- 10 mars 2015, 00:00
#1007063
Bonsoir à toutes et à tous,
J'ai 42 ans, divorcée (je suis partie) et deux filles. Je suis maintenant en couple mais dans une situation de pré-rupture que j'ai initié sciemment.
Je vais essayer de faire court même si ce n'est pas mon fort
Je suis (j'étais ?) en couple depuis près de 5 ans. Notre histoire a toujours été chaotique. Au début j'ai refusé (pendant qq semaines) d'officialiser auprès de nos amis notre relation parce que je ne tenais pas à m'engager avec cet homme. Je savais déjà à quoi je m'exposais puisque je le cotoyais en ami depuis déjà plusieurs mois. Fétard invétéré, grosses soirées à répétition fortement alcoolisées, etc, etc... Même si j'y participais c'était beaucoup plus ponctuel.
J'ai donc exprimé mes doutes sur nos objectifs communs dès le début de la relation. Mon compagnon m'a alors rassuré en me disant que justement il était lassé de cette vie là à 37 ans et qu'il voulait se poser. J'avais deux jeunes enfants et lui n'en avait pas mais y trouvait son compte car ne se sentait pas de devenir père (trop de responsabilité). Nous y trouvions notre compte puisque mes filles n'étant chez moi qu'une semaine/2 nous avions du temps pour nous et ayant également chacun besoin d'espace nos horaires de travail décalés étaient un fonctionnement qui nous convenait.
Mais voilà, sur le papier c'était bien beau et une fois que je suis rentrée dans cette relation, une fois que j'ai commencé à être éprise (au bout de qq semaines) les choses ont commencé à se dégrader. Les sorties étaient toujours aussi nombreuses et surtout hypothéquaient les lendemains (lendemains de cuite on sait ce que cela donne). L'accumulation de ce genre d'évènements c'est bon quand on est jeunes mais à près de 40 ans ça commence à être dur à suivre. D'autant que je ne le suivais pas mais subissait. Les retours en pleine nuit saoul pas méchant mais pénible. Les lendemains bon à rien et pas très aimable. Bref, une ambiance top. J'ai exprimé maintes et maintes fois le décalage de nos attentes mais il me demandait juste du temps pour évoluer. Quand on a vécu pendant 20 ans d'une façon difficile de changer sa façon de faire en société. A côté de sa la vie au quotidien n'était pas toujours rose non plus. En mode fétard c'est un grand joyeux. En mode sobre c'est une personne diffcile à suivre dans ses humeurs et assez taciturne mais qui réserve aussi des moments agréables. Nous nous aimions (aimons toujours ?) mais après des années d'évolution depuis 8/10 mois c'est régression totale. A côté de ça le vie de couple se désagrége aussi. Il a toujours été peu affectueux, peu en demande de sexe. Je faisais pourtant assez attention à moi et il me disait que je n'avais rien à me reprocher qu'il est parfaitement épanoui sexuellement avec moi mais une fois de temps en temps c'est suffsant. C'était bien la première fois que j'entendais cela d'un homme !
Bref, peu d'échanges verbaux, intellectuels, affectueux et sexuels, j'ai l'impression d'avoir vécu cette relation dans une frustration forte. J'ai ma part de tort dans cette frustration puisque je pourrais ne pas être aussi en attente mais à un moment il faut aussi que le couple apporte quelque chose à votre vie. Sinon c'est de la colocation et même dans ce cas c'est enrichissant. Entre ma frustration et ses plans pas très correct où il rentre à pas d'heure sans me prévenir et me laisse l'attendre quand il me dit j'arrive ça faisait beaucoup (et encore je limite la liste des griefs). J'étais donc souvent en crise. Il a toujours reconnu ses torts (bon alors jamais immédiatement mais au bout de quelques jours en général lorsque je lui disait juste d'inverser les rôles et de me dire ce que cela lui ferait). Ce manque de respect de sa part m'a conduite à en manquer à mon tour dans les moments de crise et de colère. Nous avons eu des scènes épouvantables. Et pourtant nous n'arrivions pas à nous quitter. Nous avons essayé plusieurs fois et nous sommes toujours revenu l'un vers l'autre parce que nous savons que nous tenons l'un à l'autre.
