- 24 juin 2009, 00:23
#117864
Étrange situation que la mienne : c'est la deuxième fois en moins d'un an que je viens poster dans cette partie du forum. Je vous donnerai la raison un peu plus loin.
Avant tout, un salut amical et complice aux anciens & anciennes qui seraient toujours dans les parages. Je n'ai oublié aucun(e) de vous, notre rencontre m'a toujours habité. J'ai disparu de la circulation (JRME) il y a quelques mois mais il m'est arrivé de venir vous lire pour m'enquérir des évolutions de celles et ceux avec qui des liens s'étaient créés.
Avec du recul, dîtes-vous que l'on se remet toujours d'une rupture, à de rares exceptions prêt et souvent tragiques. Ce qui m'a donc amené au tout début sur JRME était une rupture. Il doit être possible de retrouver les archives
mais, en toute sincérité, je n'y vois plus d'intérêt (de mon point de vue).
Ce qui m'amène ici aujourd'hui est la fin de l'aventure que je vivais depuis le 12 décembre 2008, avec une femme mariée. Nous avons vécu des moments inoubliables, uniques et mêmes magiques et je ne veux retenir que cela.
Mais voilà, tout s'achève ce soir, conclusion brutale et déception immense d'un week-end de tensions et d'une discussion hier matin plus que tendue. J'y reviendrai probablement mais sachez simplement que je ne suis pas effondré mais "seulement" terriblement déçue qu'elle puisse penser de moi ce qu'elle pense maintenant.
Comme quoi la frontière entre quelqu'un de bien, de "génial", donnant un amour "pur" et sincère, tout en étant peu commun (moi) et un mec minable et radin (ce qui fait "rire" - jaune - ma famille et mes proches, que j'ai avertis) avec une tendance "pathologique" (elle est médecin - re "rire" jaune de ma famille et de mes proches), bref ce qui était bien avant ne l'est plus.
Qu'elle se soit lassée, qu'elle veuille reprendre sa liberté, ses parties "fines" en club libertin ou à l'hôtel (oui, je sais, elle aussi est un spécimen), cela m'importe peu maintenant. Je ne pensais pas que ça finirait maintenant et comme cela, le proverbe "quand on veut se débarrasser de son chien on l'accuse de la rage" reste plus que jamais vrai.
Bonne soirée et bonne nuit aux noctambules...
Avant tout, un salut amical et complice aux anciens & anciennes qui seraient toujours dans les parages. Je n'ai oublié aucun(e) de vous, notre rencontre m'a toujours habité. J'ai disparu de la circulation (JRME) il y a quelques mois mais il m'est arrivé de venir vous lire pour m'enquérir des évolutions de celles et ceux avec qui des liens s'étaient créés.
Avec du recul, dîtes-vous que l'on se remet toujours d'une rupture, à de rares exceptions prêt et souvent tragiques. Ce qui m'a donc amené au tout début sur JRME était une rupture. Il doit être possible de retrouver les archives

Ce qui m'amène ici aujourd'hui est la fin de l'aventure que je vivais depuis le 12 décembre 2008, avec une femme mariée. Nous avons vécu des moments inoubliables, uniques et mêmes magiques et je ne veux retenir que cela.
Mais voilà, tout s'achève ce soir, conclusion brutale et déception immense d'un week-end de tensions et d'une discussion hier matin plus que tendue. J'y reviendrai probablement mais sachez simplement que je ne suis pas effondré mais "seulement" terriblement déçue qu'elle puisse penser de moi ce qu'elle pense maintenant.
Comme quoi la frontière entre quelqu'un de bien, de "génial", donnant un amour "pur" et sincère, tout en étant peu commun (moi) et un mec minable et radin (ce qui fait "rire" - jaune - ma famille et mes proches, que j'ai avertis) avec une tendance "pathologique" (elle est médecin - re "rire" jaune de ma famille et de mes proches), bref ce qui était bien avant ne l'est plus.
Qu'elle se soit lassée, qu'elle veuille reprendre sa liberté, ses parties "fines" en club libertin ou à l'hôtel (oui, je sais, elle aussi est un spécimen), cela m'importe peu maintenant. Je ne pensais pas que ça finirait maintenant et comme cela, le proverbe "quand on veut se débarrasser de son chien on l'accuse de la rage" reste plus que jamais vrai.
Bonne soirée et bonne nuit aux noctambules...