- 24 mai 2014, 21:53
#893700
Bon alors c'est ma 2ème participation au forum. On dit "Jamais deux sans trois". Si je pouvais éviter le trois, ce serait sympa.
J'ai rencontré mon ex début 2010. Il m'a largué au bout d'un mois parce que soit disant il n'était pas fait pour s'engager avec quelqu'un. On avait réservé nos vacances et on est quand même parti ensemble. Pendant ce voyage, il m'a demandé pour qu'on se remette ensemble. Il a rapidement décidé qu'on devait acheter une maison, il m'a offert une jolie bague de fiançailles... Tout allait bien dans le meilleur des mondes. Seul hic, c'était pas le grand amour avec ses parents mais j'ai toujours fait preuve de respect à leur égard.
Je pense que ça a bugué début 2012, il a fait une espèce de burn-out. Selon moi, c'est à ce moment-là que ses problèmes de santé sont apparus et qu'il a commencé à faire une sorte de déprime. Evidemment, il n'a pas chercher à se soigner mais je n'ai rien remarqué jusqu'à ce que son comportement envers moi se dégrade au mois d'aout. Il disait qu'il n'y avait rien jusqu'à ce que je écrive une lettre, il a dit qu'il devait réfléchir, je suis retournée quelques jours chez ma mère, il a décidé que c'était fini.
Le monde me tombait sur la tête, je perdais tout : mon amour, ma maison....
D'une fois à l'autre où on se voyait il pouvait être abominable, méchant, triste.... Il ne voulait pas qu'on se perde de vue...
J'ai appris qu'il était retournée avec son ex et qu'elle allait racheter la maison avec lui.... via une lettre du notaire.
A ce moment-là, j'ai vraiment pensé à en finir. Heureusement mes ami(e)s, ma famille et mes collègues étaient là pour me soutenir.
J'ai déménagé... 3 semaines après, il me demandait qu'on se remette ensemble mais en habitant chacun chez soi. J'ai accepté tout de suite. J'aurai dû le faire un peu ramper mais j'avais une rivale à faire dégager.
Donc j'ai accepté de vivre séparément, de le voir une fois par semaine parce qu'il avait besoin de temps pour lui, de ne pas savoir ce qu'il faisait de ses soirées... Je l'aimais tellement que j'avais décidé que je devais lui faire confiance.
Ca se passait pas trop mal. Il avait décidé d'aller consulter un médecin, on lui a diagnostiqué de gros problèmes de thyroïde, il était souvent fatigué et ça entraînait pas mal d'autres problèmes mais je prenais soin de lui, je me plaignais jamais quand on passait tout un week-end enfermé devant la télé au lieu de profiter de faire des choses à deux.
Fin 2013, il a eu sa crise de tout changer dans sa maison, nouveau canapé (très grand), très grande télé, batterie, mac avec écran géant. Un mélange de matérialisme et de caprice d'enfant gâté...
Je lui demandais souvent si après tout ça, il allait changer de copine et il répondait qu'il ne se serait pas remis avec moi si c'était pour me quitter de nouveau.
En 2 jours, ça a clashé. Le mercredi, il m'envoyait des sms plein d'amour, le vendredi soir, j'allais le chercher à la gare et il m'annonçait qu'il ne savait plus où il en était, qu'avec ses problèmes de santé c'était pas une vie pour moi et que je devrais chercher quelqu'un de mieux que lui mais qu'il aimait passer du temps avec moi et qu'on resterait amis, qu'on partait toujours en vacances ensemble...
J'ai eu beau argumenter, rien à faire et il était furax parce que je pleurais. Je suis restée la nuit pcq il ne voulait pas que je rentre, que je pouvais avoir un accident... C'était horrible...
Le lendemain, je lui ai demandé si il voulait que ce soit moi qui lui dise que c'était fini, il a dit non. Je suis rentrée chez moi. Silence radio. On s'est revu 10 jours plus tard, il a recommencé à se plaindre, qu'il avait des problèmes et gnagnagna...
Là je lui ai claqué dans la tronche qu'il avait effectivement des problèmes, qu'il avait un comportement puéril et que ce n'était qu'un égoïste. Il l'a mal pris. Il y a que la vérité qui blesse. Mais en me ramenant de nouveau, il m'a dit qu'il tenait à moi...
Le lendemain, il m'a téléphoné, me disant qu'il avait réfléchi que c'était mieux pour moi qu'on ne se voit plus et qu'on annulait les vacances.
Je lui ai dit de ne plus me contacter et qu'il me ramène mes affaires. Il a dû encore mal le prendre.
Il a essayé de récupérer ma bague pour la revendre pour qu'il récupère une partie de son argent, j'ai refusé.
Quand il m'a ramené mes affaires, ces dernières paroles furent "Je n'ai pas ta mentalité"!
Depuis plus de nouvelles, je lui ai envoyé un mail (pas désespéré) en lui demandant comment il allait et pour lui dire que ça me manquait de passer du temps avec lui.
Il a répondu "La vie est parfois méchante"
Voilà, je ne sais pas pourquoi il m'a quitté. Il me manque mais je n'ai plus envie de reprendre une relation avec lui, plus envie qu'il préfère jouer à World of Warcraft plutôt que de passer du temps avec moi, plus envie d'entendre des paroles méchantes, plus envie de passer après ses potes, ses parents, ses collègues....
La vie sans lui me fait peur, je suis souvent nostalgique, je ne peux pas m'empêcher de l'espionner, je n'arrive pas à le détester...
Je me pose des questions à longueur de journée : pourquoi, comment, quel sera mon avenir sans lui....
