- 17 juin 2015, 21:35
#1045729
Bonjour à tous,
Pas facile de parler dans un forum, mais je me lance car je cherche désespérément des solutions, peut être ici en tous cas c'est ce que j'espère.
Voici mon histoire impossible à résumer :
j'ai rencontré ma compagne sur internet d'origine africaine en mai 2012, nous sommes tombés amoureux très vite, nous avions les mêmes envies, fonder une famille.
Elle me montrait beaucoup d'amour, d'attention, et elle est tombée enceinte au bout de 3 mois en 2012, tout allait pour le mieux, nous étions comblés et bénis des dieux pour elle, nous avions fondé les bases de notre couple, le paradis sur terre quoi.
Après la naissance de notre fils, ma compagne a commencé à changer, me reprochant entre autre de ne pas assez m'occuper de notre fils, en fait j'avais du mal à trouver ma place, beaucoup de travail en 3*8, des problèmes de santé car je suis cardiaque et ma compagne sans emploi a haleté notre fils jusqu'à ses 10 mois, fatiguée elle aussi avec des problèmes de tension, je pensais que nous étions tous 2 très fatigué car la naissance de notre fils avait été très compliqué et très surveillé.
Je passais effectivement plus de temps à jouer avec lui et à pratiquer des loisirs en famille, qu' à changer le couches, lui faire prendre le bain, même si je le faisais quelquefois mais que je lui laisser cette charge.
Notre couple depuis ce moment n'a fait qu'empirer dans une spirale infernale que je n'ai jamais pu contrôler, ma compagne me rappelait à chaque dispute qu'elle s'occupait de notre fils et ne ferait rien d'autre à la maison, que je n'étais qu'un calculateur, manipulateur, pervers narcissique, que je ne pensais qu'à l'argent et que je l'obligeais à faire des choses qu'elle ne voulait pas faire et c'est pour cette raison qu'elle me menaçait à chaque dispute de me quitter.
Mes envies tout comme les siennes n'avaient pas changé , mais je devais les accomplir seul et faire les efforts nécessaires pour changer.
Elle me menaçait donc de partir à chaque dispute, s'inscrivait sur des sites de rencontre lors de dispute prétextant que nous n'étions plus ensemble, me dévalorisait par rapport à ses ex, à ses amies qui elle été traitée comme des princesses, que je ne pensais qu'à moi tout le temps, j'étais le seul coupable de tout ça, de mon isolement envers ma famille, de mon divorce il y a 10 ans, qu'elle plaignait mon ex-femme, etc.….
je me suis aussi donc retrouvé complètement isolé, coupé de ma famille en conflit avec mes choix si rapide, d'avoir abandonné ma fille de 20 ans par mes choix.
Ma fille de 20 ans, que j'ai élevé seul pendant 10 ans m'a demandé de choisir entre ma compagne et elle et a fini par quitter le foyer quelques temps après une vie commune avec de ma compagne, à laquelle je verse une pension pour ses études en master et qui ne veut plus m'adresser la parole tant que je vivrais avec ma compagne, elle n'a jamais vu son frère et sa petite sœur.
Pour ma compagne, ma famille ne sont que des racistes, elle évitait d'ailleurs tout contact avec eux, je ne pouvais pas emmener mon fils les voir, ne pouvait pas recevoir ma famille sans qu'elle me menace de partir ailleurs, mes parents n'ont vu leur petit fils qu'au bout de 1 ans à la naissance de notre 2eme enfant, car ma compagne avait repris contact avec eux des lors que sa décision de partir était prise, ce qu'elle a bien expliqué à ma famille avec tous les reproches qui vont avec.
je ne pouvais plus parler sans être traité de pervers narcissique qu'il fallait absolument fuir .
Pour éviter son départ, je devais changer, devais m'occuper plus de notre fils, faire le ménage, les courses, régler toutes les charges du foyer puisqu'elle refusait d'y participer (ASSEDIC de 1100€/mois + CAF) et tout le reste pendant que ma compagne restait la journée au lit la journée car nous étions tous 2 très fatigué.
Lorsque je rentrais du travail, elle partait se coucher et regarder la télé dans la chambre des 8h du soir sans dire un mot me laissant seul me préparer à diner et ranger la maison salie par une journée avec les enfants .
