- 05 oct. 2016, 14:56
#1196752
Bonjour à tous,
J'ai 28 ans et bien qu'ayant eu plusieurs "amourettes" et autres "plans" par le passé, je n'étais jamais tombé autant amoureux que de celle que j'ai aimé et chérie pendant presque 1 an.
Rencontrée car ayant tout les deux le même employeur, elle, assistante administrative et moi assistant d'exploitation, les quatre premiers mois de notre couple furent les plus merveilleux que j'aurais passé avec quelqu'un de toute ma vie.
Malgré une différence d'âge conséquente (moi 28 ans et elle 34) nous nous sommes tout de suite trouvé.
Malheureusement, un travail de plus en plus stressant, ponctué d'astreintes très compliquées, souvent à hauteur de 2 semaines par mois m'ont conduis à changer d'emploi.
Et là tout est parti de travers...
Notre relation, que nous cachions à notre entourage professionnel (plus par jeu que par nécessité absolue) est alors devenue ce que je qualifierais d'insipide.
Bien que n'habitant pas ensemble, nous prenions auparavant le temps de nous voir chaque jour, chez l'un ou chez l'autre et sur notre lieu de travail, nos journées étaient ponctuées de bisous cachés, caresses volées et autres clins d'oeils complices..
Puis tout s'est arrêté.
Je me suis très rapidement compte que j'étais en train de la perdre, multipliant les crises de jalousies maladroites (puisqu'elle est restée dans mon ancienne boîte, et que je le savais donc travaillant dans un milieu très masculin) , me renfermant de plus en plus sur moi-même et trouvant refuge dans l'alcool.
La fréquence de nos rencontres s'est alors réduite à peau de chagrin, ne nous voyant plus que une à deux fois par semaine, le tout ponctué d'un coup de fil quotidien dans lequel je sentais ses reproches (tellement justifiés) se faire de plus en plus pressants et nos conversations de plus en plus courts.
Je précise que pendant cette période (et je ne l'ai compris que quand la vérité a éclatée la semaine dernière), je l'ai délaissée, me focalisant sur mes propres problèmes (financier notamment), à cause de mon égocentrisme.
Nous avons encore eu quelques bons moments, notamment un merveilleux week-end passé à Annecy début juillet (nous sommes de Lyon pour info) dans lequel j'ai eu l'impression, en plus de l'avoir retrouvée, de m'être retrouvé un peu également.
Quoi qu'il en soit, l'actualité de l'été ayant amenée un recrudescence d'activité dans mon taf (sécurité privée), nous nous sommes encore moins vue, et elle me reprochant, sans cesse, à juste titre, mais toujours calmement, mes commentaires nauséabonds sur tout et tout le monde, ma consommation d'alcool et de cigarettes et surtout le fait de ne pas faire face à mes problèmes.
Le premier clash a eu lieu le matin du 22 aout, ou je me suis retrouvé avec mes affaires dans un sac devant la porte de chez elle, sans avoir le temps de dire ouf... J'avais trop bu la veille et m'était lamentablement endormi dans le canapé...
Bref, elle a pourtant trouvée la force de me comprendre, une nouvelle fois, moi lui promettant monts et merveilles (promesses en partie tenues) et elle décidant malgré tout de m'accorder une seconde chance.
Nous avons passé notre dernière belle soirée samedi il y a 3 semaines, où invités au mariage d'un couple de ses amis, je l'ai vue une dernière fois radieuse, splendide et tellement heureuse...
Et mercredi dernier, ça a dérapé... M'emportant parce que elle, partie dans une sorte de séminaire avec (toujours) mon ancienne boîte pendant 3 jours (ce qui engendrait le fait que nous n'allions pas nous voir entre le lundi et le dimanche), j'ai été offusqué d'apprendre que mon ancien patron allait donner à elle et aux autres une enveloppe pour aller jouer au casino. Et qu'elle avait l'air tellement heureuse, alors que, loin d'elle, je souffrais le martyr.
Bref, notre conversation s'est terminée par: "T'es qu'un gros con!" et un raccrochage de téléphone sec me laissant seul et sans voix. C'était le mercredi.
Elle m'a rappelée le vendredi pour officialiser notre rupture.
N'ayant pas encore lu les précieux conseils présent sur ce site, je me suis fourvoyé dans tout les interdits possibles et inimaginables (rédaction d'une lettre de 5 pages, supplications, SMS implorants son pardon)
Je l'ai eu une dernière fois au téléphone avant-hier soir, où après avoir lu ma lettre, elle m'a rappelée pour me dire qu'elle comprenait combien j'étais désolé, mais que ça ne changerait rien.
Elle m'a aussi dit qu'elle ne voulait pas me faire du mal pour me dégouter de toute vélléités, voir même de tout espoir que l'on se remmette un jour ensemble.
