- 08 oct. 2009, 22:54
#155433
Voilà, j'ouvre un nouveau topic face au nouvel évènement qui vient de marquer notre rupture.
Petit résumé pour ceux qui ne me connaissent pas : 7 ans de relation. Il m'a quitté il y a trois mois. Il est sorti très vite avec une gamine (17 ans, lui 25 ans) mais ça n'a pas duré longtemps (moins d'un mois). Il l'a quitté car il "voulait se remettre avec moi" et "s'était rendu compte qu'il a fait une connerie". En fait, il l'a quitté 5 jours après m'avoir révélé son existence (qui a été marqué par un accident majeur, ma rencontre avec elle, qui s'est très mal passée et qui a beaucoup marqué mon ex)... S'en est suivi 2 longs mois à espérer, attendre son retour. Il me disait "je t'aime", me demandait si je lui ferai des enfants, m'a dit que j'étais la femme de sa vie, tout le tralala quoi !!! Et puis hier, alors que je me faisais plus rare, il m'envoit un texto pour me dire qu'il doute de vouloir recoller les morceaux. Je suis donc allée le voir pour en parler (je sais c'est mal...), et après avoir insisté, il m'a dit qu'il ne m'aimait plus, qu'il n'y avait plus d'espoir (alors que la semaine dernière, on avait dormi une nuit ensemble, m'avait dit "je t'aime", et même samedi dernier, il m'a demandé si je lui ferai des enfants)... J'y croyais encore, je suis toujours amoureuse de lui... C'est comme une 2e rupture, ça me fait tellement mal.
Je ne sais pas quoi vraiment penser. En fait, je l'ai souvent poussé au cours de notre rupture à me lâcher, pour de vrai... Et là, encore, il a fallu que j'insiste pour qu'il me dise tout ça...
J'ai énormément pleuré hier soir, y compris (surtout) avec lui...
Heureusement, j'ai des grosses journées de travail, et j'en suis bien contente, car ça m'empêche de m'effondrer, comme cet été, lors de la "première rupture". Mais, j'ai pensé à lui de longs moments dans la journée... J'ai eu le coeur serré. Et en rentrant, j'ai pleuré... encore.
Quelque part, je me sens soulagée, car la rupture est réelle à présent. Nous ne sommes plus dans une espèce de situation indéterminable, à mi chemin entre l'amitié et l'amour. Il veut qu'on reste en bons termes, il m'a dit que j'étais sa "meilleure amie". Je ne veux et ne peux continuer de rester en contact avec lui. Pour moi, le SR me demandera à présent beaucoup moins d'effort parce que mes espoirs sont anéantis.
Pourtant, il me reste une petite lueur. Mais, ai-je raison ? Je continue d'espérer que d'ici quelques jours, semaines, il m'appelle plein de regrets, avoués ou non...
Et je me dis qu'il a tellement de soucis dans sa vie en ce moment sur lesquels il n'a aucun contrôle ou alors aucun contrôle susceptible d'avoir un effet immédiat, qu'il m'a tout simplement bazardé, pour se débarrasser de l'un d'entre eux, le seul sur lequel il puisse agir. Je sais que j'étais devenue une source d'angoisse pour lui, lié en particulier au fait que j'ai commis des interdits (les nouveaux, je vous en conjure, abstenez vous de ces interdits, ils réduisent toutes vos chances de retrouver l'être aimé à néant). Interdits que j'ai commis à cause du mal être que j'avais au fond de moi, attitude que je n'aurais jamais eu si je n'avais pas eu à endurer autant de souffrance et d'épreuves douloureuses. Il avait peur de moi.
Je ne sais pas si je me méprends...
Je ne le recontacterai plus.
Je ne sais pas quoi espérer... que ce soit la fin et que j'arrive enfin à tourner la page, ou qu'enfin la situation ambigue dans laquelle nous étions cesse, que l'on soit vraiment séparés et que seulement comme ça, il y ait des chances qu'on se reconstruise et qu'on se remettre ensemble. Car pour se remettre ensemble, il faut bien être séparé ; et là, nous n'étions ni séparés, ni ensemble.
Je ne sais pas si j'accepte déjà, si je m'engage déjà dans la voie de l'abdication. Je laisse mon regard se porter sur d'autres garçons, et je me dis que peut-être l'un d'entre eux pourrait être celui qui me ferait tourner la page.
Cette "2e rupture" me soulage quelque part, après le passage ô combien difficile d'hier, et les passages difficiles, chaque matin au réveil, de se dire que désormais, pour la première fois depuis 7 ans, pour la première fois de ma vie, je suis seule, célibataire (que ce mot est laid d'ailleurs) ; mais je me sens quand même perdue, sans trop savoir quelle ligne de mire adopter, dans quel état d'esprit être. Tout ce que je sais, c'est que je ne le contacterai plus, avant un bon bout de temps, peut-être pour toujours.