Si je ne rangeait pas ou nettoyait pas, je retrouvais le lendemain la maison dans le même état, et pire.
Lorsque je travaillais la nuit et que je devais dormir la journée, je n'y arrivait plus, elle n'avait plus aucun respect pour moi.
Pour nous soulager, j'ai trouvé une place en crèche pour notre fils mais surtout pour que ma compagne reprenne aussi des forces.
J'étais à découvert tous les mois et la seule réponse que j'ai eu lorsque je lui demandait un peu d'aide est que je ne pensais qu'a l'argent, que je faisais des enfants pour les impôts, pour les primes de naissances, pendant que ma compagne ne réglait toujours aucune charge du foyer, remboursait un crédit de 12000€ en 3 ans avec ses ASSEDIC et les indemnités CAF, envoyait de l'argent en Afrique pour des gens qui ne sont même pas de sa famille , faisait du shopping et ne s'occupait pas de notre foyer, mis à part quelques petites courses, habillements, jouets pour nos enfants.
Même pas un remerciement sur le fait que ma compagne n'avait plus à s'occuper de notre fils la journée, rien n'a changé sur son comportement, son irrespect.
Aucun anniversaire ou fête oublié, toujours à la recherche de moments de complicité et de partage, rien ne changeait, c'est à ce moment que vous vous demandez si votre femme vous aime toujours, surtout lorsqu'elle prend ses distances face à vos questions et vous répond qu'elle n'est surtout pas la pour vous rassurer, la vous comprenez que la situation est grave et peut être perdue.
Au bout d'un moment, j'étais vraiment épuisé par tout ça, et j'avais abandonné nos projets de baptêmes pour notre fils, un mariage, un 2eme enfant, une maison plus grande, tous nos rêves que j'espérais pourtant encore accomplir étaient stoppé.
Je ne m'investissais plus pour notre famille et ma compagne, je ne comprenais plus ce qui nous arrivait et je m'isolait encore plus de tout comme un pauvre malheureux, pour elle je me victimisation et je calculais encore et encore.
Malgré ceci, en juin 2013 la veille d'un départ pour moi en déplacement d'1 semaine, ma compagne est venu me rendre visite un matin, me demandant pardon pour la 1ere fois par rapport à nos disputes répétées.
Je dormais sur le canapé suite à 1 semaine de silence préférant cet attitude aux enguelades qui détruisait tout, et nous avons conçu notre 2eme enfant ce jour la.
Je n'ai pas compris sur le coup son insistance d'avoir des rapports non protégés, pour elle ce n'était pas une période propice, donc nous pouvions y aller, moi j'étais comme envouté par un amour et une attention que j'attendais depuis si longtemps et je me suis mis à rêver de nouveau, fier de moi d'avoir retrouvé cet amour que je voyais dans ses yeux, ce n'était en fait que du sexe, je n'arrivais plus dans mon état à faire cette différence.
La réalité a vite repris le dessus, lorsqu'elle m'a appris la nouvelle, ma première réaction a été de ne pas garder cet enfant vu les troubles que nous traversions.
Ma compagne suivait un stage de reconversion important pour elle, en fait je voulais cet enfant plus que tout avec elle, mais pas dans ces conditions avec toutes les menaces que je subissais.
En fait, Jai été surpris et inquiet sur le coup de cette nouvelle vu notre situation, mais j'étais heureux quand même et je lui ai montré et dit avec amour, espérant que cette bonne nouvelle pouvait tout réparer, mais pour elle je n'étais qu'un menteur et ne souhaitait pas cet enfant, pour elle, je ne devais pas la déclarer, tout comme notre fils auparavant, j'étais encore plus anéantis par tout ce qu'elle me disait et cette méchanceté que je ne comprenais pas.
Pendant l'accouchement, je me suis occupé de notre fils, j'ai aussi assisté à l'accouchement, je venais voir avec notre fils sa maman et sa petite sœur tous les jours à l'hôpital pendant 2 semaines, ma compagne m'a dit "je t'aime".
Mais un jour lorsque je suis arrivé pour voir ma compagne et notre fille à la maternité, sa cousine déjà présente dans la chambre ne m'a même pas esquissé un sourire, m'a à peine dit bonjour et surtout à évité les félicitations que l'on souhaite à tout heureux papa.
