- 20 nov. 2015, 20:51
#1100394




Modifié en dernier par babychoute71 le 16 mai 2016, 22:53, modifié 1 fois.
Je veux lui ecrire pcq jaurai eu besoin de lui expliquer les vraies raisons de mon depart que je n ai jamais dite et qui ont fait le + de mal car elle savait que ce n etait pas dû a mes sentiments dc ne comprenait pas ma decision.Dans cette seule phrase, plein de verbes qui ne sont pas liés entre eux....soyons clair: tu n'as d'action que surles 2 premiers: expliquer, et dire.
Ca n a pas de rapport avec ce que je ressensj'espère t'avoir démontré tout le contraire
faire la part des choses entre ce que je ressens et ce qui lui serait bon d entendre.et ça aussi: tu n'as AUCUNE action sur ce qui lui serait "bon" d'entendre!!! Peut-être qu'elle a envie d'entendre aujourd'hui que tu l'as oubliée, et que demain elle aura envie d'entendre que tu l'attends, et après-demain que tu regrettes, et après après demain, que tu avances, etc....et je vais te dire, je pense qu'elle ne le sait pas elle-même !!
bin non je pense pas que ce soit une maniere de lui courir apres.ah bon? envoyer une lettre à qqu'un qui t'a plaquée, ce n'est pas une manière de reprendre contact? surtout quand précisément tu es focalisé par SA réaction plus que par TA sincérité? si je t'assure que si. Tu en as le droit mais il faut sortir du déni
A aucun moment je ne dis ecrire pr la faire reagir ???tout ce fil est une PREUVE que tu veux la faire réagir! sinon, tu lui écrirais ce que TOI tu ressens, sans te soucier une seule seconde, de ce que, elle, va en comprendre. Tu es là aussi dans un beau déni, et on ne peut pas être sincère avec l'autre, tant qu'on n'est pas sincère avec soi.
Evidemment qu on espere toujours un pti mot, ou une reprise de communication saine mais ce n est pas mon but premier.
de me dire j ai tout essayé maintenant ce n est plus entre mes mainsce n'est plus entre tes mains depuis belle lurette.
si qqn decide d arreter de boire, faut bien qu il commence par jeter ses bouteilles non ?en effet, mais on n'écrit pas à tous les fournisseurs d'alcool pour leur dire qu'on va plus acheter leurs saloperies !
Cette lettre lui dit ce qu il en est, ou jen suis, restaure un peu mon image,non non et...non ! car non, tu n'as pas du tout abdiqué (alors que tu lui dis le contraire), tu n'as pas du tout avancé dans la rupture (puisque tu es toujours dans l'espoir de la reconquérir) et non, ça ne redore pas du tout ton image, ça pue le mensonge manipulateur à plein nez, ça fait pleurnichard, geignard, et le côté "c'est bon je ne te dérangerai plus" sent à 10 000 km l'espoir du "mais si dérange moi, je t'aiiiiiiiiiiime"
Selon ton point de vue faut jamais ecrire de lettre dans xe cas ?est-ce que je j'ai dit?
je crois qu il est tres important de retablir sa verité, pour soi meme dejaavec ça je suis d'accord, SA vérité à SOI, POUR soi (et pas "déjà" , mais "seulement")
babychoute71 a écrit :KAKAHUETBon je ne suis certainement pas le bon interlocuteur pour ce genre d'expérience alors excuse les mots que je vais employer mais ta première lettre sentait un peu trop la guimauve et la seconde est rien d'autre que de l'hypocrisie à peine voilée...
Bah assumer les choses et ne plus se voiler la face cest tres exactement le but de cette lettre...
Lui dire que je comprends qu on en soit là, que jen reste là, que je dois avancer tout en lui exprimant ce qu elle ignore (certes au cas ou ca puisse changer la donne qui peut savoir ?) Et en meme temps pour moi meme (si ca change rien je suis fixé et javance sans questionnement) et de fait s il devait y ravoir un contact, ce serait de son ressort.
