- 14 avr. 2016, 14:37
#1142432
Bonjour à tous !
Ma rupture date d'un peu plus d'une semaine donc voici mon histoire :
J'ai rencontré S. à l'été 2013 au Canada. J'y étais expatriée et lui était seulement en vacances. Il reprenait des études de 5 ans à la rentrée. C'est un ami commun qui nous a présenté en me disant que c'était un mec pour moi... et effectivement, ça a été le coup de foudre (pour moi, en tous cas). On est devenus des plans Q puisqu'on n'avait pas envie d'une relation à distance par la suite.
Il est parti deux mois plus tard, les adieux ont été déchirants. J'ai mis plusieurs mois à m'en remettre. On continuait à se parler. Je savais que je lui manquais et je me doutais qu'il ne voyait personne d'autre puisqu'il est d'une nature introvertie et qu'il est à fond dans ses études.
J'ai fini par faire d'autres rencontres, mais je pensais toujours à lui, et il m'a annoncé qu'il revenait deux semaines me voir (et revoir ses amis) au Canada en avril 2014. Et deux semaines plus tard, c'est moi qui revenais en France en vacances. On a passé 5 jours ensemble. Les 5 meilleures jours de ma vie. On s'est vraiment découverts en dehors du sexe. Et je me suis rendue compte qu'on avait beaucoup de valeurs communes, qu'on avait un caractère très complémentaire, le même sens de l'humour.
Quand je suis rentrée au Canada, dans ma tête, c'était terminé pour de bon. On ne se reverrait plus parce qu'on allait forcément rencontrer quelqu'un d'autre. Mais on a continué à se parler.
En janvier 2015, j'ai décidé de rentrer en France pour un temps parce que la vie au Canada ne me plaisait plus et que je voulais depuis un moment voyager en Amérique du Sud, j'avais besoin de revoir ma famille et lui par-dessus tout.
Il était la 1ère personne à qui je l'ai annoncé, et c'était une évidence qu'on se mettrait ensemble à mon retour. Je suis donc retournée chez mes parents trois mois plus tard, en mai, et le hasard faisant qu'il habitait à 1h de route de chez eux, ça a été très facile de passer le plus clair de notre temps ensemble. On avait mis les choses au clair une semaine avant mon retour : on était un couple mais sans faire de projets sur le long terme. Mon départ en Amérique du Sud était alors prévu vers novembre. Et j'avais prévu de retourner vivre au Canada après parce que j'avais investi beaucoup d'argent dans mes démarches d'immigration.
Finalement, je suis restée neuf mois, principalement pour lui. Ce fut neuf mois passionnels et difficiles. Je n'ai absolument aucune confiance en moi, et je suis dépendante affective (même si j'ai quitté tous mes ex), et à plusieurs moments j'ai douté de son amour. Il ne voulait pas me dire qu'il m'aimait parce qu'il voulait se protéger par rapport à notre prochaine séparation, il ne voulait pas rencontrer mes amis, j'avais peur qu'il m'oublie après,… On s'est attachés de plus en plus. Et j'ai fini par être sûre de son amour. Mais, pour résumer, en neuf mois, il y a eu plusieurs mini-séparations, et je lui ai fait beaucoup de mal, je l'ai déçu, j'ai été égoïste très souvent. Je sais que j'ai un gros travail psychologique à faire sur ça parce que j'ai toujours été comme ça avec tous mes ex.
Au moment de mon départ, on s'est dit qu'on allait se retrouver un jour et que cette fois-ci ce serait la bonne. Il m'a tout pardonné parce qu'il comprenait qu'à cause de mon départ, j'avais besoin d'être rassurée, que j'avais besoin de plus d'attentions,… Il était confiant sur le fait que ce voyage allait me faire grandir, et me donner confiance en moi.