J'ai compris que rien n'avait changé, je soupçonnais ma compagne de m'avoir montré de faux sentiments, qu'elle continuait malgré tous mes efforts et ce si merveilleux événement à pleurer ses malheurs et se plaindre de ma perversité, d'ailleurs sa réponse a été qu'elle quitterait le foyer très rapidement avec nos 2 enfants, que cela était cette fois si irrémédiable et définitif.
Jusqu' a son départ, j'ai tout tenté pour éviter qu'elle me quitte, des jours nous étions bien, je ne lui faisait plus aucun reproche, durant mon congés paternité je me suis occupé de notre fils, de lui préparer ses repas que je lui amenait au lit pendant qu'elle s'occupait exclusivement de notre fille.
Mais dés que je ne faisais un faux pas, que j'étais moi aussi fatigué par mon travail et toutes ces taches, que je ne faisais pas ce qu'elle voulait, ses menaces réapparaissait.
J'ai fini par craquer lui expliquant tout ce que je vivais depuis si longtemps, que je l'aimais pourtant plus que tout, ainsi que nos enfants, mais que je souhaitais au fond son départ afin de respirer, par la colère je lui donner des ultimatums, de son coté je voyais bien que sa décision était prise depuis très longtemps et que ma recherche pour percer ces intentions aggravaient les choses, quoi que je fasse rien n'y changerait, c'était trop tard.
Elle est donc partie en foyer avec nos 2 enfants en prétextant des violences conjugales morales en mai 2015 avec une main courante à la police et plaintes auprès des assistantes sociales.
Depuis nos rencontres (puisque nous avons des enfants) sont très chaotiques, au début nous étions d'accord pour arrêter les critiques, insultes et tout se passait bien, elle me proposait de voir les enfants tous les jours, venait se reposer à la maison pendant que je promenais les enfants au parc, bref nous sortions le weekend en famille avec nos 2 enfants, puis repartait dans son foyer caché pour les papas accusés de violences conjugales.
Depuis 2 semaines j'ai décidé de couper les ponts, elle m'a envoyé un SMS pour me le rappeler que je devais voir nos enfants "innocents de nos querelles" et que si cela me dit, 3 jours avant la fête des pères, je pouvais la contacter pour les voir.
J'ai du couper les ponts car lors d'un RDV que j'avais pris avec la psy de la crèche, les injures ont pris le dessus.
Elle a commencé par me reprocher de ne pas bien m'occuper de mes enfants et s'oppose de ce fait au droit de visite classique et elle veut donc me priver de l'éducation minimal réservée au papa par la justice et que je lui verse la pension pour nos 2 enfants.
Entre temps, les seuls droits de visite que j'avais eu étaient le trajet Crèche-Tramway avec des menaces, reproches, insultes communes sur notre passé et devant nos 2 enfants et le fait que je devais surtout payer une pension alimentaire revenait sans cesse.
Ma compagne est déterminée, elle ne veut plus me voir, me dit que je peux crever, démissionner ou me mette en maladie, elle s'en fou complètement (je suis passé effectivement par tous ces stades).
Moi, je suis dans un autre état d'esprit, j'ai d'ailleurs essayé tout au long de notre vie de couple de solutionner nos problèmes, mais sans succès, comme si tout était écrit d'avance.
Pour ma compagne, j'ai 100% des torts, elle n'a aucun défaut et le crie à tout le monde, à ses amies, à ma famille, aux autorités administrative et sociales et surtout à moi.
Malgré tout, je l'aime encore et je suis anéanti par le fait d'avoir perdu ma famille et mes enfants de 3 mois et 2 ans, penser que ma famille est dans un foyer depuis 1 mois me fait faire des cauchemars nuits et jours, j'essaye de me remettre en cause, mais je n'y arrive pas, je suis complètement perdu, ne sachant pas qu'elle méthode employer pour reconquérir ma compagne et mes enfants, car c'est bien dont je rêve aujourd'hui, d'un apaisement retrouvé mais hors de question de revivre tout ça.
Car ce doute qui existe encore en moi sur les vraies intentions de ma compagne, malgré les actes et les mots si durs que j'ai pu subir, je crois à une réconciliation pour nos enfants et qui sait une écoute ou une meilleure compréhension de ce qu'à pu vivre chacun d'entre nous, commencé par ce début d'amitié, d'apaisement, et de sincérité me contenterait.
