- 27 janv. 2016, 02:10
#1121083
Bonjour,
Alors voilà, je vous raconte mon histoire. J'ai rencontré ma copine à Paris alors que j'arrivais de province et ayant été admis à la Sorbonne, il y a 1 an et demi. J'étais en couple depuis 4 ans avec une autre personne que je n'aimais plus mais qui m'apportait beaucoup de soutien psychologique et avec qui je m'entendais super bien malgré une distance qui nous séparé. Après avoir rencontré cette fille à la Sorbonne, nous nous sommes mis en couple au bout de quelques mois. Or, celle-ci était également en couple depuis 2 ans avec un mec également dans notre promo et nous avons trompé chacun nos deux partenaires respectifs pour finir par se mettre en couple tous les deux au tout début de l'été dernier.
Et alors là, coup de foudre, euphorie. Je la trouve magnifique, peut-être même un peu trop pour moi et elle devient le centre de ma vie. Tellement le centre de ma vie que je finis par tomber en dépendance affective en ayant plus qu'elle dans la tête. L'été se passe hyper bien, elle arrive à combler mon manque affectif à la perfection puisqu'à ce moment là c'est l'ultra euphorie.
Les choses vont se gâter à la fin de l'été quand celle-ci va partir avec ses copines une semaine à Barcelone avec les sorties en boîte. Ça m'a rendu malade toute la semaine et j'ai commencé à lui faire des crises. Ensuite, la rentrée scolaire arrive. Et là, problème, nous sommes confronté à son ex, chose qui m'est insupportable, comme pour elle, comme pour lui. Je continue mes crises à répétition et elle commence à les subir. L'euphorie du début s'estompant, il commence à me manquer quelque chose et je me sens délaissé à partir du moment où elle ne passe pas un moment avec moi. Je commence à la trouver moins tactile en public, moins démonstrative (elle ne l'est pas de nature). Au fur et à mesure du temps, nous gardons cependant une grande complicité qui va finir par s'estomper à cause de mes crises à répétition, et ce, malgré la grande attirance physique entre nous. C'est une fille très bien qui a pas mal d'amis qui font la fête et je pense que je l'ai trop isolé. Je la questionne beaucoup, lui demande souvent de me rassurer et me disait depuis pas mal de temps qu'elle était sous pression. Moi, j'essaye de changer, de contrôler ma dépendance, sans grand résultat. Je décide donc d'aller voir un psy sous ses conseils (la date du rendez-vous n'est toujours pas arrivée). Il y a deux semaines, nous programmons un voyage à Prague qui s'est passé merveilleusement malgré la craindre de la reprise des cours et le fait de revoir son ex. Celle-ci a commencé à m'avouer il y a quelques mois qu'elle culpabilise de lui avoir fait ça, ou du moins de l'avoir trompé avant de la quitter et qu'elle n'arrivait pas à se défaire de cette culpabilité.
Au lendemain de Prague,nous nous voyons sur Paris et après une énième dispute, celle-ci finit par me dire qu'elle ne peut plus, qu'elle n'y arrive plus, qu'elle est très très attachée à moi, qu'elle a des sentiments mais qu'elle n'arrive plus à subir la pression. Nous décidons de prendre des distances toute la semaine dernière pour souffler un peu. J'arrive à ce moment là à me raisonner et à prendre l'air, à moins me focaliser sur elle et à la laisser respirer. Malgré tout, à la fin de la semaine, le couperet tombe, elle a besoin d'être seule et qu'on se sépare pour digérer tout ça : sa culpabilité, ma dépendance... Elle me dit qu'à force d'enchaîner les relations sans pause célibataire qu'elle s'est perdu et qu'elle a besoin de se trouver une vocation, des loisirs, des sorties sans penser à quelqu'un d'autre. Elle ne ferme pourtant pas la porte à un retour ensemble mais en me disant de faire nos vies sans y penser et que l'on verrait bien un jour ou par la suite. Tout ceci, en m'embrassant, en me serrant dans ces bras, en pleurant.
J'ai donc décidé de passer en SR dès la fin de notre entrevue, et celle-ci le coupe au bout d'un jour en me disant qu'elle n'arrive pas à ne pas me parler, que c'est trop dur. Cependant, elle ne revient pas sur le fait que l'on se remette ensemble pour le moment, ça semble clair dans sa tête mais elle a besoin que l'on continue de se parler. Je lui dis donc gentiment et poliment que ça me met un peu mal à l'aise que l'on se parle sans être en couple dès le lendemain d'une rupture et me dit : "je trouve ça dur, c'est trop frais pour ne pas se parler mais comme tu veux, reviens me parler quand tu en auras envie."
Je lui dis donc que je ferais ça alors. Voilà où j'en suis. Elle n'a pas l'air abattue par la rupture même si elle me dit que c'est dur car elle enchaîne les sorties depuis notre rupture de la fin de semaine car je sais qu'elle n'est pas souvent chez elle et voit beaucoup de ses amis depuis.
HELP je ne sais pas quoi en penser, sachant que moi de mon côté, je suis bien motivé à régler mon problème de dépendance affective mais j'ai peur qu'il soit trop tard. Que me conseillerez-vous pour la récupérer ? Je pense que me mettre en SR maintenant est la bonne solution mais j'ai peur que ça ne soit pas suffisant...
