BY Mademoiselle_M - 17 août 2016, 12:01
- 17 août 2016, 12:01
#1184187
Bonjour à tous et à toutes,
Désolé d'avance pour la longueur du topic, je vais essayer d'énumérer les points que je juge important concernant mon histoire.
- Je suis séparé de mon ex copain depuis maintenant 11 jours et en SR depuis 9 jours
- La rupture est à son initiative
- La relation a été plutôt courte, 6 mois, mais très forte et très riche.
- J'ai 24 ans, lui 26
- Relation à distance (120 km l'un de l'autre), on se voyez tous les we.
Concernant notre relation, je dirais qu'elle a plutôt démarrer sur les chapeaux de roues. Nous nous sommes très vite découvert de nombreux points communs important, une vision de la vie similaire, mêmes envies, mêmes projets de vie, mêmes centres d'intérêt. Assez peu probable pour être vrai, et pourtant... Sans pour autant m'emballer face à l'évidence, puisque je suis de nature méfiante au premier abord. En effet, au début de mes relations j'ai très souvent des mécanismes de défenses qui sont en alertes et qui je pense, me freine et me bloque. Enfin.
Malgré la distance, nous prenons quand même la décision d'entamer cette relation car nous pensons tous les 2 que cela en vaut la peine, malgré les contraintes.
Les 3-4 premiers mois ont bien sûr été magiques, très belle complicité qui se développe entre nous, très belle entente, nous sommes très proches, vive sensation que cet homme correspond en tout point à ce que je me tue à chercher depuis des années, et vice versa. Nous profitons de chaque instant même si les WE sont très court.
Basant notre relation sur la sincérité, l’honnêteté et le respect, je lui fais part au bout d'un mois des nombreux problèmes familiaux que je rencontre (sans rentrer dans les détails) et du poids que cela engendre dans ma vie. Je lui explique que j'ai traversé de nombreuses choses difficiles et que j'en traverserai probablement encore. J'avais besoin qu'il me dise s'il avait les épaules assez larges afin d'accepter cette partie de ma vie aussi difficile soit elle mais qui contribue aussi à me faire devenir la femme que je suis aujourd'hui.
Compréhensif, il me dit qu'il sera présent pour m'épauler, que ça ne lui posera sans doutes pas de pbs.
Entre le 2e et le 3e mois, je sens qu'il est très accroché à moi, moi aussi beaucoup, mais lui probablement plus.
Je sens bien qu'il a envie de laisser exploser ce qu'il a sur le cœur sauf que moi, mes mécanismes de défenses font surface, se manifestant parfois par une agressivité comme si j'avais peur qu'il me fasse du mal. Résultat: je flippe par peur de me tromper, peur de m'attacher. Il en est conscient et je pense qu'avec le recul, il en a beaucoup souffert. Le moment arrive où il me confit être amoureux (dans un contexte assez pourri par contre: suite à une dispute) Je n'ai pas été capable de lui en dire de même. Je lui ai simplement répondu que cela me touchait profondément, que j'avais beaucoup de sentiments pour lui mais que j'avais besoin de laisser mûrir les miens. Il a compris et m'as laissé le temps d'avancer a mon rythme.
Le temps passe, toujours aussi complice, beaucoup de partage, de communication, réellement aucun souci au niveau de notre couple, je me rends compte que mes sentiments sont bien plus forts que ce que je veux l'admettre. Il est clair que cet homme là, j'en suis tombé amoureuse. Il correspond à ce que j'attendais que j'ai la sensation d'avoir refuser de croire qu'il existait vraiment et que j'étais en couple avec lui.
... Seulement je m'en suis rendu compte trop tard.
