mon avis) et on a parlé. J'étais normal, aimable, on a rigolé ensemble. A la fin, elle m'a demandée si "les filles me courraient après". Je réponds en rigolant un peu. Puis j'ai coupé court à la discussion, elle disait qu'elle était fatiguée, me faisait part de quelques soucis qu'elle avait, mais elle ne semblait pas vouloir raccrocher. C'est moi qui ai raccroché.
Avant cet appel, elle m'avait attrapé en messagerie instantanée (j'avais une conférence avec d'autres personnes du CA d'une asso) et on avait aussi discuté normalement. Elle a un peu joué avec mes sentiments à un moment car elle a eu quelque chose "qui satisfaisait son petit plaisir personnel". Je ne sais pas tellement ce que cela veut dire, mais je ne cherche pas trop.
Depuis le dernier appel expliqué au dessus, plus rien. Je vis ma vie, je vois mes amis, je fais mon boulot, je fais mes formalités administratives en tant que nouveau majeur, je m'occupe... De temps à autre, elle commente juste mon statut sur Facebook, mais je n'ose pas y réponde. Elle ne met pas beaucoup à jour son profil.
Je suis en SR depuis une semaine.
Bref, après cette longue histoire précise et peut être un peu somnifère sur les bords, je me présente et j'explique ma situation actuelle. Je vis ma vie, cela me donne aussi l'occasion de me reconstruire un peu et de regarder ce que j'ai autour de moi, et d'être ouvert à d'autres. Je suis jeune, oui. J'ai encore plein de possibilités, les rues sont pleins de célibataires aussi, certes. Je suis ouvert, puisque nous ne formons plus un couple. Mais j'ai du mal à aller vers les autres. Elle aussi d'ailleurs. Mais nous avons énormément de souvenirs et d'éléments en commun, qui se sont accumulés au fil du temps (rappel, depuis l'âge de 10 ans, et ça s'est intensifié depuis 15 ans, nous connaissons toute la famille de l'un et de l'autre, on communiquait énormément), et de fait, cela ne me dérangerais pas de la récupérer. Certes, nous avons besoin de voir du monde et d'autres personnes aussi et sans doute, mais bon. Timide et introverti sont des mots qui peuvent me coller souvent. Notre relation à distance durait jusqu'à maintenant, et l'on se voyais de plus en plus souvent, sans qu'il soit nécessairement question que je parte au Royaume-Uni (elle a du faire une fixation sur ça). Il n'y avait aucun projet précis en tête, à part qu'elle voulais bien que je m'installe avec elle.
Voilà. Si vous avez des conseils, allez-y. Je pense pouvoir aborder le sujet à l'aise. J'ai juste encore un peu de mal à abdiquer (sinon je n'aurais peut être pas posté ici). Je ne veux pas d'autres filles qu'elle.
J'ai volontairement détaillé pas mal de choses pour expliquer mon cas, et quelques particularités. Puis parler fait du bien.

PS : J'ai la hantise qu'elle tombe sur ce post... punaise...
Modifié en dernier par Dolphin le 18 nov. 2009, 11:39, modifié 3 fois.