Alors voilà, je vous raconte mon histoire. J'ai rencontré ma copine à Paris alors que j'arrivais de province et ayant été admis à la Sorbonne, il y a 1 an et demi. J'étais en couple depuis 4 ans avec une autre personne que je n'aimais plus mais qui m'apportait beaucoup de soutien psychologique et avec qui je m'entendais super bien malgré une distance qui nous séparé. Après avoir rencontré cette fille à la Sorbonne, nous nous sommes mis en couple au bout de quelques mois. Or, celle-ci était également en couple depuis 2 ans avec un mec également dans notre promo et nous avons trompé chacun nos deux partenaires respectifs pour finir par se mettre en couple tous les deux au tout début de l'été dernier.
Et alors là, coup de foudre, euphorie. Je la trouve magnifique, peut-être même un peu trop pour moi et elle devient le centre de ma vie. Tellement le centre de ma vie que je finis par tomber en dépendance affective en ayant plus qu'elle dans la tête. L'été se passe hyper bien, elle arrive à combler mon manque affectif à la perfection puisqu'à ce moment là c'est l'ultra euphorie.
Les choses vont se gâter à la fin de l'été quand celle-ci va partir avec ses copines une semaine à Barcelone avec les sorties en boîte. Ça m'a rendu malade toute la semaine et j'ai commencé à lui faire des crises. Ensuite, la rentrée scolaire arrive. Et là, problème, nous sommes confronté à son ex, chose qui m'est insupportable, comme pour elle, comme pour lui. Je continue mes crises à répétition et elle commence à les subir. L'euphorie du début s'estompant, il commence à me manquer quelque chose et je me sens délaissé à partir du moment où elle ne passe pas un moment avec moi. Je commence à la trouver moins tactile en public, moins démonstrative (elle ne l'est pas de nature). Au fur et à mesure du temps, nous gardons cependant une grande complicité qui va finir par s'estomper à cause de mes crises à répétition, et ce, malgré la grande attirance physique entre nous. C'est une fille très bien qui a pas mal d'amis qui font la fête et je pense que je l'ai trop isolé. Je la questionne beaucoup, lui demande souvent de me rassurer et me disait depuis pas mal de temps qu'elle était sous pression. Moi, j'essaye de changer, de contrôler ma dépendance, sans grand résultat. Je décide donc d'aller voir un psy sous ses conseils (la date du rendez-vous n'est toujours pas arrivée). Il y a deux semaines, nous programmons un voyage à Prague qui s'est passé merveilleusement malgré la craindre de la reprise des cours et le fait de revoir son ex. Celle-ci a commencé à m'avouer il y a quelques mois qu'elle culpabilise de lui avoir fait ça, ou du moins de l'avoir trompé avant de la quitter et qu'elle n'arrivait pas à se défaire de cette culpabilité.
Au lendemain de Prague,nous nous voyons sur Paris et après une énième dispute, celle-ci finit par me dire qu'elle ne peut plus, qu'elle n'y arrive plus, qu'elle est très très attachée à moi, qu'elle a des sentiments mais qu'elle n'arrive plus à subir la pression. Nous décidons de prendre des distances toute la semaine dernière pour souffler un peu. J'arrive à ce moment là à me raisonner et à prendre l'air, à moins me focaliser sur elle et à la laisser respirer. Malgré tout, à la fin de la semaine, le couperet tombe, elle a besoin d'être seule et qu'on se sépare pour digérer tout ça : sa culpabilité, ma dépendance... Elle me dit qu'à force d'enchaîner les relations sans pause célibataire qu'elle s'est perdu et qu'elle a besoin de se trouver une vocation, des loisirs, des sorties sans penser à quelqu'un d'autre. Elle ne ferme pourtant pas la porte à un retour ensemble mais en me disant de faire nos vies sans y penser et que l'on verrait bien un jour ou par la suite. Tout ceci, en m'embrassant, en me serrant dans ces bras, en pleurant.
J'ai donc décidé de passer en SR dès la fin de notre entrevue, et celle-ci le coupe au bout d'un jour en me disant qu'elle n'arrive pas à ne pas me parler, que c'est trop dur. Cependant, elle ne revient pas sur le fait que l'on se remette ensemble pour le moment, ça semble clair dans sa tête mais elle a besoin que l'on continue de se parler. Je lui dis donc gentiment et poliment que ça me met un peu mal à l'aise que l'on se parle sans être en couple dès le lendemain d'une rupture et me dit : "je trouve ça dur, c'est trop frais pour ne pas se parler mais comme tu veux, reviens me parler quand tu en auras envie."
Je lui dis donc que je ferais ça alors. Voilà où j'en suis. Elle n'a pas l'air abattue par la rupture même si elle me dit que c'est dur car elle enchaîne les sorties depuis notre rupture de la fin de semaine car je sais qu'elle n'est pas souvent chez elle et voit beaucoup de ses amis depuis.
HELP je ne sais pas quoi en penser, sachant que moi de mon côté, je suis bien motivé à régler mon problème de dépendance affective mais j'ai peur qu'il soit trop tard. Que me conseillerez-vous pour la récupérer ? Je pense que me mettre en SR maintenant est la bonne solution mais j'ai peur que ça ne soit pas suffisant...