Oui parce que nous savions que lorsque nous ne vivions pas ces crises il était possible de trouver un équilibre. Certes précaire parce que souvent secoué par divers fait. Mais pafois j'entrevoyais ce que pouvait être la vie avec lui lorsque ses démons le laissait tranquille. J'ai aussi les miens et j'ai aussi été pénible. Mais ça n'a jamais pris la même ampleur.
Depuis cet été je trouve qu'il est encore plus tendu qu'habituellement. Difficile de savoir ce qui se passe et d'ailleurs je ne suis même pas certaine qu'il le sache lui-même. Il a toujours préféré fuir ses émotions plutôt que d'y faire face même si elles lui reviennent en boomerang.
Comme c'est arrivé à maintes reprises en octobre dernier il y a eu une nouvelle scène qui m'a obligé à lui dire de partir s'il ne voulait pas s'excuser. Il a préféré trouver un appart en 3 jours (Ouah pour qqun qui a du mal à se bouger là son orgueil l'a boosté !). Nous avons discuté de ce qu'on voulait et il a rapidement exprimé qu'il aimerait que ce ne soit pas la fin de notre couple mais un moment de vie de couple avec apparts séparés et que ce serait temporaire le temps de sauver notre couple. J'ai accepté tout en exprimant tout de même que oui dans ce cas je suis d'accord mais j'ai besoin de te retrouver. Décembre, ça fonctionne, janvier il décide d'arrêter de fumer (encore ! Il faut savoir que la plupart de nos crises étaient : cuites, arrêt tabac sans substitut ou moment de déprime reprise boulot ou manque de sexe -là c'est moi^^) et depuis tout s'est accéléré. Il préfére me planter à ma soirée d'anniversaire et se prendre une cuite avec ses potes. Je suis véxée mais pas de crise juste la tête pendant 3 jours et encore pas de façon pénible. Ca passe pendant qq jours puis on se fait une soirée tranquille entre copains, nous passons une superbe soirée, il me le dit plusieurs fois, nous arrivons à parler de nous (ben oui ça aide l'alcool pour ceux qui ont du mal à parler ^^) et il me parle même de sa réfléxion à revenir vivre avec moi (j'ai pas demandé ça dans cette conversation hein !) et le lendemain il me monte un bobard monstrueux pour m'éviter lors d'une soirée où nous étions invité ensemble. Il a du travail j'y vais seule et quand il sait que je n'y suis plus il s'y pointe. Toute la journée à me pister pour ce genre de comportement je ne comprend pas. Je ne suis pas sur son dos en soirée. On bouge pas mal bref ce n'est pas là que je le gêne. Mais il faut croire que c'est tout de même encore trop.Tout le monde me dit qu'il veut le beurre, l'argent du beurre et les fesses de la crémière en plus. Le pire c'est que tout le monde me dit que si je le quitte il va s'effondrer. Il sait très bien qu'il a beaucoup changé depuis qu'il est avec moi, qu'il est mieux. Mais et moi ? Oui, je l'aime et oui j'aimerais pouvoir continuer avec lui mais je m'y perds dans cette relation ! Je n'y trouve pas mon compte. Et lui s'enferme un peu plus à chaque fois qu'il voit qu'il a fait n'importe quoi une fois de plus. Je n'ai souvent pas besoin de dire grand chose il est déjà sur la défensive dans ces cas-là. Il n'assume rien de ses actes même s'il joue le cador.
