- 24 juin 2009, 23:07
#118173
Hello à tous,
Bon, je tenais à dire que j'aime beaucoup ce site, la méthode, le SR : c'est vraiment très bénéfique pour préserver son égo et réfléchir à ce qu'on veut vraiment. Ca aide à rationnaliser et c'est ce que je m'efforce de faire bien que je sois vraiment tentée de suivre mes instincts et l'appeller, là, maintenant tout de suiiiiiiiiiiiiiiite
OK, voilà : je l'ai rencontré dans une soirée à l'époque où je vivais à Londres: beau mec, bien sapé, bien éduqué, bref, la classe. Ca a vraiment bien marché pendant deux mois, c'était vraiment bien. Mais déjà, je savais que je voulais quitter Londres et ça a tout compliqué. J'avais déjà donné ma démission. Donc, le jour où je décide de partir, je le lui annonce, la larme à l'oeil. Il me dit : "Je suis content pour toi, il faut que tu suives ta voie." Du coup, je me suis dit qu'il n'en avait rien à foutre et que donc, c'était bien de partir et de le quitter sur le champ. Ce que j'ai fait avec beaucoup d'énervement (mea culpa)
Entre ce moment-là et mon réel départ, ce sont écoulées trois semaines pendant lesquelles on s'est disputés, il ne voulait plus me voir, ensuite, il voulait, je ne voulais plus, je voulais, il ne voulait plus. Après, SR (inconscient).
Je suis rentrée à Bruxelles deux semaines, j'ai trouvé un job à Paris et je suis partie en France. Là, je lui ai envoyé un email pour lui dire que tout allait bien dans ma vie et que je le remerciais de m'avoir laissé partir car j'avais trouvé un vrai boulot que j'aimais. Je travaille pour une ONG et ces valeurs-là me tiennent à coeur. Bref, je m'étais retrouvée. (On est à des antipodes : lui trader plein de fric et moi idéaliste qui veut changer le monde) Je ne m'y attendais pas mais il a commencé à devenir de plus en plus proche, à me demander pardon (toujours par email - il vit à Londres), on s'envoie une bonne vingtaine d'emails de plus en plus enflammés et il décide de venir passer 5 jours à Paris. On était trop contents tous les deux.
Enfin, il arrive. Ca se passe super pendant deux jours et puis, le soir, il me dit : "J'ai besoin de ma solitude, mon ordinateur, mes ***, je pars demain, j'espère que ça ne te dérange pas." Blessée qu'il s'ennuie après si peu de temps, je lui dis que s'il veut, il peut partir tout de suite. OK, il était dix heures du soir, c'est pas sa ville mais bon, il a plein de fric, il pouvait se payer une nuit dans un hôtel, non? Grosse enguelade : il hurle, me dit que je suis bête, mes conversations sont inintéressantes, que je n'y arriverai jamais, etc... Bref, toujours calme, je lui dis que ce n'est pas la peine de me dire tout ça, que s'il veut partir, je ne le retiens pas. Et... il est parti.
Depuis, trois semaines, pas de nouvelles. Je l'ai viré de Facebook. Je l'aime toujours mais je ne veux pas lui donner l'occasion de me faire du mal. Je n'ai plus confiance en lui et je n'y crois plus vraiment, mais je l'aime. Je crève d'envie de l'appeller. Je veux le récupérer. Je ne sais pas comment... Je sais, c'est irrationnel, voire très c*** mais je l'aime du plus profond de moi et je n'oserais jamais le lui dire...
Que faire?
Bon, je tenais à dire que j'aime beaucoup ce site, la méthode, le SR : c'est vraiment très bénéfique pour préserver son égo et réfléchir à ce qu'on veut vraiment. Ca aide à rationnaliser et c'est ce que je m'efforce de faire bien que je sois vraiment tentée de suivre mes instincts et l'appeller, là, maintenant tout de suiiiiiiiiiiiiiiite

OK, voilà : je l'ai rencontré dans une soirée à l'époque où je vivais à Londres: beau mec, bien sapé, bien éduqué, bref, la classe. Ca a vraiment bien marché pendant deux mois, c'était vraiment bien. Mais déjà, je savais que je voulais quitter Londres et ça a tout compliqué. J'avais déjà donné ma démission. Donc, le jour où je décide de partir, je le lui annonce, la larme à l'oeil. Il me dit : "Je suis content pour toi, il faut que tu suives ta voie." Du coup, je me suis dit qu'il n'en avait rien à foutre et que donc, c'était bien de partir et de le quitter sur le champ. Ce que j'ai fait avec beaucoup d'énervement (mea culpa)
Entre ce moment-là et mon réel départ, ce sont écoulées trois semaines pendant lesquelles on s'est disputés, il ne voulait plus me voir, ensuite, il voulait, je ne voulais plus, je voulais, il ne voulait plus. Après, SR (inconscient).
Je suis rentrée à Bruxelles deux semaines, j'ai trouvé un job à Paris et je suis partie en France. Là, je lui ai envoyé un email pour lui dire que tout allait bien dans ma vie et que je le remerciais de m'avoir laissé partir car j'avais trouvé un vrai boulot que j'aimais. Je travaille pour une ONG et ces valeurs-là me tiennent à coeur. Bref, je m'étais retrouvée. (On est à des antipodes : lui trader plein de fric et moi idéaliste qui veut changer le monde) Je ne m'y attendais pas mais il a commencé à devenir de plus en plus proche, à me demander pardon (toujours par email - il vit à Londres), on s'envoie une bonne vingtaine d'emails de plus en plus enflammés et il décide de venir passer 5 jours à Paris. On était trop contents tous les deux.
Enfin, il arrive. Ca se passe super pendant deux jours et puis, le soir, il me dit : "J'ai besoin de ma solitude, mon ordinateur, mes ***, je pars demain, j'espère que ça ne te dérange pas." Blessée qu'il s'ennuie après si peu de temps, je lui dis que s'il veut, il peut partir tout de suite. OK, il était dix heures du soir, c'est pas sa ville mais bon, il a plein de fric, il pouvait se payer une nuit dans un hôtel, non? Grosse enguelade : il hurle, me dit que je suis bête, mes conversations sont inintéressantes, que je n'y arriverai jamais, etc... Bref, toujours calme, je lui dis que ce n'est pas la peine de me dire tout ça, que s'il veut partir, je ne le retiens pas. Et... il est parti.

Depuis, trois semaines, pas de nouvelles. Je l'ai viré de Facebook. Je l'aime toujours mais je ne veux pas lui donner l'occasion de me faire du mal. Je n'ai plus confiance en lui et je n'y crois plus vraiment, mais je l'aime. Je crève d'envie de l'appeller. Je veux le récupérer. Je ne sais pas comment... Je sais, c'est irrationnel, voire très c*** mais je l'aime du plus profond de moi et je n'oserais jamais le lui dire...
Que faire?