Pas facile de parler dans un forum, mais je me lance car je cherche désespérément des solutions, peut être ici en tous cas c'est ce que j'espère.
Voici mon histoire impossible à résumer :
j'ai rencontré ma compagne sur internet d'origine africaine en mai 2012, nous sommes tombés amoureux très vite, nous avions les mêmes envies, fonder une famille.
Elle me montrait beaucoup d'amour, d'attention, et elle est tombée enceinte au bout de 3 mois en 2012, tout allait pour le mieux, nous étions comblés et bénis des dieux pour elle, nous avions fondé les bases de notre couple, le paradis sur terre quoi.
Après la naissance de notre fils, ma compagne a commencé à changer, me reprochant entre autre de ne pas assez m'occuper de notre fils, en fait j'avais du mal à trouver ma place, beaucoup de travail en 3*8, des problèmes de santé car je suis cardiaque et ma compagne sans emploi a haleté notre fils jusqu'à ses 10 mois, fatiguée elle aussi avec des problèmes de tension, je pensais que nous étions tous 2 très fatigué car la naissance de notre fils avait été très compliqué et très surveillé.
Je passais effectivement plus de temps à jouer avec lui et à pratiquer des loisirs en famille, qu' à changer le couches, lui faire prendre le bain, même si je le faisais quelquefois mais que je lui laisser cette charge.
Notre couple depuis ce moment n'a fait qu'empirer dans une spirale infernale que je n'ai jamais pu contrôler, ma compagne me rappelait à chaque dispute qu'elle s'occupait de notre fils et ne ferait rien d'autre à la maison, que je n'étais qu'un calculateur, manipulateur, pervers narcissique, que je ne pensais qu'à l'argent et que je l'obligeais à faire des choses qu'elle ne voulait pas faire et c'est pour cette raison qu'elle me menaçait à chaque dispute de me quitter.
Mes envies tout comme les siennes n'avaient pas changé , mais je devais les accomplir seul et faire les efforts nécessaires pour changer.
Elle me menaçait donc de partir à chaque dispute, s'inscrivait sur des sites de rencontre lors de dispute prétextant que nous n'étions plus ensemble, me dévalorisait par rapport à ses ex, à ses amies qui elle été traitée comme des princesses, que je ne pensais qu'à moi tout le temps, j'étais le seul coupable de tout ça, de mon isolement envers ma famille, de mon divorce il y a 10 ans, qu'elle plaignait mon ex-femme, etc.….
je me suis aussi donc retrouvé complètement isolé, coupé de ma famille en conflit avec mes choix si rapide, d'avoir abandonné ma fille de 20 ans par mes choix.
Ma fille de 20 ans, que j'ai élevé seul pendant 10 ans m'a demandé de choisir entre ma compagne et elle et a fini par quitter le foyer quelques temps après une vie commune avec de ma compagne, à laquelle je verse une pension pour ses études en master et qui ne veut plus m'adresser la parole tant que je vivrais avec ma compagne, elle n'a jamais vu son frère et sa petite sœur.
Pour ma compagne, ma famille ne sont que des racistes, elle évitait d'ailleurs tout contact avec eux, je ne pouvais pas emmener mon fils les voir, ne pouvait pas recevoir ma famille sans qu'elle me menace de partir ailleurs, mes parents n'ont vu leur petit fils qu'au bout de 1 ans à la naissance de notre 2eme enfant, car ma compagne avait repris contact avec eux des lors que sa décision de partir était prise, ce qu'elle a bien expliqué à ma famille avec tous les reproches qui vont avec.
je ne pouvais plus parler sans être traité de pervers narcissique qu'il fallait absolument fuir .
Pour éviter son départ, je devais changer, devais m'occuper plus de notre fils, faire le ménage, les courses, régler toutes les charges du foyer puisqu'elle refusait d'y participer (ASSEDIC de 1100€/mois + CAF) et tout le reste pendant que ma compagne restait la journée au lit la journée car nous étions tous 2 très fatigué.
Lorsque je rentrais du travail, elle partait se coucher et regarder la télé dans la chambre des 8h du soir sans dire un mot me laissant seul me préparer à diner et ranger la maison salie par une journée avec les enfants .
Si je ne rangeait pas ou nettoyait pas, je retrouvais le lendemain la maison dans le même état, et pire.
