- 02 févr. 2015, 21:53
#994544
Je savais au fond de moi qu'il y avait mensonges sur les circonstances de la rupture en octobre dernier. Je ne cessais de me culpabiliser. J'ai un double profil FB qui a 3 ans en cas de piratage, je ne l'alimente quasiment pas.
A la rupture il est devenu contact avec mon ex. Un message cordiale de ma part une fois, et voilà que lui me contacte à son tour. j'ai profité de l'occasion. Il s'est livré sur son intimité à une inconnue et a révélé que la relation avec la next ne datait pas de 3 mois 7 mois. J'ai compris alors le manque de désir, le mépris qu'il m'a fait subir. Je lui ai révélé que je connaissais sa next (moi) et lui révéler la vérité. Il a compris après que c'étais moi quand j'ai demandé la suppression du contact. Hors de question de maintenir des échanges après avoir connu la vérité.
c'est mal, je sais mais tout s'est déroulé si vite. Connivence, confidences comme nous 2 à une époque...
Il m'a traitée de schizo, folle, fantôme... Je n'ai jamais utilisé auparavant ce profil quand je doutais de lui, jamais. Là il me fallait savoir. Il me doit encore 36 000 euros.
Insultée, j'ai décidé de rappeler la femme qui 2 ans auparavant m'avait prévenue de son coté sombre. Ils avaient recouché ensemble et j'avais pardonné. Elle m'avait envoyé un message et lui m'avait dit qu'elle était venue un WE pour des explications, qu'il s'était fait manipulé et qu'il avait regretté son acte. Faux. Ils ont passé une semaine ensemble dans l'appart, fait l'amour tous les soirs et il continuait à m'envoyer des messages d'amour tous les jours. Il ne voulait pas lui parler de moi. Elle sentait bien l'existence d'une autre femme. Elle dit qu'il m'a aimée, pas elle mais une fois qu'il se lasse, il laisse pourrir la situation, et devient froid sans rompre. Du coup message où je lui rappelle cette semaine : la schizo a voulu connaitre la vérité et elle apprend que lui n'est que mensonge. Il n'y a pas eu d'autres femmes, mais cela a suffit pour que je soie convaincue de son instabilité chronique. IL m'a aimée mais il m'a fait souffrir comme jamais un homme ne l'a jamais fait.
Je l'ai probablement définitivement perdu mais j'avais besoin de savoir.
A la rupture il est devenu contact avec mon ex. Un message cordiale de ma part une fois, et voilà que lui me contacte à son tour. j'ai profité de l'occasion. Il s'est livré sur son intimité à une inconnue et a révélé que la relation avec la next ne datait pas de 3 mois 7 mois. J'ai compris alors le manque de désir, le mépris qu'il m'a fait subir. Je lui ai révélé que je connaissais sa next (moi) et lui révéler la vérité. Il a compris après que c'étais moi quand j'ai demandé la suppression du contact. Hors de question de maintenir des échanges après avoir connu la vérité.
c'est mal, je sais mais tout s'est déroulé si vite. Connivence, confidences comme nous 2 à une époque...
Il m'a traitée de schizo, folle, fantôme... Je n'ai jamais utilisé auparavant ce profil quand je doutais de lui, jamais. Là il me fallait savoir. Il me doit encore 36 000 euros.
Insultée, j'ai décidé de rappeler la femme qui 2 ans auparavant m'avait prévenue de son coté sombre. Ils avaient recouché ensemble et j'avais pardonné. Elle m'avait envoyé un message et lui m'avait dit qu'elle était venue un WE pour des explications, qu'il s'était fait manipulé et qu'il avait regretté son acte. Faux. Ils ont passé une semaine ensemble dans l'appart, fait l'amour tous les soirs et il continuait à m'envoyer des messages d'amour tous les jours. Il ne voulait pas lui parler de moi. Elle sentait bien l'existence d'une autre femme. Elle dit qu'il m'a aimée, pas elle mais une fois qu'il se lasse, il laisse pourrir la situation, et devient froid sans rompre. Du coup message où je lui rappelle cette semaine : la schizo a voulu connaitre la vérité et elle apprend que lui n'est que mensonge. Il n'y a pas eu d'autres femmes, mais cela a suffit pour que je soie convaincue de son instabilité chronique. IL m'a aimée mais il m'a fait souffrir comme jamais un homme ne l'a jamais fait.
Je l'ai probablement définitivement perdu mais j'avais besoin de savoir.