JAI PAS ABDIQUE !!!C'est pas la peine de t'enerver, c'est pas nous qui le disons, c'est TOI qui le dis dans ta lettre, donc on est d'accord, tu lui mens, et tu l'avoues: oui tu cherches à la faire réagir, qu'elle te dise oui ou merde mais qu'elle te dise qque chose.
DC ARRETEZ DE VOULOIR ME FAIRE DIRE QUE CEST FAIT
dreamagic a écrit :Je crois qu'il faut vraiment personnaliser chaque situation, si je ne me trompe pas, je suis revenu à la première page, cela fait 2 ans que baby n'a plus de contact avec son ex, on est donc pas dans le cas de figure d'une post rupture de quelques mois.Ah d'accord, 2 ans après ? Effectivement, ça c'est autre chose. Pour ma part, je pense quand même qu'il faut se renseigner sur sa vie d'abord... juste pour évaluer l'impact de son retour dans la vie de l'ex.
Je reste sur ma même idée, fais le, si tu te sens vraiment vraiment obligé de le faire (mais c'est vrai qu'avec le recul je te le déconseillerai quand même)
Ensuite, vue ton cas de figure, et si c'est dans un mini mini espoir d'un recontact, renseignes toi un peu sur sa vie, car 2 ans se sont écoulés, vois si elle est avec quelqu'un, si vous avez des ais en commun, comment va t elle dans sa vie d'aujourd'hui (travail, problemes ou pas bref...renseignes toi un minimum) si c'est dans une optique de mini espoir,
si c'est juste pour écrire la dernière page de votre livre, alors fais le envoie là pour toi et rien que pour toi, sans rien attendre!
Voilou
babychoute71 a écrit :Entendre un desaccord n est pas un probleme.Youpiiii vive l'interprétation. Comme je te l'ai écrit, je suis bien curieuse de voir TOUT ce que je t'ai dit à propos de mon histoire...
Comme je te le dis en prive cest les explications qui vont avec et se rapportent a "moi, mon ex, truc"... on est jamais totalement objectif certes dc jrepond avec + d infos. Et la on me dit que je me voila la face ect je suis un abbruti qui s entete... bah non c pas ce que je suis.
babychoute71 a écrit :Aidez moi a ecrire qq chose de correct...Ah voilà, maintenant ce serait à nous de l'écrire avec toi ? Non nous ne sommes pas dans ta tête ni ton coeur. Alors oui j'ai pris du temps à répondre à tes MP, mais à priori nous ne t'aidons absolument pas, nous spéculons...
Mettez 1h a decortiller la lettre au lieu de speculer sur moi ou mon ex...
babychoute71 a écrit :Prénom,Bon ça commence plutôt bien, c'est direct et concis...
Cette lettre ne pourra ni excuser le passé ni influer sur l'avenir mais elle rétablira une vérité nécessaire
babychoute71 a écrit : Mon silence est la raison pour laquelle je ne me suis pas résolu à notre rupture insensée car ce que j'ai caché en ai l'origine inacceptable. Je n'ai pas essayé de rencontrer quelqu'un ni tenté de construire autre chose que notre avenir commun, je n'ai même pas considérer que je pourrai l'envisager avant de m'être exprimer.J'avoue que j'ai relu plusieurs fois pour comprendre ce que tu voulais dire...
babychoute71 a écrit :J'ai un dysfonctionnement génétique incurable dont j'ignorais le diagnostic précis lorsque je me suis renfermé. Mon blocage tenait à la fois de mon ignorance sur le sujet que de ma connaissance quant à l'incompatibilité entre tes sentiments pour moi et ton aversion objective pour mes symptômes qui étaient la source de tes moqueries et donc des rires de « nos amis».Là encore j'y pipe pas grand chose... c'est quoi ce "dysfonctionnement" ? tu peux pas appeler un chat, un chat ?
babychoute71 a écrit :L'idée que tu tolères cette maladie m'était insupportable pour diverses raisons, alors à défaut de pouvoir éradiquer ce syndrome, j'ai anéanti ton amour.Là encore on dirait du blabla de remplissage ....quitte à dire "diverses raisons" autant les nommer...en fait tu manques de précisions et tu tournes juste autour du pot ....