Courant Juin, nous avons une discussion à son initiative. Il me dit qu'il a besoin de me confier sur ses interrogations, ses craintes mais qu'il ne souhaite pas me perdre. Effectivement, il doute, il a l'impression que nous n'avançons pas au même rythme, que nous sommes décalés. Dans un élan de tristesse face à ce qu'il me balance, je lui avoue que je mes sentiments pour lui sont sincères, bref je lui annonce que j'en suis amoureuse. Et là, coup de massue, ce n'est plus son cas enfin en tout cas il ne sait plus. Il me confit que le décalage de nos sentiments l'avait fait réfléchir et qu'il avait peur de lui s'être trop emballer, que le fait de ne pas lui avoir dit que je l'aimais aussi l'avait fait douter de lui même et qu'il pensait que c'était lui qui allait trop vite.
J'encaisse et nous décidons de tout mettre en oeuvre pour que les choses s'arrangent car encore une fois, hormis ça, entre nous, tout est nickel...
... Sauf que les choses ne se sont pas vraiment arrangées. Ma vie personnelle et professionnelle se sont considérablement dégradées (rupture de mon contrat et donc chômage, pbs familiaux très graves). J'ai commencé à plonger dans une période où plus rien n'allait, pas le moral, peu de soutien hormis le sien et celui de mes amis. Il en a malheureusement souffert de me voir subir ce que je vivais et m'as vu plonger moralement et psychiquement. Notre relation s'est quelque peu détériorée dans le sens où je sentais que cette fois ci je m'accrochais et lui, s'éloignait progressivement au travers de ses réactions notamment.
Mi Juillet, je monte chez lui lors d'un WE et me dit que nous devons parler :
- Il ne sait pas où il en est, complétement perdu
- N'arrive pas a se projeter avec moi dans l'avenir à cause de ce qu'il se passe dans ma vie perso
- Que tout ce qu'il m'est arrivé, l'a épuisé moralement
- Sensation de souci de timing dans notre relation
Mais il ne souhaite vraiment pas me perdre et tiens à moi sincèrement et profondément.
Il me demande de lui laisser une semaine et demi de réflexion, je respecte sa décision et accepte.
Je vous épargne les détails inutiles de la semaine: attente interminable suffira. il me tel cependant 2 fois durant cette semaine car il avait besoin de m'entendre, de me parler, qu'il avait la sensation d'être en total contradiction avec lui même.
Bref, au bout d'un peu plus d'une semaine, il souhaite passer me voir pour que nous discutions.
Je pensais qu'il avait pris sa décision. Il me dit ne pas être plus avancé dans sa réflexion.
Il me dit être conscient que je représente la femme qu'il recherche dans sa vie, ne pas vouloir renoncer à moi, ne pas vouloir me perdre mais qu'il n'arrivait plus à avancer ni à revenir sur ses sentiments. Il a fini par venir vers moi, par m'embrasser, me dire que j'étais très jolie. Nous avons discuté pendant 2-3h et il finit par passer la nuit chez moi (à sa demande). Il était 1h du matin et je n'étais pas sereine de le laisser partir faire 1h30 de route. Nous avons passer une belle nuit de tendresse tout les 2.
Le lendemain, avant son départ, je lui demande s'il regrette d'être resté. Il me répond que non à 3 reprises. M'embrasse et me dit qu'il m'écrira en arrivant chez lui.
12H30: je reçoit un SMS (Oui, un SMS...) de 1001 pages, m'expliquant que finalement il regrettait. Qu'il a été faible, qu'il avait manqué de lucidité et de courage. Que c'était plus simple de me serrer dans les bras et de m'embrasser plutôt que de me dire qu'il avait pris la décision de me quitter alors qu'il n'en avait pas envie. Qu'il n'avait pas le courage de me le dire en face car il n'avait pas la force d'affronter mon regard, de me voir souffrir et que c'était légitime de penser que c'était le plus gros connard de l'histoire.
Sous la colère et au téléphone, je lui ai dit que c'était un put*in de lâche et qu'il m'avait clairement manqué de respect. Que je regrettait de lui avoir ouvert mon cœur, de lui avoir fait confiance, de l'avoir aimé... Il a pleuré. (Ensuite je vous passe le blabla traditionnel) il finit par raccrocher en me disant "si tu as besoin de m'écrire dans les prochains jours, je te répondrais." Dans ma tête il été hors de question que je le fasse.
