- 05 juil. 2014, 13:53
#910710
Salut tout le monde ! J'ai décidé de venir raconter mon histoire parce que je n'ai pas vraiment les idées claires à propos de tout ça ! Je m'excuse du pavé que ça va être ><
Alors voilà, il y a deux ans et demi, je me met en couple avec un garçon. Je suis son premier amour et il est le mien. On a eu l'occasion de faire beaucoup de premières fois ensemble, on était très fusionnels, même peut-être un peu trop. On habitait pas dans la même ville à cause de nos études, mais il venait un week end sur deux et on passait tout notre temps ensemble, on était très très amoureux... Bref, tout va bien pendant un an, un an et demi.
Après ces un an et demi, on retombe un peu sur terre : La distance est dure à supporter ( on se voyait moins la deuxième année à cause de ses études ), j'ai des problèmes de familles, lui passe des concours et me demande énormément d'attention ( ce qui ne me dérangeait pas, mais qui était assez éprouvant quand même ), on se dispute pour des bêtises, BREF, le côté " distance" râme un peu, mais dès qu'on se voit, c'est le grand amour.
Je rajoute aussi quand même que n'ayant aucune confiance en moi, j'avais quand même beaucoup besoin d'être rassurée. Si c'était à refaire aujourd'hui, j'essayerai justement d'alléger ce besoin, parce que je pense que je l'ai étouffé.
Mais j'insiste sur le fait que justement, c'était vraiment le grand amour quand on se voyait ! On passait de bons moments, on riait beaucoup, on était super complices, on pouvait pas se quitter.
Il y avait quand même des moments très durs pour moi : sa mère totalement déficiente qui l'influençait beaucoup, ses frères qui ne m'aimaient pas car la mère ne m'aimait pas, ... Je voyais déjà pointer les futurs problème de belle-famille ( Oui non parce que sa famille m'a carrément insulté, insulté ma famille à plusieurs reprises, et lui ne faisait absolument rien pour me défendre ! )
On en vient donc à cette année. Lui part à Lille pour ses études, moi, toujours dans mes problèmes de famille, j'entre dans l'année du baccalauréat. Cette année, il est encore moins présent que l'année d'avant. Il ne me soutient pas du tout, me reproche de l'étouffer quand j'ai besoin de lui, bref ( bis ), l'ambiance est vraiment bancale. Je vais vous dire, je me suis sentie très très seule dans cette relation toute cette année. Vous savez, ce genre de solitude qui en plus de rendre triste énerve, parce que c'est injuste. Du coup, quand je le vois, je me sens mal à l'aise, j'ai l'impression de ne plus le reconnaitre. Il y avait un si grand écart entre les moments " à distance" et les moments où il était avec moi à Paris. Je ne me sens plus du tout à l'aise, j'en viens à douter de mes sentiments, bref ( ter ), je n'arrive pas à passer au dessus du fait que je me sente tout à fait seule 80% du temps de la relation.
Avec mes problèmes familiaux, voire, de santé, et son absence, j'ai passé mes deux dernières années à grandir de mon côté, ce qui a fait que nous n'étions plus du tout sur la même longueur d'onde. Ainsi est faite la vie, mais du coup, ça me faisait quand même très mal de voir qu'on était devenu totalement différents et que parfois, il m'exaspérait au plus au point. Il y a un mois, j'ai carrément fait un "rejet", je pouvais plus le voir. Je me suis dit que si j'en arrivais à ce point, c'est qu'il fallait que ça s'arrête. Donc le 25 mai je l'ai quitté. C'était déchirant... Mais honte à moi, la "quitteuse", je n'ai absolument pas supporté de le perdre (oui je suis contradictoire, et je m'en veux de cet égoisme... ), ainsi, j'ai réussis à le convaincre de nous donner une dernière chance.
Je suis alors super heureuse, pleine d'idées pour que ça se passe mieux, pleine de projet que je lui propose. On en vient alors aux trois semaines de révisions de bac et de bac. Pendant la semaine précédent l'examen, je me choppe plein de conneries de santé ( crises d'eczema à en appeler sos médecin, mauvais réaction à un médicament qui me fait passer trois jours dans le cirage), de logistique ( Déménagement. Oui, j'ai aussi déménagé pendant cette période, lol ), mais aussi scolaires ( ben oui le baaaaac ). Il disparait totalement. M'envoie vaguement un message de temps en temps, froid et distant. En pleine semaine de bac il me quitte en me disant que je lui en demande déjà trop. BIM, prends toi ça Tangerine.