Et si j'ai commis l'impardonnable, ce n'est qu'avec la conviction de t'épargner un fardeau bien qu'au fond, subsiste une autre conviction que je me suis interdit d'écouter.
babychoute71 a écrit :Ce conflit intérieur est la raison de cette obscure configuration qu'à pris notre communication. Je n'ai cessé de me battre sur deux fronts : te donner toutes les raisons du monde de tourner la page et t'empêcher à tout pris de croire que je renonçais.ça aurait pu être dit avec des mots bien moins pompeux qui auraient eu un impact bien plus important, mais bref ...
babychoute71 a écrit :Je n'ai jamais trouver le courage de te parler car cela revenait à mettre fin au but louable que je croyais poursuivre et qui n'était devenu que le fantasme égoïste d'un idéaliste déchu.Et la corde, tu la veux en quelle matière? ....
babychoute71 a écrit : Pourtant j'ai essayé, je t'ai écris des centaines de lettre que je n'ai pas envoyé et j'ai tenté d'y remédier en te contactant autrement, mais devant tes rancoeurs compréhensibles, je n'avais plus le cœur à l'expression.Au moins là, tu as bien fait!! de ne pas envoyer les lettres bien entendu ....
babychoute71 a écrit : Voilà, tu méritais de savoir pourquoi j'ai toujours tout gâché, pourquoi je me suis toujours enfui et que mes belles paroles étaient fondées sur le fait que je n'ai jamais voulu d'autres bras que zoiziland, mais surtout, tu mérites que tout ceci cesse de polluer ta vie.Paroles, paroles paroles.....
Et je mérite également de reprendre le cours de la mienne.
babychoute71 a écrit :Je sais que ce ne sont que des mots et qui ne veulent plus rien dire mais pardon, mais je ne serai pas entrer dans ta vie si j'avais imaginé ce qu'on en a fait.A ce niveau là, je pencherai (sur la gauche) plutôt sur des maux... et la fin est rien de moins crédible...parce que cela voudrait dire au final que jamais dans ta vie tu ne voudras prendre de risques assumés ...
Néanmoins, il y a quand même des choses intéressantes, mais je trouve que le pragmatisme doit primer sur les "envolées lyriques" (sauf bien sûr si tu parles comme tu écris et là , bon désolé on ne peut rien pour toi (humour hein)...Je trouve cela aussi trop lyrique. CA fait superficiel. Certe c'est touchant mais tu emploi des mots peu commun dans le langague de tous les jours.
babychoute71 a écrit :Ouais...
Jessaie pas de la ramener avec des yeux de cocker...
Elle m a detruit pcq elle a aucune confiance en elle et quelle se moque des autres du coup ca a pas louper un jour jai appris que jetais malade et a cause de ses moqueries je me suis enferme dans le silence.
Un silence dont elle est responsable pcq elle m a donné honte d etre moi.
Un silence qui ma reduit a l isolement pendant des annees a affronter une maladie tout seul alors que jetais quelquun de bien... je me suis enferme sur ma souffrance et donc sur ma colere, donc oui jai besoin de lui dire que tout ce qu elle me reproche, cest elle qui l a provoquer... et de me desintoxiquer de tout ça.
Et que pendant que madame essayait en vain de me remplacer en m accusant de tous les maux, moi jessayais d eradiquer une maladie incurable tout en continuant de construire nos projets, pour etre digne de madame alors qu en fait... si elle avait eu un peu confiance en elle pour s accepter sans se moquer des autres on en serait pas la, pcq alors j aurai pu lui parler, affronter ca avec elle, me sentir bien malgre mon probleme et continuer d etre happy ensemble.
babychoute71 a écrit :sauf qu'un jour ses moqueries m'ont concerné et je me suis enfermée dans le silence plutot que d'en parler... ...ben à mon avis, c'est bien là la clé du problème....
babychoute71 a écrit :ce qui oui, a provoqué ma propre honte, ma propre souffrance......Chose que tu as donc initié ...