Le soir de la rupture il me téléphone... 1 fois, 2 fois, 3 fois. Je répond pas. Le lendemain, 13 appels en abs. Le surlendemain: 17 appels en abs.
Je fini par décrocher. Il est en pleurs, je lui manque, il a besoin de me voir. Il a l'impression de prendre la mauvaise décision. Me dit que je suis une personne "rare", le genre de femme qu'on ne rencontre que rarement, que j'ai été parfaite avec lui mais qu'aujourd'hui c'est lui qui faute. Il regrette d'avoir agis comme un con lors de la rupture et me dit qu'il n'est pas prêt à renoncer a moi, que le fait de sentir que je lui appartient le rassure... m'appelle "mon cœur"
Je lui ai répondu que j'étais très en colère contre lui, qu'il avait fait preuve d’égoïsme et de lâcheté mais que je n'allais pas le blâmer car je savais qu'il était assez intelligent pour savoir qu'il avait merdé et qu'il m'avais quitté de la pire des manière. Que je n'avais pas besoin de l'entendre pour lui donner bonne conscience. Nous raccrochons et ces derniers mots sont: "Je te fais de gros bisous, je pense très fort à toi"
Depuis, 9 jours se sont écoulés et c'est le silence total.
Je sais pas comment l’interpréter ni comment le gérer. J'essaie de ne pas m'accrocher à ce dernier appel car ces paroles ont très bien pu être dites sur le coup de l'émotion et il a très bien pu depuis, revenir dessus.
J'essaie de tenir le SR, de ne pas lui écrire car ce que je lui écrirait serait inutile car je lui ai déjà tout dit. Je pense avoir tout fait pour sauver notre relation et il m'as de toute façon dit que je ne pouvais pas faire plus.
J'ai besoin de vos conseils, savoir ce que vous en pensez, si je dois espérer avoir de ses nouvelles, ou pas.
Comment tenir le SR...
J'ai mal au coeur, je n'ai tellement pas envie que cette histoire se termine. J'ai une sensation de relation inachevée. J'ai vraiment besoin d'avis extérieurs.
Je vous demanderais simplement de ne pas juger.
Merci d'avance.
M.
Désolé d'avance pour la longueur du topic, je vais essayer d'énumérer les points que je juge important concernant mon histoire.
- Je suis séparé de mon ex copain depuis maintenant 11 jours et en SR depuis 9 jours
- La rupture est à son initiative
- La relation a été plutôt courte, 6 mois, mais très forte et très riche.
- J'ai 24 ans, lui 26
- Relation à distance (120 km l'un de l'autre), on se voyez tous les we.
Concernant notre relation, je dirais qu'elle a plutôt démarrer sur les chapeaux de roues. Nous nous sommes très vite découvert de nombreux points communs important, une vision de la vie similaire, mêmes envies, mêmes projets de vie, mêmes centres d'intérêt. Assez peu probable pour être vrai, et pourtant... Sans pour autant m'emballer face à l'évidence, puisque je suis de nature méfiante au premier abord. En effet, au début de mes relations j'ai très souvent des mécanismes de défenses qui sont en alertes et qui je pense, me freine et me bloque. Enfin.
Malgré la distance, nous prenons quand même la décision d'entamer cette relation car nous pensons tous les 2 que cela en vaut la peine, malgré les contraintes.
Les 3-4 premiers mois ont bien sûr été magiques, très belle complicité qui se développe entre nous, très belle entente, nous sommes très proches, vive sensation que cet homme correspond en tout point à ce que je me tue à chercher depuis des années, et vice versa. Nous profitons de chaque instant même si les WE sont très court.
Basant notre relation sur la sincérité, l’honnêteté et le respect, je lui fais part au bout d'un mois des nombreux problèmes familiaux que je rencontre (sans rentrer dans les détails) et du poids que cela engendre dans ma vie. Je lui explique que j'ai traversé de nombreuses choses difficiles et que j'en traverserai probablement encore. J'avais besoin qu'il me dise s'il avait les épaules assez larges afin d'accepter cette partie de ma vie aussi difficile soit elle mais qui contribue aussi à me faire devenir la femme que je suis aujourd'hui.
