- 07 janv. 2015, 15:03
#985143
Bonjour bonjour !
J'avais déjà posté sur le forum début Décembre, et j'ai ensuite décidé de supprimer mes messages parce que je partais dans des élucubrations sentimentales, dans le mauvais roman à l'eau de rose, (je pense que) je me voilais la face ; je voulais aussi m'éloigner du forum pour avancer vraiment de mon côté.
Mais j'ai finalement besoin de soutien.
Pour résumer, nous sommes restés ensemble un an, nous nous sommes séparés il y a un moi et demi.
Dès le début de la relation nous avions été très complice, vraiment, c'était la première fois que l'un comme l'autre nous vivions un truc aussi fort (j'ai 21ans, il en a 24) ; il m'avait dit en Août que d'ailleurs, les sentiments qu'il ressentait pour moi étaient si intenses que ça lui faisait un peu peur, et qu'il avait peur de souffrir par la suite.
Beaucoup de complicité donc, de grandes similitudes dans notre vie passée et dans notre façon d'appréhender notre vie actuellement... On s'entendait vraiment bien, beaucoup de communication (surtout suite à une première rupture en Février dernier, rupture n'ayant duré que deux jours ; après ça nous avions instauré beaucoup plus de communication et d'honnêteté ; c'était vraiment positif pour nous deux). Nous nous soutenions mutuellement etc.
Il a décidé de rompre fin Novembre parce qu'il se sentait perdu (je pense qu'il l'a toujours été, plus ou moins, depuis Février ; des périodes où tout était parfait, d'autres où il remettait beaucoup de choses en question) ; perdu au niveau de ses sentiments, de ce qu'il voulait vraiment... Il se sentait par moments oppressé bien que je n'ai jamais été envahissante (il a une phobie sociale qui n'aide en rien, même s'il se soigne) et avait peur de perdre sa liberté, peur d'avoir mal ensuite, peur de me faire mal....
Il me disait que sa période de doutes avait assez duré, qu'il ne pouvait pas me laisser dans cette incertitude plus longtemps et qu'il lui fallait prendre une décision.
Il me disait qu'il ne savait pas s'il prenait la bonne décision (tout comme en Février lorsqu'il s'était rendu compte que c'était plus un coup de tête, une fuite, qu'il ne voulait finalement pas réaliser) mais qu'il fallait faire un choix, même si c'était difficile.
Nous nous sommes recontactés (et revus) une première fois une semaine après, et ensuite nous nous sommes revus en moyenne une fois par semaine. Et, à chaque fois, nous avons recouché ensemble. Nous retrouvions très vite notre complicité ainsi que notre côté (très) tactile (toujours à son initiative ! je faisais mon possible pour rester plus amicale qu'amante, mais c'est difficile lorsque lui ne m'aidait pas là-dedans), nous riions beaucoup, parlions beaucoup... Et le sexe, comme avant, était absolument génial, sans barrière.
Cependant, cela me brouillait l'esprit. En effet, en peu de temps, quelques semaines à peine, j'ai appris beaucoup de choses sur moi, sur la situation... Je prenais vraiment conscience que c'était fini ente nous mais... Cette ambiguïté me rendait mal.
Depuis la rupture, le jou-même et les semaines suivantes, il m'a dit différentes choses qui, forcément, me remuaient le cerveau :
Ce n'était pas toujours moi qui était à l'origine de nos entrevues, et à la fin des rdv il me disait clairement qu'il aimerait qu'on se revoit pour telle ou telle chose, que ce serait sympa etc.
Quelques fois, j'ai été fière de moi de prendre le temps de m'écouter vraiment (et d'écouter les conseils de mes proches) et de refuser certaines de ses propositions, de ne pas me rendre disponible à chaque fois, d'un claquement de doigts.
Notre dernier contact date de vendredi dernier, lorsque je venais de refuser, finalement, un rendez-vous pour aller prendre un café/thé sur Montmartre (j'étais à Paris chez ma soeur pour le nouvel an, il se trouvait aussi sur Paris avec des amis), échange qui était cordial/amical/complice comme les autres fois.
