- 30 nov. 2013, 20:59
#794542
Chers vous tous,
Je fréquente F depuis 5 mois. Nous nous sommes rencontrés, étant en couple chacun de notre côté, voulant depuis des mois mettre fin à nos histoires qui nous détruisaient. Notre rencontre nous a donné la force d'en finir... et avouons avoir trompé nos compagnons respectifs ensemble. Enfin célibataires, nous avions convenus de se laisser le temps, de ne pas se poser, d'apprendre à s'apprivoiser, à développer nos sentiments. Nous allions donc 'voir ailleurs'. On pouvait considérer cette relation comme une amitié améliorée. Le temps avance, il me fait rencontrer ses parents, tous ses proches... Je le laisse aller à son rythme, ne me voyant pas le retenir selon ses envies. Ayant dans le passé trop précipité les choses, je me réservais ses rencontres familiales et amicales pour plus tard de mon côté. [Nota Bene : F et moi, sommes réputés pour avoir un passé volage, coup d'un soir à tout va, souffrance auprès du sexe opposé, et un je m'en-foutisme désolant] Ses amis me confiaient premièrement de me méfier de F, par rapport à son passé, qu'il était capable de rendre une fille dingue de lui tout ça pour l'avoir dans son lit seulement. Je les rassurais en leur apprenant qu'F est tombé sur la même graine que lui, qu'il s'en est certainement rendu compte, qu'il m'a présenté à ses parents et à sa famille. Ses amis ont donc changés de discours et se rendaient compte "c'est la première fois qu'on le voit comme ça avec une fille depuis des années... je crois que ça va durer vous deux". Les semaines avançaient, les sentiments se développaient, et surtout une certaine jalousie et possessivité chacun l'un pour l'autre. Nous avons donc décidés de "s'offrir l'exclusivité" sexuelle. Pour ainsi dire, nous étions en couple, mais une barrière psychologique nous empêchait de prononcer ces mots, étant encore fragiles sur ces relations amoureuses qui nous font peur. Nous n'assumions donc pas cette nouveauté, ayant besoin de nous construire d'abord avant de s'engager dans des sentiments qui prennent la tête. Nous sommes en recherche d'emploi notamment. Je n'assumais certainement encore moins que lui... Puisque deux semaines après ce changement de vision de notre relation, je lui mettais un coup de poignard. Un type, me draguant depuis des mois, un canon de beauté et une personnalité comme on en croise rarement, a réussi à me mettre dans son lit. Le truc, c'est que ce type, F s'est engueulés avec le soir même, sur Facebook, un combat de coqs qui m'a fait doucement rire je l'avoue. Mon "pseudo" mec qui se donnait des airs de jaloux justifiés et le dragueur qui se permettait de l'insulter en public. J'en avais lourd sur les épaules. Alors le dragueur m'a invité à boire un verre, et j'ai cédé, après la dispute. Le lendemain, je me réveille le coeur lourd. Qu'ai-je fait. Je ne me voyais pas le cacher à F. Alors je lui ai dis le soir même. J'avais assuré mon coup : j'ai pris ma voiture et ne lui ai pas laissé prendre la sienne de son côté pour éviter qu'il la prenne et se plante, je l'emmenais au bar, prendre un verre. Il a très vite remit sur le tapis la dispute entre lui et le dragueur de la veille, m'expliquant qu'il était déçu de la non-empathie que j'avais eu, aucuns messages, aucuns mots rassurants. Il se sentait s'ouvrir à moi en exprimant sa possessivité légère envers moi, et je n'y répondais rien, comme impassive et obnubilée par l'attirance physique du dragueur. Je lui annonçais alors, ne pouvant sortir aucuns mots : "J'ai couché avec lui, hier soir, après votre dispute". (Je précise qu'on a juste fait des préliminaires, pas d'acte en soit, mais appelons un chat, un chat). F se retrouvait le regard fuyant, le teint blafard, mortifié et brisé à l'intérieur. J'ai cru recevoir son verre à la gueule, et même pas, il s'est retenu et a maturément pris la décision de quitter la table et partir prendre le tram. Je lui ai couru après, ne sachant pas quoi dire de plus que "Je suis désolée, je ne peux pas te laisser partir, enfin si mais au moins ça prouve que je tiens à toi, je ne m'en fou pas, mais je suis perdue, je ne sais plus ce que je veux, je ne veux pas te faire de mal, je ne veux pas qu'on aille trop vite et j'aurais pas pu faire pire pour te le faire comprendre". Depuis, SR comme on dit ici. Je décide donc de ne pas lui parler pendant un mois, jusqu'à Noel. Penser à moi, savoir ce que je veux vraiment avec lui. Si je le veux vraiment, qu'il partage ma vie, qu'il soit mon compagnon de route, qu'on se soutienne, je ferais tout pour le récupérer après un SR bien mérité. Sinon, ça m'aura permis de me rendre compte que coucher à droite à gauche c'est vraiment plus mon délire, que ça apporte que des ennuies.