Lorsque je travaillais la nuit et que je devais dormir la journée, je n'y arrivait plus, elle n'avait plus aucun respect pour moi.
Pour nous soulager, j'ai trouvé une place en crèche pour notre fils mais surtout pour que ma compagne reprenne aussi des forces.
J'étais à découvert tous les mois et la seule réponse que j'ai eu lorsque je lui demandait un peu d'aide est que je ne pensais qu'a l'argent, que je faisais des enfants pour les impôts, pour les primes de naissances, pendant que ma compagne ne réglait toujours aucune charge du foyer, remboursait un crédit de 12000€ en 3 ans avec ses ASSEDIC et les indemnités CAF, envoyait de l'argent en Afrique pour des gens qui ne sont même pas de sa famille , faisait du shopping et ne s'occupait pas de notre foyer, mis à part quelques petites courses, habillements, jouets pour nos enfants.
Même pas un remerciement sur le fait que ma compagne n'avait plus à s'occuper de notre fils la journée, rien n'a changé sur son comportement, son irrespect.
Aucun anniversaire ou fête oublié, toujours à la recherche de moments de complicité et de partage, rien ne changeait, c'est à ce moment que vous vous demandez si votre femme vous aime toujours, surtout lorsqu'elle prend ses distances face à vos questions et vous répond qu'elle n'est surtout pas la pour vous rassurer, la vous comprenez que la situation est grave et peut être perdue.
Au bout d'un moment, j'étais vraiment épuisé par tout ça, et j'avais abandonné nos projets de baptêmes pour notre fils, un mariage, un 2eme enfant, une maison plus grande, tous nos rêves que j'espérais pourtant encore accomplir étaient stoppé.
Je ne m'investissais plus pour notre famille et ma compagne, je ne comprenais plus ce qui nous arrivait et je m'isolait encore plus de tout comme un pauvre malheureux, pour elle je me victimisation et je calculais encore et encore.
Malgré ceci, en juin 2013 la veille d'un départ pour moi en déplacement d'1 semaine, ma compagne est venu me rendre visite un matin, me demandant pardon pour la 1ere fois par rapport à nos disputes répétées.
Je dormais sur le canapé suite à 1 semaine de silence préférant cet attitude aux enguelades qui détruisait tout, et nous avons conçu notre 2eme enfant ce jour la.
Je n'ai pas compris sur le coup son insistance d'avoir des rapports non protégés, pour elle ce n'était pas une période propice, donc nous pouvions y aller, moi j'étais comme envouté par un amour et une attention que j'attendais depuis si longtemps et je me suis mis à rêver de nouveau, fier de moi d'avoir retrouvé cet amour que je voyais dans ses yeux, ce n'était en fait que du sexe, je n'arrivais plus dans mon état à faire cette différence.
La réalité a vite repris le dessus, lorsqu'elle m'a appris la nouvelle, ma première réaction a été de ne pas garder cet enfant vu les troubles que nous traversions.
Ma compagne suivait un stage de reconversion important pour elle, en fait je voulais cet enfant plus que tout avec elle, mais pas dans ces conditions avec toutes les menaces que je subissais.
En fait, Jai été surpris et inquiet sur le coup de cette nouvelle vu notre situation, mais j'étais heureux quand même et je lui ai montré et dit avec amour, espérant que cette bonne nouvelle pouvait tout réparer, mais pour elle je n'étais qu'un menteur et ne souhaitait pas cet enfant, pour elle, je ne devais pas la déclarer, tout comme notre fils auparavant, j'étais encore plus anéantis par tout ce qu'elle me disait et cette méchanceté que je ne comprenais pas.
Pendant l'accouchement, je me suis occupé de notre fils, j'ai aussi assisté à l'accouchement, je venais voir avec notre fils sa maman et sa petite sœur tous les jours à l'hôpital pendant 2 semaines, ma compagne m'a dit "je t'aime".
Mais un jour lorsque je suis arrivé pour voir ma compagne et notre fille à la maternité, sa cousine déjà présente dans la chambre ne m'a même pas esquissé un sourire, m'a à peine dit bonjour et surtout à évité les félicitations que l'on souhaite à tout heureux papa.