Avec ce dernier épisode, j'ai eu un basculement en moi. Trop de mensonges, trop d'investissement de ma part restaient snas effet. Marre. J'ai donc fait silence radio dès le lendemain. Pas de réponse à ses sms de bonjour ça va ? Il me recontacte deux jours plus tard en me disant qu'il a fait un malaise la veille, qu'il a fini aux urgences (j'adore apprendre ça 24h plus tard ! Même si on est en froid, mon conjoint pense faire une crise cardiaque je serais venue mais non ça ne devait pas être la priorité de dire aux pompiers de m'appeler ou à ses collègues de boulot bref) mais finalement ce n'était rien (je suspecte une crise d'angoisse suite à prise de conscience qu'il a abusé) et le surlendemain (mais comment voulez-vous faire un SR dans ce cas !) il me dit qu'on est invité à une soirée et la suite logique pour lui : "sommes-nous séparés ?" Je n'ai pas voulu répondre à sa question et l'ai laissé dans l'incertitude et qu'il pouvait y aller sans moi (hors de question que je joue encore la comédie du bonheur). Il devait aller à un rdv à 120 km de notre ville mais a préféré prendre le train (alors que je lui avais dit que ce n'était pas un pb de prendre ma voiture) bref une tête de mule enfermée dans son orgueil. Depuis nous nous sommes redis que nous nous aimons toujours. Il a redit qu'il sait qu'il doit se bouger, qu'il se rend compte qu'il ne parle que de lui et prend peu en compte mes attentes. Et depuis plus rien. Ca ne fait que deux jours, je tiens le SR (puisque les autres il les a rompu puis j'en ai rompu aussi) mais c'est dur parce que je dois tenir pour lui faire se rendre compte qu'il doit évoluer ou accepter de me perdre. Mais je l'aime encore et c'est dur de partir dans ces conditions. Je suis toujours revenue et lui ai donc toujours laissé penser que je serais là quoi qu'il fasse donc je dois tenir pour le faire changer. Pendant ce temps il semble faire ses petites soirées. Difficile de savoir s'il est très affecté ou s'il ressent juste un peu de manque et que finalement cette séparation imposée lui convient bien (en tout cas mieux que moi semble-t-il). Il a toujours été plus fort que moi pour cloisonner ses émotions. Je sais que j'aurais des retours mais je me connais aussi je suis faible et je dois tenir et AAAAAHH ! C'est dur
Voilà, voilà...
Bon pour le côté court c'est raté hein !
Tapez pas trop fort, j'ai déjà des bleus ^^
J'ai 42 ans, divorcée (je suis partie) et deux filles. Je suis maintenant en couple mais dans une situation de pré-rupture que j'ai initié sciemment.
Je vais essayer de faire court même si ce n'est pas mon fort

Je suis (j'étais ?) en couple depuis près de 5 ans. Notre histoire a toujours été chaotique. Au début j'ai refusé (pendant qq semaines) d'officialiser auprès de nos amis notre relation parce que je ne tenais pas à m'engager avec cet homme. Je savais déjà à quoi je m'exposais puisque je le cotoyais en ami depuis déjà plusieurs mois. Fétard invétéré, grosses soirées à répétition fortement alcoolisées, etc, etc... Même si j'y participais c'était beaucoup plus ponctuel.
J'ai donc exprimé mes doutes sur nos objectifs communs dès le début de la relation. Mon compagnon m'a alors rassuré en me disant que justement il était lassé de cette vie là à 37 ans et qu'il voulait se poser. J'avais deux jeunes enfants et lui n'en avait pas mais y trouvait son compte car ne se sentait pas de devenir père (trop de responsabilité). Nous y trouvions notre compte puisque mes filles n'étant chez moi qu'une semaine/2 nous avions du temps pour nous et ayant également chacun besoin d'espace nos horaires de travail décalés étaient un fonctionnement qui nous convenait.