Ce même vendredi, un ami de ma soeur m'a proposé d'aller boire un verre avec lui, le soir. Je l'avais rencontré brièvement il y a deux an, de passage sur Paris pour voir ma soeur (il a 27ans) et depuis il pensait régulièrement à moi et parlait de ça à ma soeur. J'ai accepté, et nous avons passé une SUPER soirée. Nous avons fini chez lui, nous avons couché ensemble. Et, pour la première fois depuis longtemps, je n'ai pas pensé à mon ex. J'ai vraiment profité du moment, et je n'ai pas été obsédée par mon ex.
[D'ailleurs, je parle avec d'autres garçons avec qui je m'entends bien ou vraiment bien, et ce premier passage à l'acte vendredi dernier a de nouveau entrouvert la porte des possibilités ; je vais sûrement avoir quelques rdv à l'avenir]
Un soulagement, parce que par moments je devenais folle ! J'y pensais sans arrêt, je le stalkais... Je n'ai fait aucun interdit "direct" si ce n'est d'avoir pleuré le jour de la rupture (il avait pleuré aussi) et d'avoir couché avec lui à chaque fois qu'on se revoyait (dur de résister..).
Cette soirée, plus les nombreuses discussions avec ma soeur, son copain (qui tous deux ont commencé leur relation un peu de cette façon, il y a quatre ans ; ils sont aujourd'hui pacsé et ont acheté un appart ; mais ils ont pu me donner des avis objectifs et réalistes) ainsi qu'avec mon , m'ont permis de prendre conscience de différentes choses.
Je me voile la face. Non, la situation ne me satisfait pas, comme je pensais le croire. Et le comportement de mon ex envers moi n'est pas correct. Il tergiverse beaucoup, n'est pas toujours cohérent et n'est pas clair (avec lui-même, avec moi).
Bref, ça me rendait vraiment mal même si je ne voulais pas l'admettre. Et le stalker (lui le faisait aussi, nous en avions parlé en rigolant la semaine dernière) est vraiment malsain ! Et m'empêche d'y voir clair, d'aller de l'avant.
Hier matin j'ai donc pris une décision drastique :
J'ai mis dans une boite tout ce qui rattachait à lui (ainsi que son cadeau de Noël, oui, Noël 2014 ; il a tenu à m'offrir quelque chose), j'ai mis toutes les photos liées à lui dans un dossier au fond de mon ordi, j'ai supprimé nos textos, nos mails, nos messages FB ; j'ai supprimé son numéro (écris sur un bout de papier, dans la fameuse boîte, au cas où) et je l'ai bloqué de FB.
[on était, aussi, tous les deux sur une application iPhone de rencontres ; je m'y suis inscrite la semaine dernière, il m'en avait parlé, on en a rigolé... On s'était parlé dessus etc ; application fonctionnant, entre autres, par géolocalisation, autant dire que ma perversion de stalkeuse et de faiseuse de films était à son paroxysme !!! Je l'ai donc aussi viré de là-dessus, mais je pouvais quand même avoir accès à sa localisation (en fouinant) et son profil ; hier soir, j'ai vu qu'il n'y avait plus aucune trace de lui, il dû supprimer/désactiver son compte ; suite à mon blocage Fb ? Autre chose ? No idea, et au fond ce n'est pas important]
C'est ainsi qu'hier, j'ai décidé de débuter un SR strict.
J'ai besoin de me retrouver. Parce que moi-même je doute de mes sentiments envers lui par moments, je doute de ce que je veux vraiment (le revoir ; recoucher avec ; le reconquérir...? ou pas ?).
De plus, la semaine prochaine j'ai un foutu concours à passer donc mon obsession envers lui devait VRAIMENT se calmer (ça m'empêchait d'être disponible pour mes révisions).
Il a dû se rendre compte de tout ça ; je ne sais pas s'il me recontactera (notre dernier échange s'était bien passé après tout) et s'il le fera je ne sais pas comment je réagirai.