Littéralement, ça a donné: "Faut que je te fasses du mal pour que tu comprennes que c'est fini et qu'il n'y aura aucun retour possible?!" ou encore "C'était pas d'un enfant dont j'avais besoin, mais d'un Homme". L'Homme je l'ai été durant nos 4 premiers mois. La suite n'a pu que confirmer ses dires.
J'ai jusqu'à ce matin continué de lui envoyer des sms, à moindre fréquence, sans avoir reçu aucune réponse de sa part.
Et aujourd'hui je suis dévasté. Et aujourd'hui j'ai peur. J'ai tellement pleuré...
J'ai bien fait le constat de tout ce qu'elle me reprochait:
. mon egocentricité
. ma misanthropie
. ma consommation d'alcool et de clopes
. le fait que nous n'ayons que peu d'intérêts en commun (ce que je trouve partiellement faux)
. mon refus depuis plusieurs mois maintenant, d'affronter les problèmes
Que des choses sur lesquelles j'aurais pu changer. Mais là est bien le seul et unique reproche que je peux lui faire:
Elle est persuadée que les gens ne peuvent pas changer
Parce qu'elle a eu trois Histoires (deux d'un peu plus d'1 an et une de 3 ans, cette dernière ayant engendré le fait qu'elle voit encore son ex, par le biais d'amis communs mais qu'il n'y a jamais rien eu de plus entre eux) avant moi, et que tout les gars qui m'ont précédés n'ont jamais tenu aucune de leur promesse.
Elle m'a aussi dit qu'après moi, elle arrêterait de vouloir entreprendre quoi que que ce soit avec un homme.
Quoi qu'il en soit je veux la reconquérir
Elle était et est toujours aujourd'hui tout pour moi.
J'ai 90% des torts et je sais que je pars de loin, mais je veux y croire.
J'ai pris la décision depuis ce matin d'appliquer (péniblement) le Silence Radio.
Bien que j'ai vu que ce n'était pas conseillé, je compte tenter de reprendre contact une première fois le 22 octobre, jour de son anniversaire. Juste pour lui souhaiter et savoir comment elle va.
C'est ça qui me ronge le plus, de ne pas savoir comment elle va.
Malgré mon comportement odieux, toutes les bassesses et les ignominies que je lui ai fait subir, je l'ai aimé et l'aime encore chaque jour un peu plus. J'ai chéri chaque instant passé avec elle et mon seul but pendant 1 an a été elle et seulement Elle..
Le dernier sms que j'aurais reçu de sa part aura été:
"C'est vrai que je t'ai rarement dit que je t'aimais, mais ce n'est pas le genre de choses que je dis à tout bout de champ sans le penser"

J'ai 28 ans et bien qu'ayant eu plusieurs "amourettes" et autres "plans" par le passé, je n'étais jamais tombé autant amoureux que de celle que j'ai aimé et chérie pendant presque 1 an.
Rencontrée car ayant tout les deux le même employeur, elle, assistante administrative et moi assistant d'exploitation, les quatre premiers mois de notre couple furent les plus merveilleux que j'aurais passé avec quelqu'un de toute ma vie.
Malgré une différence d'âge conséquente (moi 28 ans et elle 34) nous nous sommes tout de suite trouvé.
Malheureusement, un travail de plus en plus stressant, ponctué d'astreintes très compliquées, souvent à hauteur de 2 semaines par mois m'ont conduis à changer d'emploi.
Et là tout est parti de travers...
Notre relation, que nous cachions à notre entourage professionnel (plus par jeu que par nécessité absolue) est alors devenue ce que je qualifierais d'insipide.
Bien que n'habitant pas ensemble, nous prenions auparavant le temps de nous voir chaque jour, chez l'un ou chez l'autre et sur notre lieu de travail, nos journées étaient ponctuées de bisous cachés, caresses volées et autres clins d'oeils complices..
Puis tout s'est arrêté.
Je me suis très rapidement compte que j'étais en train de la perdre, multipliant les crises de jalousies maladroites (puisqu'elle est restée dans mon ancienne boîte, et que je le savais donc travaillant dans un milieu très masculin) , me renfermant de plus en plus sur moi-même et trouvant refuge dans l'alcool.
La fréquence de nos rencontres s'est alors réduite à peau de chagrin, ne nous voyant plus que une à deux fois par semaine, le tout ponctué d'un coup de fil quotidien dans lequel je sentais ses reproches (tellement justifiés) se faire de plus en plus pressants et nos conversations de plus en plus courts.
Je précise que pendant cette période (et je ne l'ai compris que quand la vérité a éclatée la semaine dernière), je l'ai délaissée, me focalisant sur mes propres problèmes (financier notamment), à cause de mon égocentrisme.
Nous avons encore eu quelques bons moments, notamment un merveilleux week-end passé à Annecy début juillet (nous sommes de Lyon pour info) dans lequel j'ai eu l'impression, en plus de l'avoir retrouvée, de m'être retrouvé un peu également.