Je suis donc partie et on a continué à se parler, à s'appeler, mais comme un couple, avec des « je t'aime », des « mon amour », comme si on était sûrs que ce n'était qu'une séparation temporaire. Tout se passait bien, mais le problème c'est qu'il était trop dans ma tête donc je ne profitais pas assez de mon voyage. Il le sentait. Il m'a donc proposé qu'on se parle mois souvent parce qu'il voulait absolument que je profite à fond de ce voyage. Moi, j'ai commencé à réfléchir sérieusement à ce que j'allais faire après, et une formation en France me tentait bien. Je me rendais compte aussi que j'en avais marre d'être avec lui en « intérim ». Dans ma tête, c'était clair, on allait se retrouver en France d'ici la fin de l'année.
Malheureusement, en 2 mois de voyage, il y a eu 2 grosses crises. La 1ère l'a fait douté de mes sentiments puisque, comme d'habitude, j'ai été égoïste mais il m'a pardonné rapidement.
La dernière date d'il y a 10 jours. Il venait d'apprendre que son beau-père avait une tumeur au pancréas. Étant très proche de lui, il a décidé de passer tout son temps (ce sont les vacances scolaires en ce moment) avec lui pour le soutenir en attendant les résultats définitifs qui allaient confirmer le cancer. Le problème, c'est que dans 1 mois, c'est la période des exams, et il a beaucoup de retard. Et dans ce cas-là, il se couche très tard et se lève très tôt. J'ai pris peur pour lui, parce qu'il tombe souvent malade dans ce cas-là, et je lui ai conseillé de prendre aussi soin de lui parce que sinon il ne tiendra pas le coup et qu'il ne pourra pas donner le courage nécessaire à son beau-père. Je me suis senti vraiment impuissante de ne pas être près de lui, je commençais déjà à penser à rentrer en France pour lui apporter le soutien nécessaire. Mais il s'est énervé. Et il a dit qu'il ne voulait pas passer une seule journée sans être avec son beau-père et que ses études seraient secondaires dorénavant. Dans ce cas-là, qu'est-ce que je fais ? La pire réaction qu'il soit, je me protège, moi, et je lui dis qu'il vaut mieux qu'on arrête de se parler pendant un mois (je viens de trouver un emploi d'un mois dans une ville où il n'y a pas grand-chose à faire, et le but était effectivement que je pense à moi et à la suite de mon voyage). Et là, il me dit que c'est la pire chose que je pouvais lui faire, le lâcher à ce moment-là. Et que je l'avais déçu une fois de plus, qu'on avait fait le tour de la relation, et qu'il me souhaitait que le meilleur, et que je devrais enfin penser à mon voyage plutôt qu'à lui. Il ne m'a plus parlé pendant 3 jours.
Je lui ai envoyé plusieurs messages en lui disant que je regrettais, que je voulais être à ses côtés, que j'étais sûre qu'il se sentirait mieux si j'étais là et il m'a dit que oui effectivement. Il a fini par me répondre de façon très brève sans me poser aucune question. Je lui ai demandé des nouvelles de son beau-père. Entre-temps, on a aussi parlé de notre relation. Il me dit qu'il ne veut pas couper les ponts mais faire un bon break, au moins jusqu'à la fin de ses exams,… Il me dit aussi que les messages d'amour que je lui envoie ne lui font plus aucun effet. Je sens que je le perds parce que c'est la 1ère fois qu'il réagit comme ça. Mais je comprends que je l'ai blessé au point que je pense qu'il ne pourra pas me pardonner. Ayant un autre défaut, celui d'être têtue, je ne m'avoue pas vaincu, je continue à lui envoyer des messages, et hier, on a presque une « vraie » discussion. Je lui ai redemandé si il voulait qu'on arrête les messages, il m'a dit que non sauf si moi ça me faisait du bien par rapport à mon voyage. Il me dit qu'il ne veut pas que je rentre en France pour lui. Je lui ai demandé si c'était parce qu'il ne voulait pas de moi. Il m'a répondu que non, que c'était parce qu'il ne voulait pas que je gâche mon voyage. Et puis là, je l'ai vraiment déçu, qu'il m'avait déjà averti qu'il ne me pardonnerait pas éternellement.