Voilà où j'en suis aujourd'hui... C'est dur ; je me sens soulagée, mais triste, et blessée, perdue.
J'ai besoin de votre soutien, parce que c'est pas évident de gérer tout ça (mes études, cette rupture faite peu de temps avant mes révisions (un peu de rancoeur, d'ailleurs, par rapport à ça), des études qui font que je ne peux pas forcément prendre l'air et voir mes amis comme avant... je me sens un peu seule).
Je pense que j'ai bien fait de faire tout ça, pour me protéger. Mon cousin me disait que lui l'aurait seulement supprimé de FB, pas bloqué ; et me disait éventuellement de lui écrire quelque chose pour lui expliquer mes raisons.
Je ne sais pas trop. Je pense attendre la fin de semaine prochaine, fin de mon concours, pour prendre une décision quelconque (lui écrire cette fameuse explication ; le recontacter pour récupérer quelques affaires chez lui ?)
Qu'en pensez-vous ? Son comportement, le mien, que sais-je..
Merci
J'avais déjà posté sur le forum début Décembre, et j'ai ensuite décidé de supprimer mes messages parce que je partais dans des élucubrations sentimentales, dans le mauvais roman à l'eau de rose, (je pense que) je me voilais la face ; je voulais aussi m'éloigner du forum pour avancer vraiment de mon côté.
Mais j'ai finalement besoin de soutien.
Pour résumer, nous sommes restés ensemble un an, nous nous sommes séparés il y a un moi et demi.
Dès le début de la relation nous avions été très complice, vraiment, c'était la première fois que l'un comme l'autre nous vivions un truc aussi fort (j'ai 21ans, il en a 24) ; il m'avait dit en Août que d'ailleurs, les sentiments qu'il ressentait pour moi étaient si intenses que ça lui faisait un peu peur, et qu'il avait peur de souffrir par la suite.
Beaucoup de complicité donc, de grandes similitudes dans notre vie passée et dans notre façon d'appréhender notre vie actuellement... On s'entendait vraiment bien, beaucoup de communication (surtout suite à une première rupture en Février dernier, rupture n'ayant duré que deux jours ; après ça nous avions instauré beaucoup plus de communication et d'honnêteté ; c'était vraiment positif pour nous deux). Nous nous soutenions mutuellement etc.
Il a décidé de rompre fin Novembre parce qu'il se sentait perdu (je pense qu'il l'a toujours été, plus ou moins, depuis Février ; des périodes où tout était parfait, d'autres où il remettait beaucoup de choses en question) ; perdu au niveau de ses sentiments, de ce qu'il voulait vraiment... Il se sentait par moments oppressé bien que je n'ai jamais été envahissante (il a une phobie sociale qui n'aide en rien, même s'il se soigne) et avait peur de perdre sa liberté, peur d'avoir mal ensuite, peur de me faire mal....
Il me disait que sa période de doutes avait assez duré, qu'il ne pouvait pas me laisser dans cette incertitude plus longtemps et qu'il lui fallait prendre une décision.
Il me disait qu'il ne savait pas s'il prenait la bonne décision (tout comme en Février lorsqu'il s'était rendu compte que c'était plus un coup de tête, une fuite, qu'il ne voulait finalement pas réaliser) mais qu'il fallait faire un choix, même si c'était difficile.
Nous nous sommes recontactés (et revus) une première fois une semaine après, et ensuite nous nous sommes revus en moyenne une fois par semaine. Et, à chaque fois, nous avons recouché ensemble. Nous retrouvions très vite notre complicité ainsi que notre côté (très) tactile (toujours à son initiative ! je faisais mon possible pour rester plus amicale qu'amante, mais c'est difficile lorsque lui ne m'aidait pas là-dedans), nous riions beaucoup, parlions beaucoup... Et le sexe, comme avant, était absolument génial, sans barrière.