Aidez moi...
Petit résumé pour ceux qui ne me connaissent pas : 7 ans de relation. Il m'a quitté il y a trois mois. Il est sorti très vite avec une gamine (17 ans, lui 25 ans) mais ça n'a pas duré longtemps (moins d'un mois). Il l'a quitté car il "voulait se remettre avec moi" et "s'était rendu compte qu'il a fait une connerie". En fait, il l'a quitté 5 jours après m'avoir révélé son existence (qui a été marqué par un accident majeur, ma rencontre avec elle, qui s'est très mal passée et qui a beaucoup marqué mon ex)... S'en est suivi 2 longs mois à espérer, attendre son retour. Il me disait "je t'aime", me demandait si je lui ferai des enfants, m'a dit que j'étais la femme de sa vie, tout le tralala quoi !!! Et puis hier, alors que je me faisais plus rare, il m'envoit un texto pour me dire qu'il doute de vouloir recoller les morceaux. Je suis donc allée le voir pour en parler (je sais c'est mal...), et après avoir insisté, il m'a dit qu'il ne m'aimait plus, qu'il n'y avait plus d'espoir (alors que la semaine dernière, on avait dormi une nuit ensemble, m'avait dit "je t'aime", et même samedi dernier, il m'a demandé si je lui ferai des enfants)... J'y croyais encore, je suis toujours amoureuse de lui... C'est comme une 2e rupture, ça me fait tellement mal.
Je ne sais pas quoi vraiment penser. En fait, je l'ai souvent poussé au cours de notre rupture à me lâcher, pour de vrai... Et là, encore, il a fallu que j'insiste pour qu'il me dise tout ça...
J'ai énormément pleuré hier soir, y compris (surtout) avec lui...
Heureusement, j'ai des grosses journées de travail, et j'en suis bien contente, car ça m'empêche de m'effondrer, comme cet été, lors de la "première rupture". Mais, j'ai pensé à lui de longs moments dans la journée... J'ai eu le coeur serré. Et en rentrant, j'ai pleuré... encore.
Quelque part, je me sens soulagée, car la rupture est réelle à présent. Nous ne sommes plus dans une espèce de situation indéterminable, à mi chemin entre l'amitié et l'amour. Il veut qu'on reste en bons termes, il m'a dit que j'étais sa "meilleure amie". Je ne veux et ne peux continuer de rester en contact avec lui. Pour moi, le SR me demandera à présent beaucoup moins d'effort parce que mes espoirs sont anéantis.
Pourtant, il me reste une petite lueur. Mais, ai-je raison ? Je continue d'espérer que d'ici quelques jours, semaines, il m'appelle plein de regrets, avoués ou non...
Et je me dis qu'il a tellement de soucis dans sa vie en ce moment sur lesquels il n'a aucun contrôle ou alors aucun contrôle susceptible d'avoir un effet immédiat, qu'il m'a tout simplement bazardé, pour se débarrasser de l'un d'entre eux, le seul sur lequel il puisse agir. Je sais que j'étais devenue une source d'angoisse pour lui, lié en particulier au fait que j'ai commis des interdits (les nouveaux, je vous en conjure, abstenez vous de ces interdits, ils réduisent toutes vos chances de retrouver l'être aimé à néant). Interdits que j'ai commis à cause du mal être que j'avais au fond de moi, attitude que je n'aurais jamais eu si je n'avais pas eu à endurer autant de souffrance et d'épreuves douloureuses. Il avait peur de moi.
Je ne sais pas si je me méprends...
Je ne le recontacterai plus.
Je ne sais pas quoi espérer... que ce soit la fin et que j'arrive enfin à tourner la page, ou qu'enfin la situation ambigue dans laquelle nous étions cesse, que l'on soit vraiment séparés et que seulement comme ça, il y ait des chances qu'on se reconstruise et qu'on se remettre ensemble. Car pour se remettre ensemble, il faut bien être séparé ; et là, nous n'étions ni séparés, ni ensemble.
Je ne sais pas si j'accepte déjà, si je m'engage déjà dans la voie de l'abdication. Je laisse mon regard se porter sur d'autres garçons, et je me dis que peut-être l'un d'entre eux pourrait être celui qui me ferait tourner la page.
Cette "2e rupture" me soulage quelque part, après le passage ô combien difficile d'hier, et les passages difficiles, chaque matin au réveil, de se dire que désormais, pour la première fois depuis 7 ans, pour la première fois de ma vie, je suis seule, célibataire (que ce mot est laid d'ailleurs) ; mais je me sens quand même perdue, sans trop savoir quelle ligne de mire adopter, dans quel état d'esprit être. Tout ce que je sais, c'est que je ne le contacterai plus, avant un bon bout de temps, peut-être pour toujours.
Aidez moi...
Modifié en dernier par patachou le 08 oct. 2009, 23:47, modifié 7 fois.