Je me suis couchée en sachant que ce serait très dur pour lui aujourd’hui, puisque c'était le jour où son beau-père aurait ses résultats. Je lui ai envoyé un message dès que j'ai pu, il m'a confirmé le diagnostic de cancer. Je lui ai proposé qu'on s'appelle quand il rentrerait chez lui le soir, et il m'a répondu que non merci, ça irait, qu'il rentrerait tard et qu'il avait un dossier à faire en rentrant. Je lui ai dit que je sais qu'il avait besoin de parler avec quelqu'un parce que je le connais et que si c'est pas avec moi, j'espère qu'il le ferait avec quelqu'un d'autre (mais j'en doute parce qu'il est du genre à garder tout pour lui sauf avec moi). Et je lui ai dit que je voyais qu'il se connectait souvent sur whatsapp et sur fb et que, à part moi, il ne parle à personne via ces applications là, et que donc ça voulait tout dire (sous-entendu, je sais que t'attends que je t'envoie un message). Il m'a répondu « bon ben je ne regarderai plus ». Finalement, il m'a recontacté pour me donner des nouvelles de son beau-père. Notre dernière conversation date de 3 jours...
Et je suis tombée sur ce forum, et j'ai décidé d'appliquer la technique du SR, parce que d'abord il faut que je pense à moi de nouveau, et puis, il faut que je commence enfin à le respecter, et donc à respecter ses décisions. Surtout que ça ne va pas être une période très facile pour lui. Mais je ne sais pas si je ne devrais pas continuer à lui envoyer des messages quand même pour avoir des nouvelles de son beau-père et pour lui montrer simplement que je le soutiens. Ça me rend dingue de savoir qu'il n'y a personne pour le soutenir, lui (même si, évidemment, ça aurait dû être moi), et qu'il n'a personne à qui se confier et donc, de le laisser comme ça.
En ce moment, j'essaye de me dire que le plus important n'est pas que je le récupère ou non, mais que son beau-père aille mieux et que S. puisse l'aider au mieux.
Ma rupture date d'un peu plus d'une semaine donc voici mon histoire :
J'ai rencontré S. à l'été 2013 au Canada. J'y étais expatriée et lui était seulement en vacances. Il reprenait des études de 5 ans à la rentrée. C'est un ami commun qui nous a présenté en me disant que c'était un mec pour moi... et effectivement, ça a été le coup de foudre (pour moi, en tous cas). On est devenus des plans Q puisqu'on n'avait pas envie d'une relation à distance par la suite.
Il est parti deux mois plus tard, les adieux ont été déchirants. J'ai mis plusieurs mois à m'en remettre. On continuait à se parler. Je savais que je lui manquais et je me doutais qu'il ne voyait personne d'autre puisqu'il est d'une nature introvertie et qu'il est à fond dans ses études.
J'ai fini par faire d'autres rencontres, mais je pensais toujours à lui, et il m'a annoncé qu'il revenait deux semaines me voir (et revoir ses amis) au Canada en avril 2014. Et deux semaines plus tard, c'est moi qui revenais en France en vacances. On a passé 5 jours ensemble. Les 5 meilleures jours de ma vie. On s'est vraiment découverts en dehors du sexe. Et je me suis rendue compte qu'on avait beaucoup de valeurs communes, qu'on avait un caractère très complémentaire, le même sens de l'humour.
Quand je suis rentrée au Canada, dans ma tête, c'était terminé pour de bon. On ne se reverrait plus parce qu'on allait forcément rencontrer quelqu'un d'autre. Mais on a continué à se parler.
En janvier 2015, j'ai décidé de rentrer en France pour un temps parce que la vie au Canada ne me plaisait plus et que je voulais depuis un moment voyager en Amérique du Sud, j'avais besoin de revoir ma famille et lui par-dessus tout.