Compréhensif, il me dit qu'il sera présent pour m'épauler, que ça ne lui posera sans doutes pas de pbs.
Entre le 2e et le 3e mois, je sens qu'il est très accroché à moi, moi aussi beaucoup, mais lui probablement plus.
Je sens bien qu'il a envie de laisser exploser ce qu'il a sur le cœur sauf que moi, mes mécanismes de défenses font surface, se manifestant parfois par une agressivité comme si j'avais peur qu'il me fasse du mal. Résultat: je flippe par peur de me tromper, peur de m'attacher. Il en est conscient et je pense qu'avec le recul, il en a beaucoup souffert. Le moment arrive où il me confit être amoureux (dans un contexte assez pourri par contre: suite à une dispute) Je n'ai pas été capable de lui en dire de même. Je lui ai simplement répondu que cela me touchait profondément, que j'avais beaucoup de sentiments pour lui mais que j'avais besoin de laisser mûrir les miens. Il a compris et m'as laissé le temps d'avancer a mon rythme.
Le temps passe, toujours aussi complice, beaucoup de partage, de communication, réellement aucun souci au niveau de notre couple, je me rends compte que mes sentiments sont bien plus forts que ce que je veux l'admettre. Il est clair que cet homme là, j'en suis tombé amoureuse. Il correspond à ce que j'attendais que j'ai la sensation d'avoir refuser de croire qu'il existait vraiment et que j'étais en couple avec lui.
... Seulement je m'en suis rendu compte trop tard.
Courant Juin, nous avons une discussion à son initiative. Il me dit qu'il a besoin de me confier sur ses interrogations, ses craintes mais qu'il ne souhaite pas me perdre. Effectivement, il doute, il a l'impression que nous n'avançons pas au même rythme, que nous sommes décalés. Dans un élan de tristesse face à ce qu'il me balance, je lui avoue que je mes sentiments pour lui sont sincères, bref je lui annonce que j'en suis amoureuse. Et là, coup de massue, ce n'est plus son cas enfin en tout cas il ne sait plus. Il me confit que le décalage de nos sentiments l'avait fait réfléchir et qu'il avait peur de lui s'être trop emballer, que le fait de ne pas lui avoir dit que je l'aimais aussi l'avait fait douter de lui même et qu'il pensait que c'était lui qui allait trop vite.

... Sauf que les choses ne se sont pas vraiment arrangées. Ma vie personnelle et professionnelle se sont considérablement dégradées (rupture de mon contrat et donc chômage, pbs familiaux très graves). J'ai commencé à plonger dans une période où plus rien n'allait, pas le moral, peu de soutien hormis le sien et celui de mes amis. Il en a malheureusement souffert de me voir subir ce que je vivais et m'as vu plonger moralement et psychiquement. Notre relation s'est quelque peu détériorée dans le sens où je sentais que cette fois ci je m'accrochais et lui, s'éloignait progressivement au travers de ses réactions notamment.
Mi Juillet, je monte chez lui lors d'un WE et me dit que nous devons parler :
- Il ne sait pas où il en est, complétement perdu
- N'arrive pas a se projeter avec moi dans l'avenir à cause de ce qu'il se passe dans ma vie perso
- Que tout ce qu'il m'est arrivé, l'a épuisé moralement
- Sensation de souci de timing dans notre relation
Mais il ne souhaite vraiment pas me perdre et tiens à moi sincèrement et profondément.
Il me demande de lui laisser une semaine et demi de réflexion, je respecte sa décision et accepte.
Je vous épargne les détails inutiles de la semaine: attente interminable suffira. il me tel cependant 2 fois durant cette semaine car il avait besoin de m'entendre, de me parler, qu'il avait la sensation d'être en total contradiction avec lui même.
Bref, au bout d'un peu plus d'une semaine, il souhaite passer me voir pour que nous discutions.