En colère, fatiguée, totalement à bout, je ressens pas tout de suite les effets tristes de la rupture. Je le vois donc en face à face une semaine après. Il pleure pendant tout le rendez vous en me disant que ça le détruit qu'on soit obligés de se quitter pour être heureux, que malgré ça je lui manque, qu'il repense à ces deux ans passés ensemble... Moi, je reste forte, je ne pleure pas, je maintiens que sa décision était la bonne ( même si au fond, j'aurais tellement aimé qu'il nous laisse notre dernière chance... ), je reste fière. On s'est revu une fois ensuite, même rengaine, il pleure. Depuis, Silence radio.
Il m'a envoyé un message hier pour me féliciter pour le bac, j'ai répondu plus tard de manière cordiale mais distante.
BREF ( quater ), je lui montre que je suis tout à fait pour sa décision, mais ce n'est pas le cas, vous vous en doutez. Il me manque, et je n'arrive pas à renoncer à lui parce que je suis sure qu'avec la chance qu'on s'était donnée, on aurait pu vraiment améliorer notre relation. Je suis un peu perdue... Je sais que notre relation ne me convenait pas, mais je l'aime, et j'avais vraiment confiance en nous pour que ça aille mieux. Je sais, je suis jeune et " il y a pleins d'autre poissons dans la mer", mais il n'a pas laissé de chance à notre couple, je veux dire, j'étais dans une période stressante et il a décidé de fuir ! Je l'aime, il m'aime et je suis sure qu'on aurait pu vraiment faire quelque chose de génial ensemble si on s'était donné cette chance...
Si vous voulez, je suis dans cet état sympathique du " je ne sais pas quoi faire. Enfin, je ne sais pas ce que je veux. Est-ce que je dois laisser tomber malgré le fait que je l'aime, et tout ce qu'on a vécu, et suivre ma raison ? Ou lutter en écoutant mes sentiments ?". Puis j'arrive pas à sentir que c'est terminé, j'ai l'impression que, tout naturellement, je vais le voir la semaine prochaine, comme d'habitude... Et je passe par ces moments d" blues" régulièrement
S'il vous plait, vous avez des avis, témoignages ou conseils qui pourraient m'éclairer?
Alors voilà, il y a deux ans et demi, je me met en couple avec un garçon. Je suis son premier amour et il est le mien. On a eu l'occasion de faire beaucoup de premières fois ensemble, on était très fusionnels, même peut-être un peu trop. On habitait pas dans la même ville à cause de nos études, mais il venait un week end sur deux et on passait tout notre temps ensemble, on était très très amoureux... Bref, tout va bien pendant un an, un an et demi.
Après ces un an et demi, on retombe un peu sur terre : La distance est dure à supporter ( on se voyait moins la deuxième année à cause de ses études ), j'ai des problèmes de familles, lui passe des concours et me demande énormément d'attention ( ce qui ne me dérangeait pas, mais qui était assez éprouvant quand même ), on se dispute pour des bêtises, BREF, le côté " distance" râme un peu, mais dès qu'on se voit, c'est le grand amour.
Je rajoute aussi quand même que n'ayant aucune confiance en moi, j'avais quand même beaucoup besoin d'être rassurée. Si c'était à refaire aujourd'hui, j'essayerai justement d'alléger ce besoin, parce que je pense que je l'ai étouffé.
Mais j'insiste sur le fait que justement, c'était vraiment le grand amour quand on se voyait ! On passait de bons moments, on riait beaucoup, on était super complices, on pouvait pas se quitter.
Il y avait quand même des moments très durs pour moi : sa mère totalement déficiente qui l'influençait beaucoup, ses frères qui ne m'aimaient pas car la mère ne m'aimait pas, ... Je voyais déjà pointer les futurs problème de belle-famille ( Oui non parce que sa famille m'a carrément insulté, insulté ma famille à plusieurs reprises, et lui ne faisait absolument rien pour me défendre ! )
On en vient donc à cette année. Lui part à Lille pour ses études, moi, toujours dans mes problèmes de famille, j'entre dans l'année du baccalauréat. Cette année, il est encore moins présent que l'année d'avant. Il ne me soutient pas du tout, me reproche de l'étouffer quand j'ai besoin de lui, bref ( bis ), l'ambiance est vraiment bancale. Je vais vous dire, je me suis sentie très très seule dans cette relation toute cette année. Vous savez, ce genre de solitude qui en plus de rendre triste énerve, parce que c'est injuste. Du coup, quand je le vois, je me sens mal à l'aise, j'ai l'impression de ne plus le reconnaitre. Il y avait un si grand écart entre les moments " à distance" et les moments où il était avec moi à Paris. Je ne me sens plus du tout à l'aise, j'en viens à douter de mes sentiments, bref ( ter ), je n'arrive pas à passer au dessus du fait que je me sente tout à fait seule 80% du temps de la relation.