Cependant, cela me brouillait l'esprit. En effet, en peu de temps, quelques semaines à peine, j'ai appris beaucoup de choses sur moi, sur la situation... Je prenais vraiment conscience que c'était fini ente nous mais... Cette ambiguïté me rendait mal.
Depuis la rupture, le jou-même et les semaines suivantes, il m'a dit différentes choses qui, forcément, me remuaient le cerveau :
- "tu incarnes vraiment tout ce que je peux espérer trouver chez une femme ; j'ai parfois pensé que tu étais la femme de ma vie ; par moment cela me faisait d'ailleurs peur, mais je me sens si bien avec toi ; mes angoisses sociales sont presques nulles, avec toi je ne mets pas de masque"Bref, voyez le genre.
- "tu es la femme parfaite, et je ne sais pas pourquoi je réagis comme ça, ça me tue ! je m'énerve contre moi-même ; je voudrais / j'aurais voulu que ça marche"
- "hum, tu sais, je ne t'oublie pas...je pense à toi, beaucoup"
- "ça me fait tellement plaisir de te revoir ! j'adore les moments que l'on passe ensemble" "tu es si belle, si forte"
- "je t'aimerais toujours" (bon, ça c'était le jour du nouvel an, passé minuit ; j'ai conscience que c'était surtout sous l'effet de l'alcool... mais quand même)
- [après avoir refusé un rendez-vous proposé par lui, alors que j'avais finalement accepté] "ok, dommage, ça m'aurait fait plaisir de te voir"
- [la semaine dernière, chez moi, après avoir passé un moment génial, je parle de notre situation vu que nous n'en avions pas parlé depuis la rupture] "je me sens perdu, mais je suis sûr de deux choses : je ne peux/veux pas construire quelque chose actuellement, j'ai besoin de me concentrer sur moi ; et je ne veux pas te faire souffrir"
Ce n'était pas toujours moi qui était à l'origine de nos entrevues, et à la fin des rdv il me disait clairement qu'il aimerait qu'on se revoit pour telle ou telle chose, que ce serait sympa etc.
Quelques fois, j'ai été fière de moi de prendre le temps de m'écouter vraiment (et d'écouter les conseils de mes proches) et de refuser certaines de ses propositions, de ne pas me rendre disponible à chaque fois, d'un claquement de doigts.
Notre dernier contact date de vendredi dernier, lorsque je venais de refuser, finalement, un rendez-vous pour aller prendre un café/thé sur Montmartre (j'étais à Paris chez ma soeur pour le nouvel an, il se trouvait aussi sur Paris avec des amis), échange qui était cordial/amical/complice comme les autres fois.
Ce même vendredi, un ami de ma soeur m'a proposé d'aller boire un verre avec lui, le soir. Je l'avais rencontré brièvement il y a deux an, de passage sur Paris pour voir ma soeur (il a 27ans) et depuis il pensait régulièrement à moi et parlait de ça à ma soeur. J'ai accepté, et nous avons passé une SUPER soirée. Nous avons fini chez lui, nous avons couché ensemble. Et, pour la première fois depuis longtemps, je n'ai pas pensé à mon ex. J'ai vraiment profité du moment, et je n'ai pas été obsédée par mon ex.
[D'ailleurs, je parle avec d'autres garçons avec qui je m'entends bien ou vraiment bien, et ce premier passage à l'acte vendredi dernier a de nouveau entrouvert la porte des possibilités ; je vais sûrement avoir quelques rdv à l'avenir]
Un soulagement, parce que par moments je devenais folle ! J'y pensais sans arrêt, je le stalkais... Je n'ai fait aucun interdit "direct" si ce n'est d'avoir pleuré le jour de la rupture (il avait pleuré aussi) et d'avoir couché avec lui à chaque fois qu'on se revoyait (dur de résister..).
Cette soirée, plus les nombreuses discussions avec ma soeur, son copain (qui tous deux ont commencé leur relation un peu de cette façon, il y a quatre ans ; ils sont aujourd'hui pacsé et ont acheté un appart ; mais ils ont pu me donner des avis objectifs et réalistes) ainsi qu'avec mon , m'ont permis de prendre conscience de différentes choses.
