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Une autre forme de Happy end...
#880617
Mon histoire, en bref...elle ressemble surement à beaucoup d'autres.
Nous tombons amoureux alors que nous sommes tous les deux en couple avec enfants.
Il décide le premier, au bout d'un mois, de se séparer de sa femme.
Un peu plus tard, je prends la même décision.
Une histoire d'un peu plus d'une année, qu'il arrête un beau matin d'été, par un simple mail.
Deux jours avant, on faisait l'amour, il me parlait d'amour et de nos vacances le mois d'après.
Quelques semaines avant, il m'avait présenté à ses amis et à ses enfants.
Depuis il a rencontré quelqu'un et m'a souvent recontactée pour me proposer son amitié.
Que j'ai refusé. Je l'ai aimé. Pleinement, intensément. Après avoir connu son amour, son amitié ambigue me ferait juste souffrir.

Après cette rupture dont la brutalité et l'imprévisibilité m'ont dévastée, j'ai accepté la fin de cette histoire et j'ai retrouvé une forme de sérénité.
Du moins, c'est ce que je croyais avant la semaine dernière.
A l'occasion d'une randonnée dans le désert, j'ai eu un matin l'envie de ne plus suivre le groupe et de partir dans la direction opposée, seule, pour en finir.
J'étais traversée par la souffrance de penser que je n'étais plus essentielle pour personne. Que je n'étais plus aimée.
Et je me suis dit à quoi bon continuer ? Puisque j'ai déjà connu le meilleur de la vie, tous les bonheurs qu'elle peut offrir, autant arrêter là.
L'instinct de vie a été le plus fort, je suis revenue vers le groupe, et j'ai simplement pleuré en marchant.

Comment est-ce qu'on s'habitue à vivre sans amour, sans calins, sans tendresse, sans affection d'un homme qu'on aime et qui nous aime ?
Modifié en dernier par Lalibela le 08 mai 2014, 22:09, modifié 1 fois.
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#884191
Bonsoir oui c très dur de vivre sans amour, sans câlin sans attention de l autre!!! De toute façon nous ne sommes pas fait pour vivre sans amour! Moi comme toi ça fais 5 mois que je suis séparée et ça me manque beaucoup se sont ces câlins, son amour qui me manque c lui qui me manque comme toi je pense chaque jour a en finir avec la vie mais je me dis qu il y a mes enfants et que la vie m érite d être vécu malgré tout et je peux te dire que je souffre a chaque seconde de ma vie !!! Il me contacte tous les jours et cela me fais souffrir mais g besoin de l entendre mais il va falloir que tout s arrête rapidement car c très difficile de vivre avec ce manque de cette personne et tout le reste . Il faut se dire qu un jour un autre homme nous donnera autand et peut être mieux en tout cas je l espère même si je ne suis pas prête a retrouver l amour !
#886178
On ne s'habitue pas vraiment.. La meilleure solution généralement c'est de retrouver l'amour de quelqu'un d'autre ! L'être humain n'est pas fait pour vivre sans amour. Tu n'as pas connu tout les bonheurs de la vie comme tu dis, l'amour peut arriver n'importe quand et à n'importe quel age. J'ai eu aussi ce genre de pensées par rapport à mon ex, genre maintenant que j'ai connu quelque chose d'aussi fort comment je vais faire? Je ne sais toujours pas parfois, mais je suis sure d'une chose, c'est que tant que notre vie n'est pas finie, on peut toujours revivre des choses aussi belles ou encore plus belles.
Il arrive des moments dans la vie, comme dans après une rupture, où on n'a plus l'amour d'un homme à ses cotés, et c'est très difficile. Il faut alors se tourner vers les autres personnes qui nous aime, et il y en a (Tes enfants par exemple). C'est une autre forme d'amour, mais toute aussi belle. Bon courage
#886263
Merci pour vos réponse.
Ces jours ci, ca va un peu mieux, j'espère que la crise est passée.
J'ai cru à force de lire ces livres qui disent qu'il faut s'aimer soi même (ce qui est vrai, la n'est pas la question) que l'on pouvait être pleinement heureuse sans être aimée d'amour.
J'aimais bien cette idée et j'ai cru un instant que j'en étais arrivée là.
Je me suis dit à un moment du processus de deuil, que je pourrai être toujours heureuse sans un homme dans ma vie...jusqu'à ce moment de blues, la vision d'amoureux qui se tiennent par la main, de couples tendres et complices, le souvenir des hommes qui m'ont aimée...me fassent douter de la possibilité de pouvoir me passer d'amour tout le reste de ma vie...
#886275
Dans les choses qui m'ont fait du bien ces jours ci, ce que m'a dit une psy.

