- 20 août 2009, 17:28
#136116
Voila 3 mois que je suis en SR.
J'ai de plus en plus de doutes sur l"efficacité du SR dans certaines situations.
Elle a 35 ans et 3 enfants, et moi 49 ans.
C'est elle qui a souhaité rompre. Le jour de la séparation, elle m'a dis que nous pouvons tout de même rester amis.
Moi ayant bien en tête la méthode, je lui ai répondu qu'il n'était pas question de rester, juste amis. Cela a eu l'air de beaucoup la surprendre.
Après 1 mois de SR avec quelques interruptions pour restitution d'affaires, j'en suis à 2 mois de SR strict. (3 au total)
Je n'ai plus aucun contact, ni avec elle, ni avec ses enfants (qui me manquent aussi).
Le problème, c'est que c'est une femme qui a déjà eue des soucis dans le passé, et qui a du plomb dans la tête.
C'est une femme fragile à cause de son passé, mais également forte par son aptitude à affronter les difficultés.
Ce n'est pas une jeune femme de 20 ans (avec tout le respect de je leur dois) qui va s'affoler en se disant "ho mon dieu, il ne m'appelle plus, que se passe t'il ?"
Je suis persuadé qu'elle ne m'appellera pas, car elle a pris acte de la séparation et a certainement tiré un trait définitif sur notre couple.
Et moi, je ne peux l'appeler sans passer pour le gros lourdingue qui essai de la récupérer.
Le pire c'est qu'avec ce SR que moi je lui impose, j'ai l'impression que c'est moi, le largueur.
Même aux yeux de sa famille et de ses amis, je dois passer pour celui qui ne veux plus la contacter; l'abrutit qui fait la gueu*le.
Pas très gentleman comme attitude, et contraire aux attitudes conseillés de JRME. Je vous le dis en plus, nous ne sommes pas tous des "perdreaux de l'année. Aucunes des personnes concernés n'a moins de 30 ans (a part ses enfants).
Nous n'en sommes plus aux fâcheries d'ados
Il me semble que dans mon cas, rester dans la zone amis m'aurais permis d'entretenir un petit contact pour plus facilement la reconquérir; j'aurais été "dans la place" pour cela.
J'aurais également maintenu un contact avec ses enfants (ça m'aurais fait du bien) et donc peut-être un petit coté de dépendance mutuelle avec eux.
Je sais que dans notre relation, elle avait besoin de souffler, de prendre du recul. La voir une fois par semaine ou 15 jours par exemple, ne lui aurait pas empêcher de faire le point. Lorsque je dis la voir, ce n'est pas passer la journée avec, bien sur !
Aujourd'hui, je suis isolé, sans contact, dans la quasi impossibilité de la rappeler. Je me sens piégé par ce SR. Ca ressemble à une impasse.
A propos de cette zone amis, rien ne m'obligeait d'accourir à la moindre de ses demandes. Au contraire, c'aurait été moi qui contrôlais les entrevues. Et cela correspondait aux suggestions de comportement de la méthode: " je te vois quand je veux, je ne suis pas a ta "botte", c'est moi qui contrôle nos contacts"
Alors ce SR est-il aux séparations, ce que le Paracétamol est a la fièvre ?
J'ai de plus en plus de doutes sur l"efficacité du SR dans certaines situations.
Elle a 35 ans et 3 enfants, et moi 49 ans.
C'est elle qui a souhaité rompre. Le jour de la séparation, elle m'a dis que nous pouvons tout de même rester amis.
Moi ayant bien en tête la méthode, je lui ai répondu qu'il n'était pas question de rester, juste amis. Cela a eu l'air de beaucoup la surprendre.
Après 1 mois de SR avec quelques interruptions pour restitution d'affaires, j'en suis à 2 mois de SR strict. (3 au total)
Je n'ai plus aucun contact, ni avec elle, ni avec ses enfants (qui me manquent aussi).
Le problème, c'est que c'est une femme qui a déjà eue des soucis dans le passé, et qui a du plomb dans la tête.
C'est une femme fragile à cause de son passé, mais également forte par son aptitude à affronter les difficultés.
Ce n'est pas une jeune femme de 20 ans (avec tout le respect de je leur dois) qui va s'affoler en se disant "ho mon dieu, il ne m'appelle plus, que se passe t'il ?"
Je suis persuadé qu'elle ne m'appellera pas, car elle a pris acte de la séparation et a certainement tiré un trait définitif sur notre couple.
Et moi, je ne peux l'appeler sans passer pour le gros lourdingue qui essai de la récupérer.
Le pire c'est qu'avec ce SR que moi je lui impose, j'ai l'impression que c'est moi, le largueur.
Même aux yeux de sa famille et de ses amis, je dois passer pour celui qui ne veux plus la contacter; l'abrutit qui fait la gueu*le.
Pas très gentleman comme attitude, et contraire aux attitudes conseillés de JRME. Je vous le dis en plus, nous ne sommes pas tous des "perdreaux de l'année. Aucunes des personnes concernés n'a moins de 30 ans (a part ses enfants).
Nous n'en sommes plus aux fâcheries d'ados
Il me semble que dans mon cas, rester dans la zone amis m'aurais permis d'entretenir un petit contact pour plus facilement la reconquérir; j'aurais été "dans la place" pour cela.
J'aurais également maintenu un contact avec ses enfants (ça m'aurais fait du bien) et donc peut-être un petit coté de dépendance mutuelle avec eux.
Je sais que dans notre relation, elle avait besoin de souffler, de prendre du recul. La voir une fois par semaine ou 15 jours par exemple, ne lui aurait pas empêcher de faire le point. Lorsque je dis la voir, ce n'est pas passer la journée avec, bien sur !
Aujourd'hui, je suis isolé, sans contact, dans la quasi impossibilité de la rappeler. Je me sens piégé par ce SR. Ca ressemble à une impasse.
A propos de cette zone amis, rien ne m'obligeait d'accourir à la moindre de ses demandes. Au contraire, c'aurait été moi qui contrôlais les entrevues. Et cela correspondait aux suggestions de comportement de la méthode: " je te vois quand je veux, je ne suis pas a ta "botte", c'est moi qui contrôle nos contacts"
Alors ce SR est-il aux séparations, ce que le Paracétamol est a la fièvre ?