Je me voile la face. Non, la situation ne me satisfait pas, comme je pensais le croire. Et le comportement de mon ex envers moi n'est pas correct. Il tergiverse beaucoup, n'est pas toujours cohérent et n'est pas clair (avec lui-même, avec moi).
Bref, ça me rendait vraiment mal même si je ne voulais pas l'admettre. Et le stalker (lui le faisait aussi, nous en avions parlé en rigolant la semaine dernière) est vraiment malsain ! Et m'empêche d'y voir clair, d'aller de l'avant.
Hier matin j'ai donc pris une décision drastique :
J'ai mis dans une boite tout ce qui rattachait à lui (ainsi que son cadeau de Noël, oui, Noël 2014 ; il a tenu à m'offrir quelque chose), j'ai mis toutes les photos liées à lui dans un dossier au fond de mon ordi, j'ai supprimé nos textos, nos mails, nos messages FB ; j'ai supprimé son numéro (écris sur un bout de papier, dans la fameuse boîte, au cas où) et je l'ai bloqué de FB.
[on était, aussi, tous les deux sur une application iPhone de rencontres ; je m'y suis inscrite la semaine dernière, il m'en avait parlé, on en a rigolé... On s'était parlé dessus etc ; application fonctionnant, entre autres, par géolocalisation, autant dire que ma perversion de stalkeuse et de faiseuse de films était à son paroxysme !!! Je l'ai donc aussi viré de là-dessus, mais je pouvais quand même avoir accès à sa localisation (en fouinant) et son profil ; hier soir, j'ai vu qu'il n'y avait plus aucune trace de lui, il dû supprimer/désactiver son compte ; suite à mon blocage Fb ? Autre chose ? No idea, et au fond ce n'est pas important]
Etre sur Lovoo lorsque qu'un ex avec qui c'est ambigü y est aussi ? JAMAIS, Fuyez, pauvres fous ! (kass dédi à Gandalf le Gris)Et c'est dur, putain ! Quelque part, je trouvais une certaine satisfaction (malsaine) à pouvoir l'espionner. Mais je me faisais du mal, il fallait que ça cesse et il était temps que je pense à moi.
C'est ainsi qu'hier, j'ai décidé de débuter un SR strict.
J'ai besoin de me retrouver. Parce que moi-même je doute de mes sentiments envers lui par moments, je doute de ce que je veux vraiment (le revoir ; recoucher avec ; le reconquérir...? ou pas ?).
De plus, la semaine prochaine j'ai un foutu concours à passer donc mon obsession envers lui devait VRAIMENT se calmer (ça m'empêchait d'être disponible pour mes révisions).
Il a dû se rendre compte de tout ça ; je ne sais pas s'il me recontactera (notre dernier échange s'était bien passé après tout) et s'il le fera je ne sais pas comment je réagirai.
Voilà où j'en suis aujourd'hui... C'est dur ; je me sens soulagée, mais triste, et blessée, perdue.
J'ai besoin de votre soutien, parce que c'est pas évident de gérer tout ça (mes études, cette rupture faite peu de temps avant mes révisions (un peu de rancoeur, d'ailleurs, par rapport à ça), des études qui font que je ne peux pas forcément prendre l'air et voir mes amis comme avant... je me sens un peu seule).
Je pense que j'ai bien fait de faire tout ça, pour me protéger. Mon cousin me disait que lui l'aurait seulement supprimé de FB, pas bloqué ; et me disait éventuellement de lui écrire quelque chose pour lui expliquer mes raisons.
Je ne sais pas trop. Je pense attendre la fin de semaine prochaine, fin de mon concours, pour prendre une décision quelconque (lui écrire cette fameuse explication ; le recontacter pour récupérer quelques affaires chez lui ?)
Qu'en pensez-vous ? Son comportement, le mien, que sais-je..
Merci