- 10 déc. 2015, 14:28
#1105909
Bonjour à tous
écrire mon histoire me fait un peu peur, parce que c'est long et compliqué (comme bcp d’autres histoires).
Quelques précisions sur la situation : nous avons tous les deux 42ans maintenant, nous avons vécu le début de notre histoire à Paris, Mai 2008 à Nov 2011, chacun chez soi, elle fait une fausse couche en septembre 2010 et est insupportable avec moi, elle est à 2 doigts de rompre, puis ça repart mais je fais une dépression de 6mois (à cause de sa dureté après la FC, perdu confiance en moi) et ainsi ensuite je vis chez elle de Janv 2011 à Juillet 2011 et ça recasse. Elle n’a pas de job depuis début 2011 et ensuite, déprimée et pas bien, elle descend se ressourcer en Vendée en Novembre 2011 (ou habite sa mère et sa sœur) et on vit à distance jusque début 2015. Elle remonte à Paris, motivée dans un appart pas loin du mien sans boulot. On s’était dit que ce serait plus facile comme ça au début. Mais moi je suis pas bien en début d’année, pb de tension, stress, trop de boulot, du coup je me referme sur moi et cherche un appart pour nous, mais le mouton à 5 pattes, j’avais peur de pas être bien si je ne trouvais pas l’appartement de mes reves et surtout pour la proteger elle car je sais que je peux etre désagréable si je n’ai pas du calme et de l’espace. Du coup, cela traine et comme l’appart ou elle vit est très bruyant, elle perd patience et décide de redescendre en Vendée…le monde s’écroule pour moi et j’en deviens amer. Déjà que je n’étais pas souvent gentil avec elle quand on avait des disputes, je suis vraiment méchant en paroles, irritable car je ne supporte pas qu’elle soit descendu de nouveau loin de moi. Elle n’a jamais supporté mon etat d’esprit soucieux ou angoissé, elle est tétanisée quand elle me voit tendu (sans même parler), elle a peur de ce que je vais dire, alors que moi j’attends juste son sourire et son amour pour m’enlever cette tension. Comme si nous étions le miroir de nos propres peurs quand les choses ne vont pas bien. Heureusement ça n’arrivait pas tout le temps, mais plutôt souvent ces derniers temps (après son retour en vendée début juin 2015). ET puis son chien le grand amour de sa vie (elle l’a eu à 28ans alors qu’elle a fait une IVG alors qu’elle était avec un homme qu’elle aimait qui ne voulait pas du bébé et l’a quittée) était mourant cet été (pas mal en point, mais il lui restait peu de temps vu les symptomes). Nous sommes partis en vacances aux US, et là déjà je la sentais un peu tendue, mais tjs vraiment amoureuse en revenant (verbalement et en sms). Puis nous partons début septembre chez mes parents jusqu’au 18/09. Et là elle est de plus en plus tendue, et je ne comprends pas vraiment car elle ne se confie pas vraiment, je me dis c’est à cause du chien, elle pense qu’il va mourir d’un jour à l’autre. Mais moi je ne voyais pas ça aussi grave, donc je m’énerve et je suis un peu méchant avec elle car elle ne dit rien (en fait je me demande aussi si elle n’était pas déjà en train de se dire qu’elle voulait me quitter… ?). Et là elle se ferme encore plus, difficile de lui parler, normal engueuler les gens ne sert à rien. ON revient de vacances, elle est finalement tjs assez tendre, on fait l’amour, elle a des mots d’amour quand même. Mais tjs un peu tendue (le chien ? l’envie de me quitter ?). Je lui demande si il y a qqchose ? elle me dit rien non, t’inquiète pas. Elle habite en Vendée à ce moment-là tjs, je rentre sur Paris pour reprendre le boulot, la semaine se passe bien, tjs tendre et des mots d’amour par sms et meme au tél elle me dit d’elle-même qu’elle maime. puis le 28 sept, son chien meurt.
puis 2 jours après je lui prend la tete au téléphone comme jamais pour un truc insignifiant, et elle me dit » tu me fatigues » et là je pete un plomb comme jamais hai fait avec elle ou presque. Je me suis senti presque insulté, abandonné, négligé, alors que c’éait rien ce qu’elle avait dit. Ensuite, pendant ma colère, je dis « je ne recollerais pas les morceaux, jen ai ma claque, je crois que qqchose est cassé »….En général, au téléphone, on se réconciliait tjs un peu avant de raccrocher, et là à peine.