Mais voilà, sur le papier c'était bien beau et une fois que je suis rentrée dans cette relation, une fois que j'ai commencé à être éprise (au bout de qq semaines) les choses ont commencé à se dégrader. Les sorties étaient toujours aussi nombreuses et surtout hypothéquaient les lendemains (lendemains de cuite on sait ce que cela donne). L'accumulation de ce genre d'évènements c'est bon quand on est jeunes mais à près de 40 ans ça commence à être dur à suivre. D'autant que je ne le suivais pas mais subissait. Les retours en pleine nuit saoul pas méchant mais pénible. Les lendemains bon à rien et pas très aimable. Bref, une ambiance top. J'ai exprimé maintes et maintes fois le décalage de nos attentes mais il me demandait juste du temps pour évoluer. Quand on a vécu pendant 20 ans d'une façon difficile de changer sa façon de faire en société. A côté de sa la vie au quotidien n'était pas toujours rose non plus. En mode fétard c'est un grand joyeux. En mode sobre c'est une personne diffcile à suivre dans ses humeurs et assez taciturne mais qui réserve aussi des moments agréables. Nous nous aimions (aimons toujours ?) mais après des années d'évolution depuis 8/10 mois c'est régression totale. A côté de ça le vie de couple se désagrége aussi. Il a toujours été peu affectueux, peu en demande de sexe. Je faisais pourtant assez attention à moi et il me disait que je n'avais rien à me reprocher qu'il est parfaitement épanoui sexuellement avec moi mais une fois de temps en temps c'est suffsant. C'était bien la première fois que j'entendais cela d'un homme !
Bref, peu d'échanges verbaux, intellectuels, affectueux et sexuels, j'ai l'impression d'avoir vécu cette relation dans une frustration forte. J'ai ma part de tort dans cette frustration puisque je pourrais ne pas être aussi en attente mais à un moment il faut aussi que le couple apporte quelque chose à votre vie. Sinon c'est de la colocation et même dans ce cas c'est enrichissant. Entre ma frustration et ses plans pas très correct où il rentre à pas d'heure sans me prévenir et me laisse l'attendre quand il me dit j'arrive ça faisait beaucoup (et encore je limite la liste des griefs). J'étais donc souvent en crise. Il a toujours reconnu ses torts (bon alors jamais immédiatement mais au bout de quelques jours en général lorsque je lui disait juste d'inverser les rôles et de me dire ce que cela lui ferait). Ce manque de respect de sa part m'a conduite à en manquer à mon tour dans les moments de crise et de colère. Nous avons eu des scènes épouvantables. Et pourtant nous n'arrivions pas à nous quitter. Nous avons essayé plusieurs fois et nous sommes toujours revenu l'un vers l'autre parce que nous savons que nous tenons l'un à l'autre.
Oui parce que nous savions que lorsque nous ne vivions pas ces crises il était possible de trouver un équilibre. Certes précaire parce que souvent secoué par divers fait. Mais pafois j'entrevoyais ce que pouvait être la vie avec lui lorsque ses démons le laissait tranquille. J'ai aussi les miens et j'ai aussi été pénible. Mais ça n'a jamais pris la même ampleur.
Depuis cet été je trouve qu'il est encore plus tendu qu'habituellement. Difficile de savoir ce qui se passe et d'ailleurs je ne suis même pas certaine qu'il le sache lui-même. Il a toujours préféré fuir ses émotions plutôt que d'y faire face même si elles lui reviennent en boomerang.
