- 29 juil. 2014, 11:32
#920553
(Non c'est ironique)
Il m'a largué il y a presque deux semaines un jeudi soir. Malgré sa volonté très brutale d'être "seul" et de s'éloigner de moi il n'avait pas pour autant dans l'idée de partir de l'appart' que nous partageons. Le jeudi soir donc, je décide de sortir, sans un mot. Malgré tout il essaie de me retenir, de savoir où je vais. Je réponds fermement qu'il a décidé d'être seul, je n'ai plus de compte à lui rendre j'ai besoin d'air. Dans la nuit en rentrant je me rends compte qu'il pensait que je ne reviendrai pas vu qu'il a laissé sa clé sur le verrou, le bougre. Je dois donc le réveiller pour ne pas passer la nuit dehors. Dans le lit, pas un mot, pas un geste. Je sens qu'il a une forte envie de me demander où j'étais, mais il ne peut pas. Difficilement il s'endort, moi aussi. Le lendemain il s'en va travailler, puis revient à midi, me propose de faire à manger ce à quoi je réponds "non merci je n'ai pas faim" il se cloitre dans son petit monde devant son ordinateur avec son assiette avant de venir dans le lit faire une sieste. Je m'en vais faire une course dans l'après midi et quand je reviens il est sous la douche, sort tranquillement avec sa serviette, sans pudeur, s'habille, commence à faire le ménage dans l'appart (j'ai toujours pas compris pourquoi) et là où je vois bien qu'il n'a pas l'intention de partir c'est qu'il y avait des cartons avec des affaires à lui dedans, au lieu de les laisser là pour son départ il les déballe, les range, plie les cartons et va les jeter. Il s'en va pour la soirée, je fais de même de mon côté. Quand je rentre il n'est pas encore là, je me couche, commence à m'endormir et l'entend rentrer. De nouveau pas un mot, pas un geste... quoique... dans la nuit il commence à se rapprocher de moi, me toucher, mettre ses jambes sur les miennes comme d'habitude. Gestes inconscients je présume, vu que le lendemain au réveil il est tassé dans son coin. Il s'en va travailler.
Moi, j'ai décidé de passer le week end chez ma famille car l'ambiance à la maison merci bien. Je lui laisse donc un simple mot : "Je pensais qu'un appartement plus grand serait une solution à nos soucis (on vivait dans un studio de 30m² on était constamment ensemble en somme et sa jalousie faisait que je ne sortais que rarement). Je passe le week end chez mes parents. Occupe toi des chats" et je disparais. Le dimanche matin je me reçois un sms, il a réfléchi pour l'appart' et s'en va chez ses parents finalement. On discute vite fait des détails administratifs, pas grand chose concernant notre relation de toute manière il ne m'a pas donné d'explication concrète lors de la rupture c'est pas maintenant qu'il va le faire je le connais. Je décide de lui tourner une vidéo toute simple, pas de ton négatif, pas de pleurs, même des sourires! Une voix émue simplement, pour faire le constat de notre histoire, relever ses qualités et ce qu'il a fait de bon dans notre relation, en fait j'ai pour but de le calmer pour quand je rentrerai à l'appart, je le connais il va stresser comme un dég de se retrouver face à moi et va me provoquer et m'en mettre plein la figure du coup, et ça je veux pas. Il me demande quand je rentre, je lui réponds "demain soir" il me dit qu'il doit partir demain soir chez ses parents, je lui assure que je serai là avant son départ. Le lundi matin il me case une heure pour notre rdv, bien sur coco maintenant j'ai une heure dite pour rentrer dans mon propre appart? Je le lui fais remarquer (non pas méchamment) il me répond un vague "autant pour moi". A 18h30 je m'apprêtais à rentrer et il m'envoie "Perso je suis prêt" c'est qu'il a hâte le bougre! Je ne réponds pas et rentre simplement. De là, je remarque qu'en fait non il n'était pas tout à fait prêt il lui reste encore quelques cartons à emballer et placer dans sa voiture. Il me demande de quoi je voulais parler (car j'avais accepté une discussion mais pour lui a priori ça voulait dire: JE VEUX TE PARLER) je lui dis que l'essentiel est dit dans la vidéo. Il est surprit, quelle vidéo? Il branche donc son ordinateur et la regarde devant moi, crotte moi qui voulais qu'il la regarde seul je me sens bien mal. Finalement ça a l'effet escompté vu qu'il se calme, me calme plus posément, me dit que c'est très touchant et très beau. Il me dit aussi que notre histoire il ne l'oubliera jamais, qu'on a vécu une superbe expérience, que je suis quelqu'un de bien. Oui merci ça je sais