Et puis je pense à cette petite phrase de ma collègue : " Tu es jeune (35 ans quand même), la vie te réserve de belles surprises"
J'ai rencontré mon ex début 2010. Il m'a largué au bout d'un mois parce que soit disant il n'était pas fait pour s'engager avec quelqu'un. On avait réservé nos vacances et on est quand même parti ensemble. Pendant ce voyage, il m'a demandé pour qu'on se remette ensemble. Il a rapidement décidé qu'on devait acheter une maison, il m'a offert une jolie bague de fiançailles... Tout allait bien dans le meilleur des mondes. Seul hic, c'était pas le grand amour avec ses parents mais j'ai toujours fait preuve de respect à leur égard.
Je pense que ça a bugué début 2012, il a fait une espèce de burn-out. Selon moi, c'est à ce moment-là que ses problèmes de santé sont apparus et qu'il a commencé à faire une sorte de déprime. Evidemment, il n'a pas chercher à se soigner mais je n'ai rien remarqué jusqu'à ce que son comportement envers moi se dégrade au mois d'aout. Il disait qu'il n'y avait rien jusqu'à ce que je écrive une lettre, il a dit qu'il devait réfléchir, je suis retournée quelques jours chez ma mère, il a décidé que c'était fini.
Le monde me tombait sur la tête, je perdais tout : mon amour, ma maison....
D'une fois à l'autre où on se voyait il pouvait être abominable, méchant, triste.... Il ne voulait pas qu'on se perde de vue...
J'ai appris qu'il était retournée avec son ex et qu'elle allait racheter la maison avec lui.... via une lettre du notaire.
A ce moment-là, j'ai vraiment pensé à en finir. Heureusement mes ami(e)s, ma famille et mes collègues étaient là pour me soutenir.
J'ai déménagé... 3 semaines après, il me demandait qu'on se remette ensemble mais en habitant chacun chez soi. J'ai accepté tout de suite. J'aurai dû le faire un peu ramper mais j'avais une rivale à faire dégager.
Donc j'ai accepté de vivre séparément, de le voir une fois par semaine parce qu'il avait besoin de temps pour lui, de ne pas savoir ce qu'il faisait de ses soirées... Je l'aimais tellement que j'avais décidé que je devais lui faire confiance.
Ca se passait pas trop mal. Il avait décidé d'aller consulter un médecin, on lui a diagnostiqué de gros problèmes de thyroïde, il était souvent fatigué et ça entraînait pas mal d'autres problèmes mais je prenais soin de lui, je me plaignais jamais quand on passait tout un week-end enfermé devant la télé au lieu de profiter de faire des choses à deux.
Fin 2013, il a eu sa crise de tout changer dans sa maison, nouveau canapé (très grand), très grande télé, batterie, mac avec écran géant. Un mélange de matérialisme et de caprice d'enfant gâté...
Je lui demandais souvent si après tout ça, il allait changer de copine et il répondait qu'il ne se serait pas remis avec moi si c'était pour me quitter de nouveau.
En 2 jours, ça a clashé. Le mercredi, il m'envoyait des sms plein d'amour, le vendredi soir, j'allais le chercher à la gare et il m'annonçait qu'il ne savait plus où il en était, qu'avec ses problèmes de santé c'était pas une vie pour moi et que je devrais chercher quelqu'un de mieux que lui mais qu'il aimait passer du temps avec moi et qu'on resterait amis, qu'on partait toujours en vacances ensemble...
J'ai eu beau argumenter, rien à faire et il était furax parce que je pleurais. Je suis restée la nuit pcq il ne voulait pas que je rentre, que je pouvais avoir un accident... C'était horrible...
Le lendemain, je lui ai demandé si il voulait que ce soit moi qui lui dise que c'était fini, il a dit non. Je suis rentrée chez moi. Silence radio. On s'est revu 10 jours plus tard, il a recommencé à se plaindre, qu'il avait des problèmes et gnagnagna...
Là je lui ai claqué dans la tronche qu'il avait effectivement des problèmes, qu'il avait un comportement puéril et que ce n'était qu'un égoïste. Il l'a mal pris. Il y a que la vérité qui blesse. Mais en me ramenant de nouveau, il m'a dit qu'il tenait à moi...
Le lendemain, il m'a téléphoné, me disant qu'il avait réfléchi que c'était mieux pour moi qu'on ne se voit plus et qu'on annulait les vacances.
Je lui ai dit de ne plus me contacter et qu'il me ramène mes affaires. Il a dû encore mal le prendre.
Il a essayé de récupérer ma bague pour la revendre pour qu'il récupère une partie de son argent, j'ai refusé.
Quand il m'a ramené mes affaires, ces dernières paroles furent "Je n'ai pas ta mentalité"!
Depuis plus de nouvelles, je lui ai envoyé un mail (pas désespéré) en lui demandant comment il allait et pour lui dire que ça me manquait de passer du temps avec lui.
Il a répondu "La vie est parfois méchante"
Voilà, je ne sais pas pourquoi il m'a quitté. Il me manque mais je n'ai plus envie de reprendre une relation avec lui, plus envie qu'il préfère jouer à World of Warcraft plutôt que de passer du temps avec moi, plus envie d'entendre des paroles méchantes, plus envie de passer après ses potes, ses parents, ses collègues....
La vie sans lui me fait peur, je suis souvent nostalgique, je ne peux pas m'empêcher de l'espionner, je n'arrive pas à le détester...
Je me pose des questions à longueur de journée : pourquoi, comment, quel sera mon avenir sans lui....
Et puis je pense à cette petite phrase de ma collègue : " Tu es jeune (35 ans quand même), la vie te réserve de belles surprises"