babychoute71 a écrit :mais est ce que je dois m'excuser d'accorder de l'importance aux regards des gens que j'aime ^^ si je m'en foutais ce serait plus grave je crois... donc oui j'ai eu tord, et je me suis fait du mal mais tout aurait continué à se passer tres bien entre nous sans ça...Je ne vois pas trop le rapport du début de ta phrase avec le reste de la situation
babychoute71 a écrit : y'a un jour où vous n'avez plus envie de vous justifier, parce-que vous n'avez rien à vous reprocher, a part votre silence ? ...il y a des mots comme "communication", "discussion", "sérieux" qui existent tu sais ?
babychoute71 a écrit : et si vous vous sentez mal, oui c'est à cause de la misère des autres......Alors là je dis STOP !!! non !!! si c'est réellement le cas, il te faut une aide extérieure sur le sujet...sinon tu ne vivras jamais ....
babychoute71 a écrit :moi je me suis jamais plains, j'ai toujours voulu apporter un peu de joie aux gens, et y'a un moment, ou vous vous rendez compte que dans votre vie vous avez reproduis... vous n'attirez à vous que des égoïstes....Et tu croyais quoi ? que tu allais sauver tous ces gens en résolvant leurs problèmes ?
babychoute71 a écrit :Elle tient sur deux pages recto-verso.
Nous n'avons plus de contact depuis 2 ans.
Je suis son premier amour, première relation ect... bien que ce ne soit pas mon cas, ce fut tout de même THE relation pour moi.
J'ai essayé d'aérer un peu plus pour vous faciliter la lecture :/ je sais que c'est long et que ça vous concerne pas directement...
Dites moi SVP ce que vous en pensez, même si vous lisez pas tout... histoire de me faire une petite idée extérieure
MERCI![]()
" Je ne mérite ton pardon que parce-qu'il te rend meilleur que moi, je n'ai aucune excuse. Ton indifférence me permet de t'écrire sans que je n'ai à espérer quoi que ce soit de mes belles paroles, bien que fondées.
J'ai usé et abusé de tes peurs irrationnelles lorsque j'avais toute ta confiance et que mon rôle était de t'en préserver et non d'en abuser jusqu'à te faire te sentir honteuse. De plus, je ne t'ai pas accordé un tel pouvoir sur mon cœur, déséquilibrant notre rapport de force à mon avantage. Je t'ai ainsi poussé dans une situation qui a tué le désir et la passion qui animait nos ébats, c'est à ce moment que j'ai commencé à détruire ce piédestal que je ne méritais pas.
Je me suis fait le tyran de ton cœur et suis restée sourd à ses appels, j'ai été faible et lâche avec un besoin irrépressible de contrôle tels que le sont tous les tyrans. J'ai concentré ta vie sur moi tout en rejetant tes bons sentiments et tes jugements ou croyances jusqu'à te faire douter de toi, de ta capacité à très bien vivre sans moi.
J'ai diminué tes peines en ignorant leur importance, nier et étouffer par mes doléances. Je t'ai laissé seule, torturée dans tes douleurs et leur solitude, t'obligeant à lutter contre mes propos blessants et indécents, qui t'enfonçais dans un mal-être que tu combattais admirablement. Même cela je l'ai sali avec mon cynisme et mon dénigrement.
Je n'ai pas seulement commis des erreurs, j'ai persévérer dedans diaboliquement. J'ai été jusqu'à t'effrayer de ce dont je pouvais être capable, menacer la tranquillité de ton quotidien, la sécurité d'un chez-soi, ou d'un appel inconnu bienveillant.
Je t'ai retenu au passé constamment, parfois harcelé, causé tant de nuisances qui t'empêchaient d'avancer en toute sérénité.
Et puis je t'ai reproché et blessé quand en fait, j'ai toujours tout gâché depuis que je t'ai trompé.
Qu'est-ce que je ne t'ai pas fait ?