DD
Vient le moment des au revoirs, il me prend dans ses bras, m'embrasse le front, la joue, j'aurais juré qu'il avait envie de m'embrasser tout court en fait. Les larmes coulent sur mes joues, pas de sanglot, juste de l'émotion que je ne peux retenir. Je reste interdite et ne dis rien. Au moment où il s'installe dans sa voiture, je me lève, il s'arrête comme l'impression que je vais faire un pas vers lui, lui dire un dernier truc, mais non je passe simplement à côté et m'en vais. Le soir, il m'envoie un sms pour me demander de nouveau le lien de ma vidéo, prétextant que ses mails se sont miraculeusement tous effacés (mon c*l oui) je réponds simplement "Oh" il me répond rapidement "ah non c'est bon. Je l'ai regardé encore c'est très beau et très touchant" oui merci tu me l'as déjà dit. Je déballe mes affaires du week end et me rends compte qu'il manque plein d'affaires à moi dans la salle de bains. Je me fais l'inventaire dans ma tête de ce qui devait se trouver dans cette armoire, et d'un coup "oh! les préservatifs ne sont plus là!" je lui envoie donc un sms "tu pourras me dire où tu as mis mon maquillage et le reste? Bien joué d'avoir pris les préservatifs, tu en auras besoin" oui, je suis un peu provocatrice. Il me répond qu'il n'avait pas conscience de l'existence des préservatifs et que mes affaires sont rangées ailleurs, puis finalement continue en disant que y'avait trois boites de capote alors que dans sa tete on en avait qu'une. Malin va, oui beh non désolée les trois boites sont bien à nous, moi perso je n'en achète pas pour mon plaisir personnel et puis si jamais j'avais dans l'idée de te tromper j'aurais caché les capotes dans mon sac je pense, pas neuneu au point de les mettre dans notre tiroir. Bref, je lui réponds que les préservatifs sont les notres, je ne vois pas d'autre explication. Il me répond qu'en plus il en manquait. Ha! je réponds que pour quelqu'un qui ne savait pas jusqu'à l'existence de ces préservatifs ici finalement il était bien informé. Après questionnement vers ma mère elle me répond: a tous les coups il les a jeté/pris pour pas que toi tu les utilises. Vu sa jalousie maladive ça ne m'étonne pas. La discussion s'arrête sur lui qui me rappelle que je dois faire ma lettre de résiliation de bail. Je passe la soirée chez un ami, pour me vider la tête.
Le lendemain je fais ma lettre, envoie le recommandé, et comme je m'y attendais dès qu'il a un moment à lui au travail il me demande où ça en est. Ne souhaitant pas me confronter à lui pour lui donner les photocopies de ma lettre de résiliation (OUI il m'a demandé une preuve oui, de peur que je la fasse pas. En vérité je crois que c'est une idée de ses parents, ça ne m'étonnerait vraiment pas et c'est très plausible vu la relation qu'il a avec eux et leur caractère) je les lui laisse dans la boite aux lettres. Nous sommes donc mardi matin. Le reste de la semaine se passe avec des sms purement administratifs, vis à vis de l'appart, rien d'autre. Je réponds toujours brièvement et de façon concise quand je le juge important.
Finalement le jeudi soir je craque un peu, lui envoie un simple "Bonne nuit" sans réponse, le vendredi soir de même, je lui envoie une anecdote sur quelque chose que je viens de voir, sans réponse. Jusque là je ne me débine pas en lui disant des "TU ME MANQUES REVIENS" non non je craque peut être un peu mais faut pas déconner... Quoique. Le samedi après midi ma mère m'emmène chez le coiffeur où je raffraichis un peu tout ça. Le soir, je suis comme une grosse larve chez moi, plus légume tu meurs, je lui envoie un mail où je décide de faire mon mea culpa. C'est ce que j'ai toujours fait pour m'aider à avancer moi ! Je reconnais dans mon mail où moi j'ai fauté, où sont mes erreurs, et je reconnais a quel point il a grandi et changé en bien dans notre relation, que jamais auparavant il n'avait fait ce qu'il a fait pour quelqu'un, à part pour moi. Là encore, des mots un peu mielleux et plein d'émotion mais pas de "je suis une m*rde sans toi je t'en supplie reviens j'en peux plus" ah non non! Je termine par le fait que je cherche une famille pour les chats, vu que je ne pourrais les garder si je retourne chez mes parents. Pas de réponse.
