- 03 févr. 2017, 17:50
#1227314
Bonjour,
Alors voilà j'aimerais un peu d'aide. Car je suis un peu perdue. Merci à toutes celles et ceux qui tenteront de m'aider.
J'ai commencé mon histoire avec S. il y a 7 mois. C'est un célibataire endurcit de 41 ans, n'ayant jamais eu d'histoire digne de ce nom. Moi j'avais eu deux belles histoires, mais il y avait déjà plus de 7 ans que j'étais célibataire.
Nous nous étions dragués depuis 5 mois et il avait reculé par deux fois avant de dire oui. Puis il l'a fait. Et là ce fut génial. Un régal de relation. Etant dans une situation précaire économiquement mais temporaire, j'avais sous loué mon appartement et il m'avait joyeusement invité à m'installer chez lui en attendant. Ce fut super. Un magnifique été. L'automne est arrivé. Nous avons continué à nous aimer et j'ai réalisé un de mes projets : habiter en coloc avec deux bons amis à moi. Je trouvais ça étrange car c'était avec lui que je voulais habiter. Mais il m'a dit "vas-y". Je l'ai fait. Il n'a pas supporté. Il est devenu chiant avec mes colocs et de fait on était toujours chez lui. Parallellement il y a eu quelques petites tensions. Parfois il changeait brusquement d'attitude parce qu'il avait l'impression d'étouffer avec moi. Alors je m'inquiétais un peu. Et il trouvait que j'étais vraiment fragile émotionnellement. Il est vrai que j'aime les marques de tendresse et d'affection et que j'ai besoin de réassurance, mais je trouvais qu'il se remettait peu en question dans ses propres mécaniques. Et puis la première crise en automne. Surmontée. Comme ça se passait mal la coloc, nous avons fait des plans pour emménager ensemble et acheter un appart. C'était à nouveau super. Nous sommes partis faire un jeûn dans la montagne. Il est devenu affreux, me faisant des reproches sur tout sans arrêt et me disant qu'il ne voulait plus qu'on habite ensemble. J'ai beaucoup pleuré. Puis je lui ai dit que je rentrais plus tôt que prévu. Il est revenu en s'excusant en reconnaissant tous ses torts. J'ai posé es conditions strictes : Qu'il ne me parle jamais plus sur ce ton et qu'il aille voir un psy pour comprendre ce qui se passe dans sa tête. 5 jours de bonheur à nouveau. Puis il a recommencé à être impossible. Une colère disproportionnée par rapport à ses reproches. Plus je lui demandais de me parler autrement, plus il s'énervait. j'ai refusé de le voir le lendemain. On ne s'est pas vus pendant une semaine. et on s'est appellés. Je n'avais plus M. Hyde à l'écouteur, mais à nouveau l'homme que j'avais aimé. Il était calme et me disait juste qu'il ne voulait plus de la relation que quelque chose était cassé, mais comme nous avions eu de si beaux moments il voulait que nous en parlions le lendemain. Je lui ai aussi dit que je voulais arrêter mais que je refusais de le voir. Car c'était trop dur, que je l'aimais encore malgré ma décision.... voilà. J'ai été récupérer mes affaires pendant qu'il était au travail. J'aime cet homme et je sais qu'il m'aime. Je ne sais pas quels démons de son passé font qu'il se comporte comme ça (enfin j'ai une idée, je crois qu'il a été un enfant battu). Je sais qu'en l'état, aucune relation n'est possible. Et pourtant il me manque tellement. Le matin tout va bien. Le soir c'est l'horreur. Son absence est une douleur terrible. Je fantasme que nous nous remettions tout doucement ensemble loin du modèle de fusion que nous avions, et surtout qu'il aille voir un psy. Pour l'instant, c'est moi qui vais en voir un pour me remettre d'aplomb. voilà..
Alors voilà j'aimerais un peu d'aide. Car je suis un peu perdue. Merci à toutes celles et ceux qui tenteront de m'aider.
J'ai commencé mon histoire avec S. il y a 7 mois. C'est un célibataire endurcit de 41 ans, n'ayant jamais eu d'histoire digne de ce nom. Moi j'avais eu deux belles histoires, mais il y avait déjà plus de 7 ans que j'étais célibataire.
Nous nous étions dragués depuis 5 mois et il avait reculé par deux fois avant de dire oui. Puis il l'a fait. Et là ce fut génial. Un régal de relation. Etant dans une situation précaire économiquement mais temporaire, j'avais sous loué mon appartement et il m'avait joyeusement invité à m'installer chez lui en attendant. Ce fut super. Un magnifique été. L'automne est arrivé. Nous avons continué à nous aimer et j'ai réalisé un de mes projets : habiter en coloc avec deux bons amis à moi. Je trouvais ça étrange car c'était avec lui que je voulais habiter. Mais il m'a dit "vas-y". Je l'ai fait. Il n'a pas supporté. Il est devenu chiant avec mes colocs et de fait on était toujours chez lui. Parallellement il y a eu quelques petites tensions. Parfois il changeait brusquement d'attitude parce qu'il avait l'impression d'étouffer avec moi. Alors je m'inquiétais un peu. Et il trouvait que j'étais vraiment fragile émotionnellement. Il est vrai que j'aime les marques de tendresse et d'affection et que j'ai besoin de réassurance, mais je trouvais qu'il se remettait peu en question dans ses propres mécaniques. Et puis la première crise en automne. Surmontée. Comme ça se passait mal la coloc, nous avons fait des plans pour emménager ensemble et acheter un appart. C'était à nouveau super. Nous sommes partis faire un jeûn dans la montagne. Il est devenu affreux, me faisant des reproches sur tout sans arrêt et me disant qu'il ne voulait plus qu'on habite ensemble. J'ai beaucoup pleuré. Puis je lui ai dit que je rentrais plus tôt que prévu. Il est revenu en s'excusant en reconnaissant tous ses torts. J'ai posé es conditions strictes : Qu'il ne me parle jamais plus sur ce ton et qu'il aille voir un psy pour comprendre ce qui se passe dans sa tête. 5 jours de bonheur à nouveau. Puis il a recommencé à être impossible. Une colère disproportionnée par rapport à ses reproches. Plus je lui demandais de me parler autrement, plus il s'énervait. j'ai refusé de le voir le lendemain. On ne s'est pas vus pendant une semaine. et on s'est appellés. Je n'avais plus M. Hyde à l'écouteur, mais à nouveau l'homme que j'avais aimé. Il était calme et me disait juste qu'il ne voulait plus de la relation que quelque chose était cassé, mais comme nous avions eu de si beaux moments il voulait que nous en parlions le lendemain. Je lui ai aussi dit que je voulais arrêter mais que je refusais de le voir. Car c'était trop dur, que je l'aimais encore malgré ma décision.... voilà. J'ai été récupérer mes affaires pendant qu'il était au travail. J'aime cet homme et je sais qu'il m'aime. Je ne sais pas quels démons de son passé font qu'il se comporte comme ça (enfin j'ai une idée, je crois qu'il a été un enfant battu). Je sais qu'en l'état, aucune relation n'est possible. Et pourtant il me manque tellement. Le matin tout va bien. Le soir c'est l'horreur. Son absence est une douleur terrible. Je fantasme que nous nous remettions tout doucement ensemble loin du modèle de fusion que nous avions, et surtout qu'il aille voir un psy. Pour l'instant, c'est moi qui vais en voir un pour me remettre d'aplomb. voilà..