Nous avions tout pour être heureux ensemble très longtemps, et nous méritions amplement ce que nous vivions enfin. Je le voulais ainsi pour le restant de mes jours. Me réveiller tous les matins pour te retrouver le soir et faire ce choix librement indéfiniment. Avec toi et nul autre.
Briser régulièrement une routine nécessaire à la stabilité par des surprises et des attentions mutuelles, faire scintiller tes yeux de petites étoiles, te faire te sentir femme, te protéger de mes bras, allumer le feu de ton corps...
Nous étions assez semblables pour se comprendre sans mots et suffisamment différentes pour se compléter et s'enrichir toute une vie sans lassitude. Nous aurions pu apprendre à communiquer, c'était notre seul vrai défi, au lieu de s'enfermer dans l'attente que l'autre fasse ce qu'elle attendait de soi et se torpiller dans des joutes verbales non productives.
Je voulais de solides perspectives d'avenir à nous offrir, et j'avais trop à faire pour y remédier. Je m'y suis consacré chaque jour depuis quatre ans et demi sans ne laisser personne s'immiscer dans ma vie au cours de cette introspection pour ne pas me détourner de mes objectifs. Je t'ai fait fuir sans cesse en étant tout ce que l'on déteste, mais je voulais aussi que tu saches que je ne renonçais pas, et que tu n'oublies pas... J'espérais que tout s'arrangerait mais j'ai toujours tout foiré.
Pour jouer les super-héros, je m'efforçais de taire mes doutes et mes peurs alors qu'un simple héros aurait eu le courage de te les faire partager comme tu partageais les tiens. Je me suis laissé assaillir par tant de nuisances que je ne gérais plus rien. Je ne voulais pas que tu me vois souffrir d'un manque d'estime personnel alors que cette année là pour la première fois, à tes côtés, je réparais ça.
Je me suis brûlé les ailes avant de m'envoler.
J'avais conscience du caractère irrationnel qui me donnait l'idée que je n'étais pas digne de ton amour, de l'amitié de nos collègues ou de tes amis, ni même de la reconnaissance de mon travail : je prenais la place d'un chômeur, de quelqu'un de mieux pour toi, qui aurait eu un intérêt pour ton entourage... J'ai vécu si longtemps au détriment de mon égo, de mes intérêts et de mes vœux, tellement dû taire mes émotions, que je ne savais plus ou tout simplement pas recevoir du positif sans me sentir un imposteur.
Et toutes les hypothèse à mon sujet, remettant en cause mon intégrité, ont nourri cette image dévalorisée de moi. Alors que j'estimais ces personnes, vraiment, que je cherchais en moi comment être accepter sainement et que j'espérais leur bienveillance... J'ai crée ma peur dans la réalité, et ils s'y sont donné à cœur joie au lieu de m'aider.
Je ne leur en veut pas davantage qu'à toi mais ça n'en fait pas les merveilleuses perfections que tu me décrivais non plus. Lorsque je vois un être tourmenté, je lui tends la main jusqu'au bout ou non mais je ne juge ni ne condamne définitivement car c'est le meilleur moyen d'aggraver les choses. Alors oui, je me suis enfermé dans un orgueil démesuré parce-que je n'avais rien d'autre à quoi m'accrocher et j'ai tenu comme j'ai pu.
Aujourd'hui, je viens ravaler toutes mes conneries et te dire tout de même merci, d'être rester toi-même, ce toi que j'aime, et de m'avoir permis de grandir, si te perdre était le prix à payer, c'est bien dommage, mais c'est ainsi.
Je devais me libérer de mes toxicités, apprendre les leçons des erreurs que je devais commettre jusqu'au bout, viser la lune de te retrouver pour atteindre les étoiles, devenir un connard m'a guéri de bien des maux dont l'importance accordée aux regards des autres.