Le lendemain matin il m'envoie un sms comme quoi il a fait le changement de situation familial à la caf, que je n'ai plus qu'à me mettre seule sur les autres factures au cas où il y aurait un controle. Je lui réponds tout de même, inquiète, que j'espère qu'il sait que pendant les trois mois de préavis il est toujours officiellement locataire et doit toujours payer sa part de loyer. Il me répond que oui il le sait, mais que comme ça j'aurais plus de caf en étant seule sur le dossier. Ah, bon, je ne réponds pas.
Le lendemain soir, hier soir donc, il m'envoie un sms pour me dire qu'il emménage dans son nouvel appart en septembre (histoire de me prévenir qu'il récupèrera certains de ses meubles laissés à l'appart, dont le lit, en avance) mais qu'il y aura un problème pour les factures il faudra qu'on en parle. Je ne réponds pas, ok très bien si tu veux en parler tu me recontacteras pour me dire quand et où hein, j'te fais confiance. Il m'envoie un autre sms 2h plus tard pour me dire qu'au sujet de mes messages, il les a tous lu, ça l'a touché au plus profond de son coeur, il en a même pleuré. Mais qu'il ne peut pas étaler ce qu'il ressent maintenant, c'est trop tôt pour lui, qu'un jour peut être il le pourra, mais qu'il ne m'ignore pas il veut juste prendre de la distance. Je ne réponds toujours pas: on a dit SR, sauf pour les urgences administratives. C'en est pas une, et j'me suis assez dégonflée la semaine dernière avec mes messages à la c*n.
Voilà pour le moment tout ce qui s'est passé
Il m'a largué il y a presque deux semaines un jeudi soir. Malgré sa volonté très brutale d'être "seul" et de s'éloigner de moi il n'avait pas pour autant dans l'idée de partir de l'appart' que nous partageons. Le jeudi soir donc, je décide de sortir, sans un mot. Malgré tout il essaie de me retenir, de savoir où je vais. Je réponds fermement qu'il a décidé d'être seul, je n'ai plus de compte à lui rendre j'ai besoin d'air. Dans la nuit en rentrant je me rends compte qu'il pensait que je ne reviendrai pas vu qu'il a laissé sa clé sur le verrou, le bougre. Je dois donc le réveiller pour ne pas passer la nuit dehors. Dans le lit, pas un mot, pas un geste. Je sens qu'il a une forte envie de me demander où j'étais, mais il ne peut pas. Difficilement il s'endort, moi aussi. Le lendemain il s'en va travailler, puis revient à midi, me propose de faire à manger ce à quoi je réponds "non merci je n'ai pas faim" il se cloitre dans son petit monde devant son ordinateur avec son assiette avant de venir dans le lit faire une sieste. Je m'en vais faire une course dans l'après midi et quand je reviens il est sous la douche, sort tranquillement avec sa serviette, sans pudeur, s'habille, commence à faire le ménage dans l'appart (j'ai toujours pas compris pourquoi) et là où je vois bien qu'il n'a pas l'intention de partir c'est qu'il y avait des cartons avec des affaires à lui dedans, au lieu de les laisser là pour son départ il les déballe, les range, plie les cartons et va les jeter. Il s'en va pour la soirée, je fais de même de mon côté. Quand je rentre il n'est pas encore là, je me couche, commence à m'endormir et l'entend rentrer. De nouveau pas un mot, pas un geste... quoique... dans la nuit il commence à se rapprocher de moi, me toucher, mettre ses jambes sur les miennes comme d'habitude. Gestes inconscients je présume, vu que le lendemain au réveil il est tassé dans son coin. Il s'en va travailler.