Sur l'explication de son comportement : elle estime qu'il souffre d'un déséquilibre affectif qui n'a rien à voir avec moi et qui explique sa capacité à rompre aussi brutalement une histoire.

Sur le sens qu'elle donne à cette histoire, sur un plan psy : elle ne serait pas arrivée par hasard dans ma vie mais à un moment où je voulais régler, soigner une blessure du passé ravivée par cette histoire.

Ses mots m'ont fait du bien...je veux travailler sur moi pour guérir ces blessures et je m'en veux déjà un peu moins de l'avoir autant aimé et de ne pas avoir su arrêter plus tôt cette histoire.
#886287
Bonsoir lalibela je pense que tu as raison en disant que d avoir aimé si fort cet homme c du a une blessure du passé ma psy me la dis aussi car moi je me dis tjr que l homme que j ai aimé si fort n est pas rentré dans ma vie par hazard et surtout a un moment difficile de ma vie. Maintenant il m a tellement apporté en amour que je me dis sans lui je suis plus rien ! C faux mais j arrive pas a comprendre pourtant tout a été clair entre nous . C moi qui refuse la réalité pour moi il été indispensable a mon bonheur . J espère de tout cœur pouvoir un jour passer a autre chose car je souffre énormément de cette rupture et le pire c que il y a tjr du contact entre nous . J y crois je vais y arriver !!!
#886320
Le contact, ca n'aide pas. Tant qu'il y en a eu entre nous, il y avait une partie de moi qui esperait.
Alors je lui ai demandé à plusieurs reprises d'arrêter en lui expliquant quel mal ça me faisait de rester en lien avec lui.
Il n'a pas respecté ma demande et revenait toujours, par mail, par sms, par tel.
Maintenant je ne réponds plus. J'y arrive. Tu vas y arriver surement toi aussi un jour.
Il a compris je pense et me laisse me reconstruire en paix.

Aujourd'hui, après toute cette souffrance, je finis par me dire que cette période que je traverse est une étape de croissance. Que j'ai appris sur moi, que je me suis découverte des ressources que je n'imaginais pas. Même si le chemin n'est pas fini.

Sandrine, je te souhaite plein de force pour ton chemin à toi aussi. Si tu es accompagnée par une psy, c'est bien.
#886325
Moi aussi, je me suis dit que je ne pouvais pas abandonner mes enfants. Qu'ils avaient encore besoin de moi, de mon amour pour eux pour grandir.

Ma décision d'avoir des enfants était un acte de foi en la vie, par dessus tout.
Je me souviens de cette époque.
Je ne crois pas en une vie après la mort, je ne crois pas en Dieu.
Je me disais que la vie n'avait aucun sens particulier, que la mort y mettrait un terme, qu'elle pouvait être douloureuse, injuste, cruelle parfois, mais qu'elle méritait d'être vécue. Malgré tout.
C'est forte de cette croyance que j'ai eu envie de donner la vie.
Je n'ai pas peur de la mort. Je vois ça comme un sommeil éternel, la fin de toutes les joies, mais aussi de toutes les souffrances.
Aujourd'hui, mettre un terme à ma vie, ca serait comme dire à mes enfants que finalement, pour leur maman, la vie ne méritait plus d'être vécue.
Je ne veux pas leur laisser ça en héritage. C'est trop lourd.

Alors je reste, je pleure, et j'avance. Chaque fois que je peux.
Et je viens ici quand la souffrance est trop forte.
#886521
Wow, je me sens soudainement bizarre là. Je me sens mieux sans amour, sans être essentielle pour quelqu'un, sans tendresse, ni câlin. Pour ces deux dernières choses j'ai quand même mes animaux pour qui j'ai beaucoup d'affection.
Je me sens plus libre, plus moi.
#886591
Bonjour Lalibela. J'ai eu envie de te répondre pour te donner un petit coup de fouet, et t'apporter un avis qui ira dans un sens un peu contraire à celui que tu t'attendais à voir ici.