Quoi qu'il en soit, l'actualité de l'été ayant amenée un recrudescence d'activité dans mon taf (sécurité privée), nous nous sommes encore moins vue, et elle me reprochant, sans cesse, à juste titre, mais toujours calmement, mes commentaires nauséabonds sur tout et tout le monde, ma consommation d'alcool et de cigarettes et surtout le fait de ne pas faire face à mes problèmes.
Le premier clash a eu lieu le matin du 22 aout, ou je me suis retrouvé avec mes affaires dans un sac devant la porte de chez elle, sans avoir le temps de dire ouf... J'avais trop bu la veille et m'était lamentablement endormi dans le canapé...
Bref, elle a pourtant trouvée la force de me comprendre, une nouvelle fois, moi lui promettant monts et merveilles (promesses en partie tenues) et elle décidant malgré tout de m'accorder une seconde chance.
Nous avons passé notre dernière belle soirée samedi il y a 3 semaines, où invités au mariage d'un couple de ses amis, je l'ai vue une dernière fois radieuse, splendide et tellement heureuse...
Et mercredi dernier, ça a dérapé... M'emportant parce que elle, partie dans une sorte de séminaire avec (toujours) mon ancienne boîte pendant 3 jours (ce qui engendrait le fait que nous n'allions pas nous voir entre le lundi et le dimanche), j'ai été offusqué d'apprendre que mon ancien patron allait donner à elle et aux autres une enveloppe pour aller jouer au casino. Et qu'elle avait l'air tellement heureuse, alors que, loin d'elle, je souffrais le martyr.
Bref, notre conversation s'est terminée par: "T'es qu'un gros con!" et un raccrochage de téléphone sec me laissant seul et sans voix. C'était le mercredi.
Elle m'a rappelée le vendredi pour officialiser notre rupture.
N'ayant pas encore lu les précieux conseils présent sur ce site, je me suis fourvoyé dans tout les interdits possibles et inimaginables (rédaction d'une lettre de 5 pages, supplications, SMS implorants son pardon)
Je l'ai eu une dernière fois au téléphone avant-hier soir, où après avoir lu ma lettre, elle m'a rappelée pour me dire qu'elle comprenait combien j'étais désolé, mais que ça ne changerait rien.
Elle m'a aussi dit qu'elle ne voulait pas me faire du mal pour me dégouter de toute vélléités, voir même de tout espoir que l'on se remmette un jour ensemble.
Littéralement, ça a donné: "Faut que je te fasses du mal pour que tu comprennes que c'est fini et qu'il n'y aura aucun retour possible?!" ou encore "C'était pas d'un enfant dont j'avais besoin, mais d'un Homme". L'Homme je l'ai été durant nos 4 premiers mois. La suite n'a pu que confirmer ses dires.
J'ai jusqu'à ce matin continué de lui envoyer des sms, à moindre fréquence, sans avoir reçu aucune réponse de sa part.
Et aujourd'hui je suis dévasté. Et aujourd'hui j'ai peur. J'ai tellement pleuré...
J'ai bien fait le constat de tout ce qu'elle me reprochait:
. mon egocentricité
. ma misanthropie
. ma consommation d'alcool et de clopes
. le fait que nous n'ayons que peu d'intérêts en commun (ce que je trouve partiellement faux)
. mon refus depuis plusieurs mois maintenant, d'affronter les problèmes
Que des choses sur lesquelles j'aurais pu changer. Mais là est bien le seul et unique reproche que je peux lui faire:
Elle est persuadée que les gens ne peuvent pas changer
Parce qu'elle a eu trois Histoires (deux d'un peu plus d'1 an et une de 3 ans, cette dernière ayant engendré le fait qu'elle voit encore son ex, par le biais d'amis communs mais qu'il n'y a jamais rien eu de plus entre eux) avant moi, et que tout les gars qui m'ont précédés n'ont jamais tenu aucune de leur promesse.
Elle m'a aussi dit qu'après moi, elle arrêterait de vouloir entreprendre quoi que que ce soit avec un homme.
Quoi qu'il en soit je veux la reconquérir
Elle était et est toujours aujourd'hui tout pour moi.
J'ai 90% des torts et je sais que je pars de loin, mais je veux y croire.
J'ai pris la décision depuis ce matin d'appliquer (péniblement) le Silence Radio.
Bien que j'ai vu que ce n'était pas conseillé, je compte tenter de reprendre contact une première fois le 22 octobre, jour de son anniversaire. Juste pour lui souhaiter et savoir comment elle va.
C'est ça qui me ronge le plus, de ne pas savoir comment elle va.
Malgré mon comportement odieux, toutes les bassesses et les ignominies que je lui ai fait subir, je l'ai aimé et l'aime encore chaque jour un peu plus. J'ai chéri chaque instant passé avec elle et mon seul but pendant 1 an a été elle et seulement Elle..
Le dernier sms que j'aurais reçu de sa part aura été:
"C'est vrai que je t'ai rarement dit que je t'aimais, mais ce n'est pas le genre de choses que je dis à tout bout de champ sans le penser"
