Ludvik a écrit :Tu devrais pourtant savoir ce que sont et représente ces vipères, ces gourgandines fille de Babylone sirène des enfers. Apprend à repérer de loin ce genre de femme qui reste vers toi par utilité, t'utilisant tel un vulgaire outil puis te lâche comme une merde. Bienvenu dans le monde réel, triste et froid.
Ouh là là quelle amertume envers la gente féminine...
J'entends ce que tu dis, mais je ne suis pas d'accord avec toi, il n'y a pas d'un coté les filles bien, et de l'autre les filles pas bien.
Il y a des êtres humains, de sexe féminin, qui font ce qu'ils peuvent avec leur histoires, leur peur, leur barrières, leur lâcheté, leur courage, leur éducation, leur rêve, leurs envies...
Traiter toutes les filles qui ne t'aime ou n'ont pas agit comme tu le souhaitais "de vipères, de gourgandines, fille de Babylone, de sirène des enfers", c'est ne pas vouloir voir, la réalité de l'être humain...
Car être humain, ce n'est pas être parfait, et bon, et gentil, c'est faire ce que l'on peut avec ce que l'on a...
On agit toujours pour soi, même quand on aide les autres ont le fait pour soi (pour l'image que ça nous renvois de nous même), et même quand on rencontre quelqu'un qui nous fait du mal, on le fait pour soi (pour s'assurer d'un schéma interne qui nous répète qu'on est pas digne d'être aimé, pour nous faire réagir, et prendre enfin soin de soit...)
Il y a une coresponsabilité de chacune de nos histoires d'amour. Rejeter la faute sur l'autre c'est ne pas avoir assez de courage pour regarder la réalité de cette coresponsabilité, parce qu'elle est douloureuse, et que ça demande du travail, donc c'est fatiguant.
Ce placer toujours en victime, et dire c'est pas de ma faute il y a des filles vraiment pas gentilles et mal intentionnées, c'est manquer les éléments intéressants que chaque expérience de la vie nous apporte...