Déjà, je trouve que les psy ont un conflit d'intérêt : ils ont intérêt à ce que leurs patients reviennent. Alors la tienne met des mots sur un comportement, comme s'il s'agissait de diagnostiquer et traiter ton ex. Mais je crois que la meilleure aide que tu peux avoir, c'est quelqu'un qui s'en fout de ton histoire, et qui te dit : "putain, bouge-toi le cul". Quelque soit ton niveau de pseudo-fragilité psychologique, tout le monde devrait entendre ça, parce que tout le monde peut y arriver il ne faut pas sous-estimer ça. Et tu sais quoi ? Plus tu reviens de loin et plus tu te sentiras forte par la suite.

Je te dirais de prendre ton temps, tout d'abord, à bien ressentir toutes ces émotions. L'épisode du désert, là, ne l'oublie pas. Dans quelques mois quand tu iras mieux, tu te rendras compte que tu as failli priver tes 2 enfants de leur mère pour...un keum. Il n'est pas question d'autre chose. Je pense que les meilleurs conseils qu'on puisse te donner, ce sont justement ceux qui ne te confortent pas dans ton malheur, parce qu'on prend vite goût aux larmes. Certes, étreins bien ta tristesse, mais ne te complais pas dedans. Dès que tu vois un rayon de soleil dans ton ciel tout grisouillet, laisse-le rentrer. C'est en se forçant que ton ciel va s'éclaircir comme avant. Prends en exemple des gens qui se sont remis très vite de leur rupture, ça va t'aider.

Pour ce qui est de ta question, je la trouve tarte. Bien sûr qu'on peut vivre sans amûûûr (au sens où tu l'entends). C'est une question de culture en fait ; [mode3615mavie] ma grand-mère était mariée avec un type, surement brave à la base mais qui a fini par y aller sévère sur la bouteille et surtout à cogner sur ses gamins. Si bien que du haut de ses 40 kgs toute mouillée, elle s'est interposée entre lui et ses fils, et puis les a pris sous le bras pour les élever seule. Elle n'a jamais connu d'autres hommes et s'en porte très bien comme ça (c'était une très belle femme, avec une force de caractère tout simplement incroyable) [/mode3615mavie]. Plein d'autres histoires de gens forts, je pense que ça peut te tirer vers le haut.

Tu n'as pas besoin d'un homme pour vivre. Il n'avait pas besoin de toi pour vivre. C'est en cela que l'amour a une certaine beauté (proche de l'aliénation d'ailleurs) : 2 personnes, indépendantes, qui se choisissent pour faire un bout de chemin. Sachant que l'un peut rompre le contrat à tout moment, parce qu'il en est libre.
#887091
Merci AboutAGirl de ta réponse.
Tu as raison de me dire cela.
Ma grand mère était une femme comme ca. Ma grand tante aussi.
Elles n'ont pas vraiment été heureuses en amour, ont vécu sans homme la grande majorité de leur vie, sans enfants aussi pour la seconde.
Mais je garde le souvenir de femmes courageuses, lumineuses, aimantes.
Aujourd'hui, dans mon entourage, je n'ai plus de modèles de ce genre.

C'est lui qui a pris la décision finale, mais c'est moi qui la première ait tenté de mettre fin à l'histoire, deux mois plus tôt.
Ce soir là, pour trouver le courage d'arreter cette histoire alors que je l'aimais encore, je me suis accrochée à une image de moi, souriante, lumineuse, seule avec mes deux enfants. Heureuse sans lui.
Il faut que je fasse revenir cette image.
#1050021
Bonjour à toutes et à tous,
Comment est-ce qu'on s'habitue à vivre sans amour, sans calins, sans tendresse, sans affection d'un homme qu'on aime et qui nous aime ?
Votre question revient à demander si on s'habitue à survivre ?
Mais la question ne se pose pas, la survit s'impose et parce que vous respirez, vous buvez, vous mangez..., vous continuez votre route.
Une route déserte, si tant est que vous n'ayez pas d'amis ou des proches compréhensifs et solidaires.
Dans le cas contraire, si vous pouvez être soutenue dans des moments difficiles de votre vie, vous êtes chanceuse.