J'ai compris que rien n'avait changé, je soupçonnais ma compagne de m'avoir montré de faux sentiments, qu'elle continuait malgré tous mes efforts et ce si merveilleux événement à pleurer ses malheurs et se plaindre de ma perversité, d'ailleurs sa réponse a été qu'elle quitterait le foyer très rapidement avec nos 2 enfants, que cela était cette fois si irrémédiable et définitif.
Jusqu' a son départ, j'ai tout tenté pour éviter qu'elle me quitte, des jours nous étions bien, je ne lui faisait plus aucun reproche, durant mon congés paternité je me suis occupé de notre fils, de lui préparer ses repas que je lui amenait au lit pendant qu'elle s'occupait exclusivement de notre fille.
Mais dés que je ne faisais un faux pas, que j'étais moi aussi fatigué par mon travail et toutes ces taches, que je ne faisais pas ce qu'elle voulait, ses menaces réapparaissait.
J'ai fini par craquer lui expliquant tout ce que je vivais depuis si longtemps, que je l'aimais pourtant plus que tout, ainsi que nos enfants, mais que je souhaitais au fond son départ afin de respirer, par la colère je lui donner des ultimatums, de son coté je voyais bien que sa décision était prise depuis très longtemps et que ma recherche pour percer ces intentions aggravaient les choses, quoi que je fasse rien n'y changerait, c'était trop tard.
Elle est donc partie en foyer avec nos 2 enfants en prétextant des violences conjugales morales en mai 2015 avec une main courante à la police et plaintes auprès des assistantes sociales.
Depuis nos rencontres (puisque nous avons des enfants) sont très chaotiques, au début nous étions d'accord pour arrêter les critiques, insultes et tout se passait bien, elle me proposait de voir les enfants tous les jours, venait se reposer à la maison pendant que je promenais les enfants au parc, bref nous sortions le weekend en famille avec nos 2 enfants, puis repartait dans son foyer caché pour les papas accusés de violences conjugales.
Depuis 2 semaines j'ai décidé de couper les ponts, elle m'a envoyé un SMS pour me le rappeler que je devais voir nos enfants "innocents de nos querelles" et que si cela me dit, 3 jours avant la fête des pères, je pouvais la contacter pour les voir.
J'ai du couper les ponts car lors d'un RDV que j'avais pris avec la psy de la crèche, les injures ont pris le dessus.
Elle a commencé par me reprocher de ne pas bien m'occuper de mes enfants et s'oppose de ce fait au droit de visite classique et elle veut donc me priver de l'éducation minimal réservée au papa par la justice et que je lui verse la pension pour nos 2 enfants.
Entre temps, les seuls droits de visite que j'avais eu étaient le trajet Crèche-Tramway avec des menaces, reproches, insultes communes sur notre passé et devant nos 2 enfants et le fait que je devais surtout payer une pension alimentaire revenait sans cesse.
Ma compagne est déterminée, elle ne veut plus me voir, me dit que je peux crever, démissionner ou me mette en maladie, elle s'en fou complètement (je suis passé effectivement par tous ces stades).
Moi, je suis dans un autre état d'esprit, j'ai d'ailleurs essayé tout au long de notre vie de couple de solutionner nos problèmes, mais sans succès, comme si tout était écrit d'avance.
Pour ma compagne, j'ai 100% des torts, elle n'a aucun défaut et le crie à tout le monde, à ses amies, à ma famille, aux autorités administrative et sociales et surtout à moi.
Malgré tout, je l'aime encore et je suis anéanti par le fait d'avoir perdu ma famille et mes enfants de 3 mois et 2 ans, penser que ma famille est dans un foyer depuis 1 mois me fait faire des cauchemars nuits et jours, j'essaye de me remettre en cause, mais je n'y arrive pas, je suis complètement perdu, ne sachant pas qu'elle méthode employer pour reconquérir ma compagne et mes enfants, car c'est bien dont je rêve aujourd'hui, d'un apaisement retrouvé mais hors de question de revivre tout ça.
Car ce doute qui existe encore en moi sur les vraies intentions de ma compagne, malgré les actes et les mots si durs que j'ai pu subir, je crois à une réconciliation pour nos enfants et qui sait une écoute ou une meilleure compréhension de ce qu'à pu vivre chacun d'entre nous, commencé par ce début d'amitié, d'apaisement, et de sincérité me contenterait.