Je pensais qu'il avait pris sa décision. Il me dit ne pas être plus avancé dans sa réflexion.
Il me dit être conscient que je représente la femme qu'il recherche dans sa vie, ne pas vouloir renoncer à moi, ne pas vouloir me perdre mais qu'il n'arrivait plus à avancer ni à revenir sur ses sentiments. Il a fini par venir vers moi, par m'embrasser, me dire que j'étais très jolie. Nous avons discuté pendant 2-3h et il finit par passer la nuit chez moi (à sa demande). Il était 1h du matin et je n'étais pas sereine de le laisser partir faire 1h30 de route. Nous avons passer une belle nuit de tendresse tout les 2.
Le lendemain, avant son départ, je lui demande s'il regrette d'être resté. Il me répond que non à 3 reprises. M'embrasse et me dit qu'il m'écrira en arrivant chez lui.
12H30: je reçoit un SMS (Oui, un SMS...) de 1001 pages, m'expliquant que finalement il regrettait. Qu'il a été faible, qu'il avait manqué de lucidité et de courage. Que c'était plus simple de me serrer dans les bras et de m'embrasser plutôt que de me dire qu'il avait pris la décision de me quitter alors qu'il n'en avait pas envie. Qu'il n'avait pas le courage de me le dire en face car il n'avait pas la force d'affronter mon regard, de me voir souffrir et que c'était légitime de penser que c'était le plus gros connard de l'histoire.
Sous la colère et au téléphone, je lui ai dit que c'était un put*in de lâche et qu'il m'avait clairement manqué de respect. Que je regrettait de lui avoir ouvert mon cœur, de lui avoir fait confiance, de l'avoir aimé... Il a pleuré. (Ensuite je vous passe le blabla traditionnel) il finit par raccrocher en me disant "si tu as besoin de m'écrire dans les prochains jours, je te répondrais." Dans ma tête il été hors de question que je le fasse.
Le soir de la rupture il me téléphone... 1 fois, 2 fois, 3 fois. Je répond pas. Le lendemain, 13 appels en abs. Le surlendemain: 17 appels en abs.
Je fini par décrocher. Il est en pleurs, je lui manque, il a besoin de me voir. Il a l'impression de prendre la mauvaise décision. Me dit que je suis une personne "rare", le genre de femme qu'on ne rencontre que rarement, que j'ai été parfaite avec lui mais qu'aujourd'hui c'est lui qui faute. Il regrette d'avoir agis comme un con lors de la rupture et me dit qu'il n'est pas prêt à renoncer a moi, que le fait de sentir que je lui appartient le rassure... m'appelle "mon cœur"
Je lui ai répondu que j'étais très en colère contre lui, qu'il avait fait preuve d’égoïsme et de lâcheté mais que je n'allais pas le blâmer car je savais qu'il était assez intelligent pour savoir qu'il avait merdé et qu'il m'avais quitté de la pire des manière. Que je n'avais pas besoin de l'entendre pour lui donner bonne conscience. Nous raccrochons et ces derniers mots sont: "Je te fais de gros bisous, je pense très fort à toi"
Depuis, 9 jours se sont écoulés et c'est le silence total.
Je sais pas comment l’interpréter ni comment le gérer. J'essaie de ne pas m'accrocher à ce dernier appel car ces paroles ont très bien pu être dites sur le coup de l'émotion et il a très bien pu depuis, revenir dessus.
J'essaie de tenir le SR, de ne pas lui écrire car ce que je lui écrirait serait inutile car je lui ai déjà tout dit. Je pense avoir tout fait pour sauver notre relation et il m'as de toute façon dit que je ne pouvais pas faire plus.
J'ai besoin de vos conseils, savoir ce que vous en pensez, si je dois espérer avoir de ses nouvelles, ou pas.
Comment tenir le SR...
J'ai mal au coeur, je n'ai tellement pas envie que cette histoire se termine. J'ai une sensation de relation inachevée. J'ai vraiment besoin d'avis extérieurs.
Je vous demanderais simplement de ne pas juger.
Merci d'avance.
M.