Dans le mien...eh bien...je découvre qui je suis...une femme qui est à l'opposée de ce que bien des gens pensent avoir devant eux aux premiers regards !
Enfin, c'est eux qui le découvre petit à petit, car je sais qui je suis, mais je le vis aujourd'hui pleinement, librement et j'aime qui je suis, j'ai toujours aimé qui j'étais, malgré les incertitudes parfois quand rien ne va.
La remise en question est normale.
Mais ce ne sont que des doutes, des moments où je suis dans le creux de la vague !

La vie est ainsi faite, elle est un mouvement perpétuelle comme la mer, elle ondule comme les dunes d'un désert et elle n'est plate comme l'encéphalogramme que lorsque vous ne respirez plus.
Donc, quand rien ne va ou quand vous souffrez, vous êtes dans le creux de la vague, vous ne pouvez donc que remontez.

Les psys n'ont rien inventé !
La résurgence par exemple n'est qu'un concept, ne voulant rien dire d'autre que ce que la nature vous donne à observer et à vivre !
Cela fait des millénaires que les Hommes refont surface...même quand ils ont perdus les leurs lors d'un tremblement de terre ou une guerre.
Certes les passages à vide sont des épreuves où l'absence se fait sentir, où elle est pesante, vous déchire et vous arrache des larmes, vous fait terriblement souffrir.
Mais s'il y a des descentes ascensionnelles qui vous font découvrir la noirceur et la profondeur des abysses et que certains humains y restent, d'autres remontent à la surface, beaucoup d'autres !
La majorité d'entre-eux !
Vous avez toutes vos chances de remonter à la surface et d'être heureuse.

Comme je le dis souvent je n'aime pas ma vie, mais j'aime la vie !

Cordialement,
Valériane
#1090924
Mon histoire et particuliers mes j pensse quelle peut rassurer les plus démunis de voir pire que et me faire du bien j ai rencontré mon ex fiancée au lycée qui orai pue etre mon ex femme issu d une famille pauvre seul homme de la famille on a du grandir sans pere aussi loin que j me souvienne j nest jamais vraiment etait apresier pour ce que j était dans ma famille et au final on a toujours été une famille brisé seulement a l époque on vouler pas se l avoué et quand j ai rencontré mon ex fiancée cette l extase j ai donné tout ce que j avais j ai bossé comme un dingue pour la satisfaire mes elle vite devenu feniante et dépendances de moi elle vouler travailer elle rester a la maison a rien faire ni menage ni recherche d emploi on enchaîner les disputes et j ai du me séparée d elle influancée par ma famille j ai tout coupé et si j en suis arrivé j suispose sue sa doit être ma faute la perte de mon amis que j ai toujours considéré comme un grand frère plus celle de mon oncle j ai du les endossé sans jamais rien dire et j ai laisser le tempd digerer la douleur puis quand j me suis séparée d mon ex fiancée y tout quibet revenu sur coups la séparation a etait dur j me suis remis a fumé j ai noyer mes peine dans l alcool et j suis devenu un cadavre animé par les regrettes chaque soir j me sens obliger boire pour m endormir voila 1ans sa dur moi qui etait autre fois sportif de haut niveau j me retrouve a m endormir sous des litres de rhum si j men remettrer j en sais rien sais durbde se faire a l idée qu on a merder quelque part et de prendre toute les fautes si j avais etait un peut plus fort dans ma tete ou si j avais essayer d la résonne encore et encore j en serai surmant pas la mes defois faut accepté la defaite ces être un homme sa simpose pour essayer d me refaire une nouvelle santé et une nouvelle vie j ai quitter la france et prie un travaille a l etranger une belle occasion pour ma carrière elle a grimpé en follie et elle continue j ai de quoi etre heureux mes j arrive pas a être heureux seul sans mon ex fiancée. Éprouver encore des sentiment pour son ex ces ce qui vous détruit jours apres jours apres sa j me suis inscrit a l armé j avais besoin d évacué un trop plein rage et de tristesse j ai subit 1ans formation militaire et au final quoi je face rien ne change j essaye encore et toujours d accepté mon triste sort j le diregerai un jour viendra j suis asser fort mentalement j ai enduré pire et j suis encore la et j continurai detre la parceque je veu etre dans ce decord aussi triste soit il