Comme c'est arrivé à maintes reprises en octobre dernier il y a eu une nouvelle scène qui m'a obligé à lui dire de partir s'il ne voulait pas s'excuser. Il a préféré trouver un appart en 3 jours (Ouah pour qqun qui a du mal à se bouger là son orgueil l'a boosté !). Nous avons discuté de ce qu'on voulait et il a rapidement exprimé qu'il aimerait que ce ne soit pas la fin de notre couple mais un moment de vie de couple avec apparts séparés et que ce serait temporaire le temps de sauver notre couple. J'ai accepté tout en exprimant tout de même que oui dans ce cas je suis d'accord mais j'ai besoin de te retrouver. Décembre, ça fonctionne, janvier il décide d'arrêter de fumer (encore ! Il faut savoir que la plupart de nos crises étaient : cuites, arrêt tabac sans substitut ou moment de déprime reprise boulot ou manque de sexe -là c'est moi^^) et depuis tout s'est accéléré. Il préfére me planter à ma soirée d'anniversaire et se prendre une cuite avec ses potes. Je suis véxée mais pas de crise juste la tête pendant 3 jours et encore pas de façon pénible. Ca passe pendant qq jours puis on se fait une soirée tranquille entre copains, nous passons une superbe soirée, il me le dit plusieurs fois, nous arrivons à parler de nous (ben oui ça aide l'alcool pour ceux qui ont du mal à parler ^^) et il me parle même de sa réfléxion à revenir vivre avec moi (j'ai pas demandé ça dans cette conversation hein !) et le lendemain il me monte un bobard monstrueux pour m'éviter lors d'une soirée où nous étions invité ensemble. Il a du travail j'y vais seule et quand il sait que je n'y suis plus il s'y pointe. Toute la journée à me pister pour ce genre de comportement je ne comprend pas. Je ne suis pas sur son dos en soirée. On bouge pas mal bref ce n'est pas là que je le gêne. Mais il faut croire que c'est tout de même encore trop.Tout le monde me dit qu'il veut le beurre, l'argent du beurre et les fesses de la crémière en plus. Le pire c'est que tout le monde me dit que si je le quitte il va s'effondrer. Il sait très bien qu'il a beaucoup changé depuis qu'il est avec moi, qu'il est mieux. Mais et moi ? Oui, je l'aime et oui j'aimerais pouvoir continuer avec lui mais je m'y perds dans cette relation ! Je n'y trouve pas mon compte. Et lui s'enferme un peu plus à chaque fois qu'il voit qu'il a fait n'importe quoi une fois de plus. Je n'ai souvent pas besoin de dire grand chose il est déjà sur la défensive dans ces cas-là. Il n'assume rien de ses actes même s'il joue le cador.
Avec ce dernier épisode, j'ai eu un basculement en moi. Trop de mensonges, trop d'investissement de ma part restaient snas effet. Marre. J'ai donc fait silence radio dès le lendemain. Pas de réponse à ses sms de bonjour ça va ? Il me recontacte deux jours plus tard en me disant qu'il a fait un malaise la veille, qu'il a fini aux urgences (j'adore apprendre ça 24h plus tard ! Même si on est en froid, mon conjoint pense faire une crise cardiaque je serais venue mais non ça ne devait pas être la priorité de dire aux pompiers de m'appeler ou à ses collègues de boulot bref) mais finalement ce n'était rien (je suspecte une crise d'angoisse suite à prise de conscience qu'il a abusé) et le surlendemain (mais comment voulez-vous faire un SR dans ce cas !) il me dit qu'on est invité à une soirée et la suite logique pour lui : "sommes-nous séparés ?" Je n'ai pas voulu répondre à sa question et l'ai laissé dans l'incertitude et qu'il pouvait y aller sans moi (hors de question que je joue encore la comédie du bonheur). Il devait aller à un rdv à 120 km de notre ville mais a préféré prendre le train (alors que je lui avais dit que ce n'était pas un pb de prendre ma voiture) bref une tête de mule enfermée dans son orgueil. Depuis nous nous sommes redis que nous nous aimons toujours. Il a redit qu'il sait qu'il doit se bouger, qu'il se rend compte qu'il ne parle que de lui et prend peu en compte mes attentes. Et depuis plus rien. Ca ne fait que deux jours, je tiens le SR (puisque les autres il les a rompu puis j'en ai rompu aussi) mais c'est dur parce que je dois tenir pour lui faire se rendre compte qu'il doit évoluer ou accepter de me perdre. Mais je l'aime encore et c'est dur de partir dans ces conditions. Je suis toujours revenue et lui ai donc toujours laissé penser que je serais là quoi qu'il fasse donc je dois tenir pour le faire changer. Pendant ce temps il semble faire ses petites soirées. Difficile de savoir s'il est très affecté ou s'il ressent juste un peu de manque et que finalement cette séparation imposée lui convient bien (en tout cas mieux que moi semble-t-il). Il a toujours été plus fort que moi pour cloisonner ses émotions. Je sais que j'aurais des retours mais je me connais aussi je suis faible et je dois tenir et AAAAAHH ! C'est dur

Voilà, voilà...
Bon pour le côté court c'est raté hein !
Tapez pas trop fort, j'ai déjà des bleus ^^