Je fréquente F depuis 5 mois. Nous nous sommes rencontrés, étant en couple chacun de notre côté, voulant depuis des mois mettre fin à nos histoires qui nous détruisaient. Notre rencontre nous a donné la force d'en finir... et avouons avoir trompé nos compagnons respectifs ensemble. Enfin célibataires, nous avions convenus de se laisser le temps, de ne pas se poser, d'apprendre à s'apprivoiser, à développer nos sentiments. Nous allions donc 'voir ailleurs'. On pouvait considérer cette relation comme une amitié améliorée. Le temps avance, il me fait rencontrer ses parents, tous ses proches... Je le laisse aller à son rythme, ne me voyant pas le retenir selon ses envies. Ayant dans le passé trop précipité les choses, je me réservais ses rencontres familiales et amicales pour plus tard de mon côté. [Nota Bene : F et moi, sommes réputés pour avoir un passé volage, coup d'un soir à tout va, souffrance auprès du sexe opposé, et un je m'en-foutisme désolant] Ses amis me confiaient premièrement de me méfier de F, par rapport à son passé, qu'il était capable de rendre une fille dingue de lui tout ça pour l'avoir dans son lit seulement. Je les rassurais en leur apprenant qu'F est tombé sur la même graine que lui, qu'il s'en est certainement rendu compte, qu'il m'a présenté à ses parents et à sa famille. Ses amis ont donc changés de discours et se rendaient compte "c'est la première fois qu'on le voit comme ça avec une fille depuis des années... je crois que ça va durer vous deux". Les semaines avançaient, les sentiments se développaient, et surtout une certaine jalousie et possessivité chacun l'un pour l'autre. Nous avons donc décidés de "s'offrir l'exclusivité" sexuelle. Pour ainsi dire, nous étions en couple, mais une barrière psychologique nous empêchait de prononcer ces mots, étant encore fragiles sur ces relations amoureuses qui nous font peur. Nous n'assumions donc pas cette nouveauté, ayant besoin de nous construire d'abord avant de s'engager dans des sentiments qui prennent la tête. Nous sommes en recherche d'emploi notamment. Je n'assumais certainement encore moins que lui... Puisque deux semaines après ce changement de vision de notre relation, je lui mettais un coup de poignard. Un type, me draguant depuis des mois, un canon de beauté et une personnalité comme on en croise rarement, a réussi à me mettre dans son lit. Le truc, c'est que ce type, F s'est engueulés avec le soir même, sur Facebook, un combat de coqs qui m'a fait doucement rire je l'avoue. Mon "pseudo" mec qui se donnait des airs de jaloux justifiés et le dragueur qui se permettait de l'insulter en public. J'en avais lourd sur les épaules. Alors le dragueur m'a invité à boire un verre, et j'ai cédé, après la dispute. Le lendemain, je me réveille le coeur lourd. Qu'ai-je fait. Je ne me voyais pas le cacher à F. Alors je lui ai dis le soir même. J'avais assuré mon coup : j'ai pris ma voiture et ne lui ai pas laissé prendre la sienne de son côté pour éviter qu'il la prenne et se plante, je l'emmenais au bar, prendre un verre. Il a très vite remit sur le tapis la dispute entre lui et le dragueur de la veille, m'expliquant qu'il était déçu de la non-empathie que j'avais eu, aucuns messages, aucuns mots rassurants. Il se sentait s'ouvrir à moi en exprimant sa possessivité légère envers moi, et je n'y répondais rien, comme impassive et obnubilée par l'attirance physique du dragueur. Je lui annonçais alors, ne pouvant sortir aucuns mots : "J'ai couché avec lui, hier soir, après votre dispute". (Je précise qu'on a juste fait des préliminaires, pas d'acte en soit, mais appelons un chat, un chat). F se retrouvait le regard fuyant, le teint blafard, mortifié et brisé à l'intérieur. J'ai cru recevoir son verre à la gueule, et même pas, il s'est retenu et a maturément pris la décision de quitter la table et partir prendre le tram. Je lui ai couru après, ne sachant pas quoi dire de plus que "Je suis désolée, je ne peux pas te laisser partir, enfin si mais au moins ça prouve que je tiens à toi, je ne m'en fou pas, mais je suis perdue, je ne sais plus ce que je veux, je ne veux pas te faire de mal, je ne veux pas qu'on aille trop vite et j'aurais pas pu faire pire pour te le faire comprendre". Depuis, SR comme on dit ici. Je décide donc de ne pas lui parler pendant un mois, jusqu'à Noel. Penser à moi, savoir ce que je veux vraiment avec lui. Si je le veux vraiment, qu'il partage ma vie, qu'il soit mon compagnon de route, qu'on se soutienne, je ferais tout pour le récupérer après un SR bien mérité. Sinon, ça m'aura permis de me rendre compte que coucher à droite à gauche c'est vraiment plus mon délire, que ça apporte que des ennuies.