Moi, j'ai décidé de passer le week end chez ma famille car l'ambiance à la maison merci bien. Je lui laisse donc un simple mot : "Je pensais qu'un appartement plus grand serait une solution à nos soucis (on vivait dans un studio de 30m² on était constamment ensemble en somme et sa jalousie faisait que je ne sortais que rarement). Je passe le week end chez mes parents. Occupe toi des chats" et je disparais. Le dimanche matin je me reçois un sms, il a réfléchi pour l'appart' et s'en va chez ses parents finalement. On discute vite fait des détails administratifs, pas grand chose concernant notre relation de toute manière il ne m'a pas donné d'explication concrète lors de la rupture c'est pas maintenant qu'il va le faire je le connais. Je décide de lui tourner une vidéo toute simple, pas de ton négatif, pas de pleurs, même des sourires! Une voix émue simplement, pour faire le constat de notre histoire, relever ses qualités et ce qu'il a fait de bon dans notre relation, en fait j'ai pour but de le calmer pour quand je rentrerai à l'appart, je le connais il va stresser comme un dég de se retrouver face à moi et va me provoquer et m'en mettre plein la figure du coup, et ça je veux pas. Il me demande quand je rentre, je lui réponds "demain soir" il me dit qu'il doit partir demain soir chez ses parents, je lui assure que je serai là avant son départ. Le lundi matin il me case une heure pour notre rdv, bien sur coco maintenant j'ai une heure dite pour rentrer dans mon propre appart? Je le lui fais remarquer (non pas méchamment) il me répond un vague "autant pour moi". A 18h30 je m'apprêtais à rentrer et il m'envoie "Perso je suis prêt" c'est qu'il a hâte le bougre! Je ne réponds pas et rentre simplement. De là, je remarque qu'en fait non il n'était pas tout à fait prêt il lui reste encore quelques cartons à emballer et placer dans sa voiture. Il me demande de quoi je voulais parler (car j'avais accepté une discussion mais pour lui a priori ça voulait dire: JE VEUX TE PARLER) je lui dis que l'essentiel est dit dans la vidéo. Il est surprit, quelle vidéo? Il branche donc son ordinateur et la regarde devant moi, crotte moi qui voulais qu'il la regarde seul je me sens bien mal. Finalement ça a l'effet escompté vu qu'il se calme, me calme plus posément, me dit que c'est très touchant et très beau. Il me dit aussi que notre histoire il ne l'oubliera jamais, qu'on a vécu une superbe expérience, que je suis quelqu'un de bien. Oui merci ça je sais

Vient le moment des au revoirs, il me prend dans ses bras, m'embrasse le front, la joue, j'aurais juré qu'il avait envie de m'embrasser tout court en fait. Les larmes coulent sur mes joues, pas de sanglot, juste de l'émotion que je ne peux retenir. Je reste interdite et ne dis rien. Au moment où il s'installe dans sa voiture, je me lève, il s'arrête comme l'impression que je vais faire un pas vers lui, lui dire un dernier truc, mais non je passe simplement à côté et m'en vais. Le soir, il m'envoie un sms pour me demander de nouveau le lien de ma vidéo, prétextant que ses mails se sont miraculeusement tous effacés (mon c*l oui) je réponds simplement "Oh" il me répond rapidement "ah non c'est bon. Je l'ai regardé encore c'est très beau et très touchant" oui merci tu me l'as déjà dit. Je déballe mes affaires du week end et me rends compte qu'il manque plein d'affaires à moi dans la salle de bains. Je me fais l'inventaire dans ma tête de ce qui devait se trouver dans cette armoire, et d'un coup "oh! les préservatifs ne sont plus là!" je lui envoie donc un sms "tu pourras me dire où tu as mis mon maquillage et le reste? Bien joué d'avoir pris les préservatifs, tu en auras besoin" oui, je suis un peu provocatrice. Il me répond qu'il n'avait pas conscience de l'existence des préservatifs et que mes affaires sont rangées ailleurs, puis finalement continue en disant que y'avait trois boites de capote alors que dans sa tete on en avait qu'une. Malin va, oui beh non désolée les trois boites sont bien à nous, moi perso je n'en achète pas pour mon plaisir personnel et puis si jamais j'avais dans l'idée de te tromper j'aurais caché les capotes dans mon sac je pense, pas neuneu au point de les mettre dans notre tiroir. Bref, je lui réponds que les préservatifs sont les notres, je ne vois pas d'autre explication. Il me répond qu'en plus il en manquait. Ha! je réponds que pour quelqu'un qui ne savait pas jusqu'à l'existence de ces préservatifs ici finalement il était bien informé. Après questionnement vers ma mère elle me répond: a tous les coups il les a jeté/pris pour pas que toi tu les utilises. Vu sa jalousie maladive ça ne m'étonne pas. La discussion s'arrête sur lui qui me rappelle que je dois faire ma lettre de résiliation de bail. Je passe la soirée chez un ami, pour me vider la tête.