Avec mes problèmes familiaux, voire, de santé, et son absence, j'ai passé mes deux dernières années à grandir de mon côté, ce qui a fait que nous n'étions plus du tout sur la même longueur d'onde. Ainsi est faite la vie, mais du coup, ça me faisait quand même très mal de voir qu'on était devenu totalement différents et que parfois, il m'exaspérait au plus au point. Il y a un mois, j'ai carrément fait un "rejet", je pouvais plus le voir. Je me suis dit que si j'en arrivais à ce point, c'est qu'il fallait que ça s'arrête. Donc le 25 mai je l'ai quitté. C'était déchirant... Mais honte à moi, la "quitteuse", je n'ai absolument pas supporté de le perdre (oui je suis contradictoire, et je m'en veux de cet égoisme... ), ainsi, j'ai réussis à le convaincre de nous donner une dernière chance.
Je suis alors super heureuse, pleine d'idées pour que ça se passe mieux, pleine de projet que je lui propose. On en vient alors aux trois semaines de révisions de bac et de bac. Pendant la semaine précédent l'examen, je me choppe plein de conneries de santé ( crises d'eczema à en appeler sos médecin, mauvais réaction à un médicament qui me fait passer trois jours dans le cirage), de logistique ( Déménagement. Oui, j'ai aussi déménagé pendant cette période, lol ), mais aussi scolaires ( ben oui le baaaaac ). Il disparait totalement. M'envoie vaguement un message de temps en temps, froid et distant. En pleine semaine de bac il me quitte en me disant que je lui en demande déjà trop. BIM, prends toi ça Tangerine.
En colère, fatiguée, totalement à bout, je ressens pas tout de suite les effets tristes de la rupture. Je le vois donc en face à face une semaine après. Il pleure pendant tout le rendez vous en me disant que ça le détruit qu'on soit obligés de se quitter pour être heureux, que malgré ça je lui manque, qu'il repense à ces deux ans passés ensemble... Moi, je reste forte, je ne pleure pas, je maintiens que sa décision était la bonne ( même si au fond, j'aurais tellement aimé qu'il nous laisse notre dernière chance... ), je reste fière. On s'est revu une fois ensuite, même rengaine, il pleure. Depuis, Silence radio.
Il m'a envoyé un message hier pour me féliciter pour le bac, j'ai répondu plus tard de manière cordiale mais distante.
BREF ( quater ), je lui montre que je suis tout à fait pour sa décision, mais ce n'est pas le cas, vous vous en doutez. Il me manque, et je n'arrive pas à renoncer à lui parce que je suis sure qu'avec la chance qu'on s'était donnée, on aurait pu vraiment améliorer notre relation. Je suis un peu perdue... Je sais que notre relation ne me convenait pas, mais je l'aime, et j'avais vraiment confiance en nous pour que ça aille mieux. Je sais, je suis jeune et " il y a pleins d'autre poissons dans la mer", mais il n'a pas laissé de chance à notre couple, je veux dire, j'étais dans une période stressante et il a décidé de fuir ! Je l'aime, il m'aime et je suis sure qu'on aurait pu vraiment faire quelque chose de génial ensemble si on s'était donné cette chance...
Si vous voulez, je suis dans cet état sympathique du " je ne sais pas quoi faire. Enfin, je ne sais pas ce que je veux. Est-ce que je dois laisser tomber malgré le fait que je l'aime, et tout ce qu'on a vécu, et suivre ma raison ? Ou lutter en écoutant mes sentiments ?". Puis j'arrive pas à sentir que c'est terminé, j'ai l'impression que, tout naturellement, je vais le voir la semaine prochaine, comme d'habitude... Et je passe par ces moments d" blues" régulièrement
S'il vous plait, vous avez des avis, témoignages ou conseils qui pourraient m'éclairer?