Il était la 1ère personne à qui je l'ai annoncé, et c'était une évidence qu'on se mettrait ensemble à mon retour. Je suis donc retournée chez mes parents trois mois plus tard, en mai, et le hasard faisant qu'il habitait à 1h de route de chez eux, ça a été très facile de passer le plus clair de notre temps ensemble. On avait mis les choses au clair une semaine avant mon retour : on était un couple mais sans faire de projets sur le long terme. Mon départ en Amérique du Sud était alors prévu vers novembre. Et j'avais prévu de retourner vivre au Canada après parce que j'avais investi beaucoup d'argent dans mes démarches d'immigration.
Finalement, je suis restée neuf mois, principalement pour lui. Ce fut neuf mois passionnels et difficiles. Je n'ai absolument aucune confiance en moi, et je suis dépendante affective (même si j'ai quitté tous mes ex), et à plusieurs moments j'ai douté de son amour. Il ne voulait pas me dire qu'il m'aimait parce qu'il voulait se protéger par rapport à notre prochaine séparation, il ne voulait pas rencontrer mes amis, j'avais peur qu'il m'oublie après,… On s'est attachés de plus en plus. Et j'ai fini par être sûre de son amour. Mais, pour résumer, en neuf mois, il y a eu plusieurs mini-séparations, et je lui ai fait beaucoup de mal, je l'ai déçu, j'ai été égoïste très souvent. Je sais que j'ai un gros travail psychologique à faire sur ça parce que j'ai toujours été comme ça avec tous mes ex.
Au moment de mon départ, on s'est dit qu'on allait se retrouver un jour et que cette fois-ci ce serait la bonne. Il m'a tout pardonné parce qu'il comprenait qu'à cause de mon départ, j'avais besoin d'être rassurée, que j'avais besoin de plus d'attentions,… Il était confiant sur le fait que ce voyage allait me faire grandir, et me donner confiance en moi.
Je suis donc partie et on a continué à se parler, à s'appeler, mais comme un couple, avec des « je t'aime », des « mon amour », comme si on était sûrs que ce n'était qu'une séparation temporaire. Tout se passait bien, mais le problème c'est qu'il était trop dans ma tête donc je ne profitais pas assez de mon voyage. Il le sentait. Il m'a donc proposé qu'on se parle mois souvent parce qu'il voulait absolument que je profite à fond de ce voyage. Moi, j'ai commencé à réfléchir sérieusement à ce que j'allais faire après, et une formation en France me tentait bien. Je me rendais compte aussi que j'en avais marre d'être avec lui en « intérim ». Dans ma tête, c'était clair, on allait se retrouver en France d'ici la fin de l'année.
Malheureusement, en 2 mois de voyage, il y a eu 2 grosses crises. La 1ère l'a fait douté de mes sentiments puisque, comme d'habitude, j'ai été égoïste mais il m'a pardonné rapidement.
La dernière date d'il y a 10 jours. Il venait d'apprendre que son beau-père avait une tumeur au pancréas. Étant très proche de lui, il a décidé de passer tout son temps (ce sont les vacances scolaires en ce moment) avec lui pour le soutenir en attendant les résultats définitifs qui allaient confirmer le cancer. Le problème, c'est que dans 1 mois, c'est la période des exams, et il a beaucoup de retard. Et dans ce cas-là, il se couche très tard et se lève très tôt. J'ai pris peur pour lui, parce qu'il tombe souvent malade dans ce cas-là, et je lui ai conseillé de prendre aussi soin de lui parce que sinon il ne tiendra pas le coup et qu'il ne pourra pas donner le courage nécessaire à son beau-père. Je me suis senti vraiment impuissante de ne pas être près de lui, je commençais déjà à penser à rentrer en France pour lui apporter le soutien nécessaire. Mais il s'est énervé. Et il a dit qu'il ne voulait pas passer une seule journée sans être avec son beau-père et que ses études seraient secondaires dorénavant. Dans ce cas-là, qu'est-ce que je fais ? La pire réaction qu'il soit, je me protège, moi, et je lui dis qu'il vaut mieux qu'on arrête de se parler pendant un mois (je viens de trouver un emploi d'un mois dans une ville où il n'y a pas grand-chose à faire, et le but était effectivement que je pense à moi et à la suite de mon voyage). Et là, il me dit que c'est la pire chose que je pouvais lui faire, le lâcher à ce moment-là. Et que je l'avais déçu une fois de plus, qu'on avait fait le tour de la relation, et qu'il me souhaitait que le meilleur, et que je devrais enfin penser à mon voyage plutôt qu'à lui. Il ne m'a plus parlé pendant 3 jours.
