- 05 juin 2014, 11:24
#898754
Bonjour,
Je me retrouve aujourd'hui sur ce forum car je viens de me faire larguée il y a 5 jours comme une mer** après 2 ans de relation.
J'ai lu presque tous les articles du site concernant les chagrins d'amour et comment (essayer) de surmonter la rupture.
Je suis entourée (par mes parents, mes amis qui ont répondu présents) mais j'ai néanmoins le besoin d'avoir l'avis de personnes neutres...
Il faut déjà savoir que dès le départ, mon ex et moi n'avions pas beaucoup de points communs : divergences politiques, activités sportives (il va être plus dans le tennis, le foot et moi le fitness), relations (je n'ai rien à voir avec ses amis), milieu social (à mes yeux c'est un bourge).
On s'est fait largué le même jour, et le lendemain nous nous mettions ensemble. Il me rassurait, j'étais bien dans ses bras. La première année : que du bonheur !
Puis il a commencé ses études supérieures et je pense que ça a été l'élément déclencheur... Sans dire qu'il m'a trompé (lors de la rupture il m'a juré m'avoir toujours été fidèle), mais je pense qu'il a commencé à réaliser que c'est plus facile de s'amuser en célibataire lors des soirées !
De plus en plus de petites disputes, en décembre, on décide de faire un break car il ne supporte plus mon pessimisme : on se remet ensemble, je positive, je fais tous les efforts possibles inimaginables. Mars-mais : activité politique du pays assez forte, engueulades sur quelques sujets principaux, impossibilité de sa part de faire la part des choses : il préférait me dire que j'étais conne et ne savais pas comprendre un programme politique plutôt que d'écouter et d'essayer de voir la véracité de mes arguments. Borné, intolérant, fanatique.
Les élections européennes auront eu raison de notre couple : je lui demande un peu plus de respect et de preuves d'amour : une semaine après (nous ne nous voyions que les week-ends), semaine durant laquelle nous avons été très froids l'un envers l'autre, il se pointe et me dit "Je ne vais pas tourner autour du pot : je t'aime, t'es la femme de ma vie, ce qu'il m'est arrivé de mieux, mais j'ai besoin de me recentrer sur moi même, ma famille, mes amis".
Il a cru que de me dire ça allait m'aider à mieux vivre la rupture ? je suis au fond du trou depuis une semaine, un vide dans mon coeur et dans ma vie que je sais ne pas devoir combler par un autre pour prendre le temps de me reconstruire.
Suite à la rupture, beaucoup de personnes de l'entourage de ma mère ont déliés leur langue : lui et sa famille sont des gens intolérants, fanatiques, intéressé. Ils se servent des gens et quand ils ont pris ce qu'il avaient besoin, ils le jettent !
J'ai l'impression d'avoir passé 2 années avec une personne qui a joué un rôle de composition. Que j'ai été la pauvre conne sincère et qu'il s'est joué de moi !
Je sais que s'il ne m'avait pas quittée là il m'aurait forcément faite souffrir. C'est surement la meilleure chose qui pouvait m'arriver donc... Mais ce vide me ronge, comme l'eau de mer ronge les rochers.
Je sais que je suis jeune (bientôt 20 ans), mais ça n'enlève rien à la douleur...
Merci d'avance pour vos réponses et soutiens.
Doliwen
Je me retrouve aujourd'hui sur ce forum car je viens de me faire larguée il y a 5 jours comme une mer** après 2 ans de relation.
J'ai lu presque tous les articles du site concernant les chagrins d'amour et comment (essayer) de surmonter la rupture.
Je suis entourée (par mes parents, mes amis qui ont répondu présents) mais j'ai néanmoins le besoin d'avoir l'avis de personnes neutres...
Il faut déjà savoir que dès le départ, mon ex et moi n'avions pas beaucoup de points communs : divergences politiques, activités sportives (il va être plus dans le tennis, le foot et moi le fitness), relations (je n'ai rien à voir avec ses amis), milieu social (à mes yeux c'est un bourge).
On s'est fait largué le même jour, et le lendemain nous nous mettions ensemble. Il me rassurait, j'étais bien dans ses bras. La première année : que du bonheur !
Puis il a commencé ses études supérieures et je pense que ça a été l'élément déclencheur... Sans dire qu'il m'a trompé (lors de la rupture il m'a juré m'avoir toujours été fidèle), mais je pense qu'il a commencé à réaliser que c'est plus facile de s'amuser en célibataire lors des soirées !
De plus en plus de petites disputes, en décembre, on décide de faire un break car il ne supporte plus mon pessimisme : on se remet ensemble, je positive, je fais tous les efforts possibles inimaginables. Mars-mais : activité politique du pays assez forte, engueulades sur quelques sujets principaux, impossibilité de sa part de faire la part des choses : il préférait me dire que j'étais conne et ne savais pas comprendre un programme politique plutôt que d'écouter et d'essayer de voir la véracité de mes arguments. Borné, intolérant, fanatique.
Les élections européennes auront eu raison de notre couple : je lui demande un peu plus de respect et de preuves d'amour : une semaine après (nous ne nous voyions que les week-ends), semaine durant laquelle nous avons été très froids l'un envers l'autre, il se pointe et me dit "Je ne vais pas tourner autour du pot : je t'aime, t'es la femme de ma vie, ce qu'il m'est arrivé de mieux, mais j'ai besoin de me recentrer sur moi même, ma famille, mes amis".
Il a cru que de me dire ça allait m'aider à mieux vivre la rupture ? je suis au fond du trou depuis une semaine, un vide dans mon coeur et dans ma vie que je sais ne pas devoir combler par un autre pour prendre le temps de me reconstruire.
Suite à la rupture, beaucoup de personnes de l'entourage de ma mère ont déliés leur langue : lui et sa famille sont des gens intolérants, fanatiques, intéressé. Ils se servent des gens et quand ils ont pris ce qu'il avaient besoin, ils le jettent !
J'ai l'impression d'avoir passé 2 années avec une personne qui a joué un rôle de composition. Que j'ai été la pauvre conne sincère et qu'il s'est joué de moi !
Je sais que s'il ne m'avait pas quittée là il m'aurait forcément faite souffrir. C'est surement la meilleure chose qui pouvait m'arriver donc... Mais ce vide me ronge, comme l'eau de mer ronge les rochers.
Je sais que je suis jeune (bientôt 20 ans), mais ça n'enlève rien à la douleur...
Merci d'avance pour vos réponses et soutiens.
Doliwen