Elle vient le weekend d’après à Paris et là je la sens plutôt froide un peu distante, on se prend le choux 5min, mais ça dure pas. On passe un weekend normal. Mais je sens un truc pas normal. Puis elle remonte, et je descends la voir 12jours plus tard. Elle m’accueille à la gare le 16 Oct, on prend un apéro à la maison et en déconnant on arrive à parler du PACS et en rigolant je dis « tu veux qu’on depacse ? », elle dit « non mais n’importe quoi », puis on dine et au lit en se retournant elle dit «tu crois pas qu’on est à la fin de notre histoire ? ». ET là le monde s’écroule, je comprends plus rien. on en reste presque là tellement je suis tétanisé et j’arrive pas vraiment à répondre, tu as un autre mec ? non, nous les femmes on quitte pas un homme parce qu’on en a un autre, les hommes quittent les femmes parce qu’ils en ont une autre. Je passe une nuit de merde. et le lendemain se passe à peu près normalement comme si on était encore en couple, on passe 2h au soleil en terrasse de bar à parler des vacances, de tout de rien, et elle me donne sa main quand je lui demande, je lui fais un smack, et meme en trinquant elle me fait un bizooo de loin. on rentre, puis elle ressort faire des courses passe me voir dans la chambre avant de sortir, je tend ma main, elle me la donne et on se fait un bizoooo. Le soir, on fait apéro et on mange, et après je me rapproche un peu d’elle et elle refuse mon contact et part dans une colère et me descend sur place « on est incompatible, on est trop différent, tes pas prêt à vivre avec qqun, à etre père,……le PACS les papiers tu peux les envoyer semaine prochaine si tu veux, je repayerais pas une déménagement sur Paris,….bref je me fais défoncer et j’arrive presque pas à répondre. Nuit de merde de nouveau, on petit déjeune le dimanche et je sens que ça va pas qu’il vaut mieux que je m’en aille, j’avance mon billet de train pour le retour sur Paris dans l’après-midi, et là d’un seul coup elle fond en sanglot et me regarde d’une façon très tendre et douce, comme au début de notre relation ce regard qui mavait fait craquer. Je lui dis qu’elle est belle et elle recraque en sanglots, je lui passe la main sur la joue et vais prendre ma douche. Ensuite lle m’accompagne à la gare et craque encore sur le quai, elle vient me prendre dans les bras me caresse et me dit « c’est mieux comme ça, on a raté le coche », « je lui dis non jai tjs envie, c’est tjs là dans un coin de ma tete » elle me dit dit « prend soin de toi, je lui dis pareil, ça va aller tu es une femme forte, je le sais c’est pour cela que je tai choisi » puis je lui dis « je t’aime fort et on se fait un bizooooo. puis elle ne me quitte pas des yeux jusqu’à ce que le train parte…..jai ressenti une émotion tellement forte quand on était dans les bras l’un de l’autre, que pendant 2h dans le train, je suis comme annesthésié, je ne ressens plus rien. voilà l’histoire de ma rupture.
merci pour votre patience. je vous raconte la suite bientôt, mais c’est bien mal engagé.
écrire mon histoire me fait un peu peur, parce que c'est long et compliqué (comme bcp d’autres histoires).
Quelques précisions sur la situation : nous avons tous les deux 42ans maintenant, nous avons vécu le début de notre histoire à Paris, Mai 2008 à Nov 2011, chacun chez soi, elle fait une fausse couche en septembre 2010 et est insupportable avec moi, elle est à 2 doigts de rompre, puis ça repart mais je fais une dépression de 6mois (à cause de sa dureté après la FC, perdu confiance en moi) et ainsi ensuite je vis chez elle de Janv 2011 à Juillet 2011 et ça recasse. Elle n’a pas de job depuis début 2011 et ensuite, déprimée et pas bien, elle descend se ressourcer en Vendée en Novembre 2011 (ou habite sa mère et sa sœur) et on vit à distance jusque début 2015. Elle remonte à Paris, motivée dans un appart pas loin du mien sans boulot. On s’était dit que ce serait plus facile comme ça au début. Mais moi je suis pas bien en début d’année, pb de tension, stress, trop de boulot, du coup je me referme sur moi et cherche un appart pour nous, mais le mouton à 5 pattes, j’avais peur de pas être bien si je ne trouvais pas l’appartement de mes reves et surtout pour la proteger elle car je sais que je peux etre désagréable si je n’ai pas du calme et de l’espace. Du coup, cela traine et comme l’appart ou elle vit est très bruyant, elle perd patience et décide de redescendre en Vendée…le monde s’écroule pour moi et j’en deviens amer. Déjà que je n’étais pas souvent gentil avec elle quand on avait des disputes, je suis vraiment méchant en paroles, irritable car je ne supporte pas qu’elle soit descendu de nouveau loin de moi. Elle n’a jamais supporté mon etat d’esprit soucieux ou angoissé, elle est tétanisée quand elle me voit tendu (sans même parler), elle a peur de ce que je vais dire, alors que moi j’attends juste son sourire et son amour pour m’enlever cette tension. Comme si nous étions le miroir de nos propres peurs quand les choses ne vont pas bien. Heureusement ça n’arrivait pas tout le temps, mais plutôt souvent ces derniers temps (après son retour en vendée début juin 2015). ET puis son chien le grand amour de sa vie (elle l’a eu à 28ans alors qu’elle a fait une IVG alors qu’elle était avec un homme qu’elle aimait qui ne voulait pas du bébé et l’a quittée) était mourant cet été (pas mal en point, mais il lui restait peu de temps vu les symptomes). Nous sommes partis en vacances aux US, et là déjà je la sentais un peu tendue, mais tjs vraiment amoureuse en revenant (verbalement et en sms). Puis nous partons début septembre chez mes parents jusqu’au 18/09. Et là elle est de plus en plus tendue, et je ne comprends pas vraiment car elle ne se confie pas vraiment, je me dis c’est à cause du chien, elle pense qu’il va mourir d’un jour à l’autre. Mais moi je ne voyais pas ça aussi grave, donc je m’énerve et je suis un peu méchant avec elle car elle ne dit rien (en fait je me demande aussi si elle n’était pas déjà en train de se dire qu’elle voulait me quitter… ?). Et là elle se ferme encore plus, difficile de lui parler, normal engueuler les gens ne sert à rien. ON revient de vacances, elle est finalement tjs assez tendre, on fait l’amour, elle a des mots d’amour quand même. Mais tjs un peu tendue (le chien ? l’envie de me quitter ?). Je lui demande si il y a qqchose ? elle me dit rien non, t’inquiète pas. Elle habite en Vendée à ce moment-là tjs, je rentre sur Paris pour reprendre le boulot, la semaine se passe bien, tjs tendre et des mots d’amour par sms et meme au tél elle me dit d’elle-même qu’elle maime. puis le 28 sept, son chien meurt.