Je lui ai envoyé plusieurs messages en lui disant que je regrettais, que je voulais être à ses côtés, que j'étais sûre qu'il se sentirait mieux si j'étais là et il m'a dit que oui effectivement. Il a fini par me répondre de façon très brève sans me poser aucune question. Je lui ai demandé des nouvelles de son beau-père. Entre-temps, on a aussi parlé de notre relation. Il me dit qu'il ne veut pas couper les ponts mais faire un bon break, au moins jusqu'à la fin de ses exams,… Il me dit aussi que les messages d'amour que je lui envoie ne lui font plus aucun effet. Je sens que je le perds parce que c'est la 1ère fois qu'il réagit comme ça. Mais je comprends que je l'ai blessé au point que je pense qu'il ne pourra pas me pardonner. Ayant un autre défaut, celui d'être têtue, je ne m'avoue pas vaincu, je continue à lui envoyer des messages, et hier, on a presque une « vraie » discussion. Je lui ai redemandé si il voulait qu'on arrête les messages, il m'a dit que non sauf si moi ça me faisait du bien par rapport à mon voyage. Il me dit qu'il ne veut pas que je rentre en France pour lui. Je lui ai demandé si c'était parce qu'il ne voulait pas de moi. Il m'a répondu que non, que c'était parce qu'il ne voulait pas que je gâche mon voyage. Et puis là, je l'ai vraiment déçu, qu'il m'avait déjà averti qu'il ne me pardonnerait pas éternellement.
Je me suis couchée en sachant que ce serait très dur pour lui aujourd’hui, puisque c'était le jour où son beau-père aurait ses résultats. Je lui ai envoyé un message dès que j'ai pu, il m'a confirmé le diagnostic de cancer. Je lui ai proposé qu'on s'appelle quand il rentrerait chez lui le soir, et il m'a répondu que non merci, ça irait, qu'il rentrerait tard et qu'il avait un dossier à faire en rentrant. Je lui ai dit que je sais qu'il avait besoin de parler avec quelqu'un parce que je le connais et que si c'est pas avec moi, j'espère qu'il le ferait avec quelqu'un d'autre (mais j'en doute parce qu'il est du genre à garder tout pour lui sauf avec moi). Et je lui ai dit que je voyais qu'il se connectait souvent sur whatsapp et sur fb et que, à part moi, il ne parle à personne via ces applications là, et que donc ça voulait tout dire (sous-entendu, je sais que t'attends que je t'envoie un message). Il m'a répondu « bon ben je ne regarderai plus ». Finalement, il m'a recontacté pour me donner des nouvelles de son beau-père. Notre dernière conversation date de 3 jours...
Et je suis tombée sur ce forum, et j'ai décidé d'appliquer la technique du SR, parce que d'abord il faut que je pense à moi de nouveau, et puis, il faut que je commence enfin à le respecter, et donc à respecter ses décisions. Surtout que ça ne va pas être une période très facile pour lui. Mais je ne sais pas si je ne devrais pas continuer à lui envoyer des messages quand même pour avoir des nouvelles de son beau-père et pour lui montrer simplement que je le soutiens. Ça me rend dingue de savoir qu'il n'y a personne pour le soutenir, lui (même si, évidemment, ça aurait dû être moi), et qu'il n'a personne à qui se confier et donc, de le laisser comme ça.
En ce moment, j'essaye de me dire que le plus important n'est pas que je le récupère ou non, mais que son beau-père aille mieux et que S. puisse l'aider au mieux.