- 25 avr. 2016, 12:49
#1145418
Bonjour,
Tout d’abord merci de m’accueillir dans votre forum. Mon histoire je pense est assez atypique et je vais me permettre de vous la raconter aux détails près.
Elle et moi nous nous sommes rencontrés en octobre 2014. J’étais à ce moment-là au top de ma self confidence et je l’ai remarqué au milieu de pleins d’autre filles, je l’abordais. Tout se passa rapidement entre nous, on fît connaissance et l’attirance mutuelle émergea naturellement.
Elle me racontait sa vie, moi la mienne. Un grand gouffre nous séparait : Elle avait la double culture Franco-Marocaine, moi pas. Elle avait fait la mission française, et deux années de DCG à Bordeaux avant de revenir au Maroc. Moi j’étais un habitué de l’école marocaine depuis mon jeune âge jusqu’à maintenant. Elle avait un passé bien plus intéressant et plus de conquêtes que je n’ai eu. C’était une fêtarde, moi pas. Elle fumait et buvait, moi pas (attention je ne l’ai jamais jugé et je l’ai accepté comme elle est).
Nous avions des différences, pleins de différence mais nous nous entendions quand même. On décida d’un commun accord d’officialiser rapidement notre union. Un pari risqué qui se heurta au scepticisme de mon entourage qui voyait que vu nos profils respectifs. Elle n’était pas une fille pour moi.
Le 30 mai 2015, je lui passais la bague au doigt. Dès lors commençaient les problèmes….
Deux disputes violentes pendant le ramadan, un été noir où on ne se voyait pratiquement jamais. On ne communiquait presque pas, ça battait de l’aile et ni elle, ni mois n’avions essayé de briser le silence. Je ne savais rien d’elle et ça me rongeait, me rendait parano. J’étais suspicieux, agacé par son manque d’expression, son manque de romantisme, alors que moi je suis un grand romantique et expressif.
La rentrée étais plutôt calme, jusqu’au jour où je surprenais un appel provenant de son ex des années Bordelaises. Elle me donna l’excuse suivante : je l’ai contacté parce que je veux un stage et qu’il est seul resté sur place.
Trois jours plus tard, elle me demanda une pause où au bout de quinze de jours je finis par craquer devant ses parents de colère, de frustration et de jalousie. Nous rompâmes nos fiançailles et je croyais être coupable de tout ça. Quand j’appris de sources sûres et avec preuves concrètes qu’elle faisait le tour des bars et pubs sans me le dire, fricotait avec un autre tandis que moi je restais pénard chez moi et lui restait fidèle.
Pris d’orgueil, je refusais ses avances pour qu’on reprenne. Elle essayait par tous les moyens : provocations et insultes en public, violence, menaces… Mais au bout d’un mois l’amour que j’ai pour elle fît que je lui pardonnais tout ce qu’elle m’avait fait subir et tout ce que je garder en moi-même si elle m’avait « trompé ».
Depuis 2016 : des allers retours incessants. Moi je la poursuis avec mes sentiments et elle brasse le chaud et le froid. Tantôt je suis l’homme de sa vie, tantôt je suis un gars quelconque ou petit parasite dans son existence.
Ca fait maintenant un mois qu’elle est Bordeaux. Aux dernières nouvelles, elle bosse à mi-temps et m’a dit clairement ne revenir qu’en septembre pour sa thèse et que moi actuellement, notre relation est à mettre entre parenthèses. En plus, je suis toujours le coupable désigné du fiasco des fiançailles.
Que faire ? Comment la reséduire, l’amener à casser ses barrières qu’elle met entre nous ? Est-ce mort vue la distance ou que je peux la récupérer encore ?
Tout d’abord merci de m’accueillir dans votre forum. Mon histoire je pense est assez atypique et je vais me permettre de vous la raconter aux détails près.
Elle et moi nous nous sommes rencontrés en octobre 2014. J’étais à ce moment-là au top de ma self confidence et je l’ai remarqué au milieu de pleins d’autre filles, je l’abordais. Tout se passa rapidement entre nous, on fît connaissance et l’attirance mutuelle émergea naturellement.
Elle me racontait sa vie, moi la mienne. Un grand gouffre nous séparait : Elle avait la double culture Franco-Marocaine, moi pas. Elle avait fait la mission française, et deux années de DCG à Bordeaux avant de revenir au Maroc. Moi j’étais un habitué de l’école marocaine depuis mon jeune âge jusqu’à maintenant. Elle avait un passé bien plus intéressant et plus de conquêtes que je n’ai eu. C’était une fêtarde, moi pas. Elle fumait et buvait, moi pas (attention je ne l’ai jamais jugé et je l’ai accepté comme elle est).
Nous avions des différences, pleins de différence mais nous nous entendions quand même. On décida d’un commun accord d’officialiser rapidement notre union. Un pari risqué qui se heurta au scepticisme de mon entourage qui voyait que vu nos profils respectifs. Elle n’était pas une fille pour moi.
Le 30 mai 2015, je lui passais la bague au doigt. Dès lors commençaient les problèmes….
Deux disputes violentes pendant le ramadan, un été noir où on ne se voyait pratiquement jamais. On ne communiquait presque pas, ça battait de l’aile et ni elle, ni mois n’avions essayé de briser le silence. Je ne savais rien d’elle et ça me rongeait, me rendait parano. J’étais suspicieux, agacé par son manque d’expression, son manque de romantisme, alors que moi je suis un grand romantique et expressif.
La rentrée étais plutôt calme, jusqu’au jour où je surprenais un appel provenant de son ex des années Bordelaises. Elle me donna l’excuse suivante : je l’ai contacté parce que je veux un stage et qu’il est seul resté sur place.
Trois jours plus tard, elle me demanda une pause où au bout de quinze de jours je finis par craquer devant ses parents de colère, de frustration et de jalousie. Nous rompâmes nos fiançailles et je croyais être coupable de tout ça. Quand j’appris de sources sûres et avec preuves concrètes qu’elle faisait le tour des bars et pubs sans me le dire, fricotait avec un autre tandis que moi je restais pénard chez moi et lui restait fidèle.
Pris d’orgueil, je refusais ses avances pour qu’on reprenne. Elle essayait par tous les moyens : provocations et insultes en public, violence, menaces… Mais au bout d’un mois l’amour que j’ai pour elle fît que je lui pardonnais tout ce qu’elle m’avait fait subir et tout ce que je garder en moi-même si elle m’avait « trompé ».
Depuis 2016 : des allers retours incessants. Moi je la poursuis avec mes sentiments et elle brasse le chaud et le froid. Tantôt je suis l’homme de sa vie, tantôt je suis un gars quelconque ou petit parasite dans son existence.
Ca fait maintenant un mois qu’elle est Bordeaux. Aux dernières nouvelles, elle bosse à mi-temps et m’a dit clairement ne revenir qu’en septembre pour sa thèse et que moi actuellement, notre relation est à mettre entre parenthèses. En plus, je suis toujours le coupable désigné du fiasco des fiançailles.
Que faire ? Comment la reséduire, l’amener à casser ses barrières qu’elle met entre nous ? Est-ce mort vue la distance ou que je peux la récupérer encore ?