puis 2 jours après je lui prend la tete au téléphone comme jamais pour un truc insignifiant, et elle me dit » tu me fatigues » et là je pete un plomb comme jamais hai fait avec elle ou presque. Je me suis senti presque insulté, abandonné, négligé, alors que c’éait rien ce qu’elle avait dit. Ensuite, pendant ma colère, je dis « je ne recollerais pas les morceaux, jen ai ma claque, je crois que qqchose est cassé »….En général, au téléphone, on se réconciliait tjs un peu avant de raccrocher, et là à peine.
Elle vient le weekend d’après à Paris et là je la sens plutôt froide un peu distante, on se prend le choux 5min, mais ça dure pas. On passe un weekend normal. Mais je sens un truc pas normal. Puis elle remonte, et je descends la voir 12jours plus tard. Elle m’accueille à la gare le 16 Oct, on prend un apéro à la maison et en déconnant on arrive à parler du PACS et en rigolant je dis « tu veux qu’on depacse ? », elle dit « non mais n’importe quoi », puis on dine et au lit en se retournant elle dit «tu crois pas qu’on est à la fin de notre histoire ? ». ET là le monde s’écroule, je comprends plus rien. on en reste presque là tellement je suis tétanisé et j’arrive pas vraiment à répondre, tu as un autre mec ? non, nous les femmes on quitte pas un homme parce qu’on en a un autre, les hommes quittent les femmes parce qu’ils en ont une autre. Je passe une nuit de merde. et le lendemain se passe à peu près normalement comme si on était encore en couple, on passe 2h au soleil en terrasse de bar à parler des vacances, de tout de rien, et elle me donne sa main quand je lui demande, je lui fais un smack, et meme en trinquant elle me fait un bizooo de loin. on rentre, puis elle ressort faire des courses passe me voir dans la chambre avant de sortir, je tend ma main, elle me la donne et on se fait un bizoooo. Le soir, on fait apéro et on mange, et après je me rapproche un peu d’elle et elle refuse mon contact et part dans une colère et me descend sur place « on est incompatible, on est trop différent, tes pas prêt à vivre avec qqun, à etre père,……le PACS les papiers tu peux les envoyer semaine prochaine si tu veux, je repayerais pas une déménagement sur Paris,….bref je me fais défoncer et j’arrive presque pas à répondre. Nuit de merde de nouveau, on petit déjeune le dimanche et je sens que ça va pas qu’il vaut mieux que je m’en aille, j’avance mon billet de train pour le retour sur Paris dans l’après-midi, et là d’un seul coup elle fond en sanglot et me regarde d’une façon très tendre et douce, comme au début de notre relation ce regard qui mavait fait craquer. Je lui dis qu’elle est belle et elle recraque en sanglots, je lui passe la main sur la joue et vais prendre ma douche. Ensuite lle m’accompagne à la gare et craque encore sur le quai, elle vient me prendre dans les bras me caresse et me dit « c’est mieux comme ça, on a raté le coche », « je lui dis non jai tjs envie, c’est tjs là dans un coin de ma tete » elle me dit dit « prend soin de toi, je lui dis pareil, ça va aller tu es une femme forte, je le sais c’est pour cela que je tai choisi » puis je lui dis « je t’aime fort et on se fait un bizooooo. puis elle ne me quitte pas des yeux jusqu’à ce que le train parte…..jai ressenti une émotion tellement forte quand on était dans les bras l’un de l’autre, que pendant 2h dans le train, je suis comme annesthésié, je ne ressens plus rien. voilà l’histoire de ma rupture.
merci pour votre patience. je vous raconte la suite bientôt, mais c’est bien mal engagé.