Le lendemain je fais ma lettre, envoie le recommandé, et comme je m'y attendais dès qu'il a un moment à lui au travail il me demande où ça en est. Ne souhaitant pas me confronter à lui pour lui donner les photocopies de ma lettre de résiliation (OUI il m'a demandé une preuve oui, de peur que je la fasse pas. En vérité je crois que c'est une idée de ses parents, ça ne m'étonnerait vraiment pas et c'est très plausible vu la relation qu'il a avec eux et leur caractère) je les lui laisse dans la boite aux lettres. Nous sommes donc mardi matin. Le reste de la semaine se passe avec des sms purement administratifs, vis à vis de l'appart, rien d'autre. Je réponds toujours brièvement et de façon concise quand je le juge important.
Finalement le jeudi soir je craque un peu, lui envoie un simple "Bonne nuit" sans réponse, le vendredi soir de même, je lui envoie une anecdote sur quelque chose que je viens de voir, sans réponse. Jusque là je ne me débine pas en lui disant des "TU ME MANQUES REVIENS" non non je craque peut être un peu mais faut pas déconner... Quoique. Le samedi après midi ma mère m'emmène chez le coiffeur où je raffraichis un peu tout ça. Le soir, je suis comme une grosse larve chez moi, plus légume tu meurs, je lui envoie un mail où je décide de faire mon mea culpa. C'est ce que j'ai toujours fait pour m'aider à avancer moi ! Je reconnais dans mon mail où moi j'ai fauté, où sont mes erreurs, et je reconnais a quel point il a grandi et changé en bien dans notre relation, que jamais auparavant il n'avait fait ce qu'il a fait pour quelqu'un, à part pour moi. Là encore, des mots un peu mielleux et plein d'émotion mais pas de "je suis une m*rde sans toi je t'en supplie reviens j'en peux plus" ah non non! Je termine par le fait que je cherche une famille pour les chats, vu que je ne pourrais les garder si je retourne chez mes parents. Pas de réponse.
Le lendemain matin il m'envoie un sms comme quoi il a fait le changement de situation familial à la caf, que je n'ai plus qu'à me mettre seule sur les autres factures au cas où il y aurait un controle. Je lui réponds tout de même, inquiète, que j'espère qu'il sait que pendant les trois mois de préavis il est toujours officiellement locataire et doit toujours payer sa part de loyer. Il me répond que oui il le sait, mais que comme ça j'aurais plus de caf en étant seule sur le dossier. Ah, bon, je ne réponds pas.
Le lendemain soir, hier soir donc, il m'envoie un sms pour me dire qu'il emménage dans son nouvel appart en septembre (histoire de me prévenir qu'il récupèrera certains de ses meubles laissés à l'appart, dont le lit, en avance) mais qu'il y aura un problème pour les factures il faudra qu'on en parle. Je ne réponds pas, ok très bien si tu veux en parler tu me recontacteras pour me dire quand et où hein, j'te fais confiance. Il m'envoie un autre sms 2h plus tard pour me dire qu'au sujet de mes messages, il les a tous lu, ça l'a touché au plus profond de son coeur, il en a même pleuré. Mais qu'il ne peut pas étaler ce qu'il ressent maintenant, c'est trop tôt pour lui, qu'un jour peut être il le pourra, mais qu'il ne m'ignore pas il veut juste prendre de la distance. Je ne réponds toujours pas: on a dit SR, sauf pour les urgences administratives. C'en est pas une, et j'me suis assez dégonflée la semaine dernière avec mes messages à la c*n.
Voilà pour le moment tout ce qui s'est passé