Ce que tu ignores dans tout ça, c'est que j'ai essayé également d'anéantir une pathologie génétique héréditaire en vain tout en apprenant à accepter que je vivrais toujours avec. Les symptômes et les effets secondaires du traitement sont peu évident à vivre socialement, j'ai parfois été discriminé à l'embauche pour ça mais j'ai surtout souffert d'entendre la femme que j'aimais s'en moquer (sans savoir que ça me concernait). Même si je m'étais confié à toi, tu n'aurais pas été crédible de rester à mes côtés et tu méritais beaucoup mieux qu'accepter ça même si je mérite également qu'on m'aime malgré ce problème. Il me fallait d'abord l'accepter. Du coup j'ai tout détruit, je préférais être un connard que d'être malade ^^ bref. J'avais honte d'être moi et honte d'en avoir honte alors qu'il y a bien pire...
Enfin je n'ai pas embrassé mon ex pour « comparer » mes sentiments mais parce-que je n'ai pas su dire « non » et je ne voulais pas que tu me vois comme ça... j'avais déjà été trop facile pour toi sans te donner l'occasion de conquérir mon cœur, je ne voulais pas détruire le peu d'intérêt que tu me portais.
Te devenir acquis était le seul moyen d'inverser tout le mal que je t'avais fait, de te permettre de reprendre le pouvoir... mais j'ignorais complètement comment repartir ensemble sur de bonnes bases... pas tant que je n'avais pas résolu certains soucis.
J'avais peur, sûrement comme toi, qu'on reproduise les mêmes erreurs car aucun de nous n'a jamais pris la peine de reconnaître vraiment les failles qui nous avait conduit jusque là et quoi qu'on est essayé de se dire, on se l'est mal dit ou pas dit.
De plus, ton éloignement et ma fidélité absolue à nos convention promesses m'a permis de m'isoler dans l'évitement... et c'était un peu un soulagement même si je m'enfuyais ainsi et passer à côté de l'affrontement nécessaire.
J'ignore le bien fondé de ta lecture mais ça m'a fait du bien de t'écrire ceci, j'en ai peut-être trop dit ou pas assez mais aussi imparfait et inutile que ça puisse être, c'était important que je ré-ouvre mon cœur... J'espère que ça m'aidera à tourner la page, parce-que oui, j'ai décidé qu'il était temps d'aller de l'avant, fier et riche de tout ce que j'ai appris et reconstruit.
Les appels et les cadeaux ? C'était plus facile que de trouver les mots...
U2 ? Prends-le comme une consolation pour tout ce que j'ai pu faire, ce n'est rien à côté... si le concert n'est pas reporté, fais-toi rembourser et offres un beau cadeau à ta sœur, fais-en ce que tu veux, je voulais te faire plaisir et te rappeler que... ouais, c'était con ! Donc j'imagine que « private joke) j'oublies aussi ? =D Pardon:X
Je sais qu'on ne pourra jamais être amis, et, je ne l'ai jamais voulu, qu'on soit QUE ça je veux dire, je voulais qu'on soit en paix, qu'on puisse encore rire ensemble et se réjouir de ce qui arrive dans nos vies. En vrai, je dois te remercier d'avoir couper les ponts, parce-que c'est ça qui en dit long sur ce qu'ont été tes sentiments... et ça m'aurait rendu les choses plus faciles si je n'avais pas su ce que je détruisai...
Bon, ça y est je suis en train de pleurer sur ma belle lettre, faut que j'arrête, te façon a plus de place.
Sur googleplay, j'avais crée une application appellé « ….. » que tu peux trouver dans les dix premières recherches à ce nom. Je te le dis juste parce-que je l'avais fait pour toi mais ça n'a pas plus d'intérêt que ça... comme tout ceci en fait.
Je t'aime,
et je te souhaites le meilleur du monde.
Je vais rendre hommage à ce qu'on a vécu de beau en m'offrant le meilleur également.
Saches, mais tu le sais déjà sans doute un peu trop, que j'aurai toujours du temps pour toi (c'est parce-que t'es moins insupportable que moi...)
PS : t'as un droit de réponse mais ce n'est pas un devoir, je fais les choses dans les règles de l'art mais si tu réponds jamais, je comprendrai ! Promis ! (pcq j'envoie une lettre libellé à mon adresse avec comme on faisait au XIXè siècle lol)"