juju006 a écrit :Bon tanpis je vais reperdre du temps pour écrire un post, au lieu de ça je devrai bosser mon pénal, mais je vais quand meme prendre 5 min pour vous donnez mon avis.
Parce qu'en tant que juriste ça m'enerve qu'on vienne me casser pour je ne sais quelle raison, de toute façon je commence a avoir l'hbaitude, les gens ont un problème avec les personnes qui étudient le droit. Ils sont frustrés parce qu'ils y comprennent rien... Bien je n'y peux rien, il faut accepter que dans la vie il y a des personnes doueés pour certaines choses et pour d'autres non. Non je ne suis pas prétentieuse ! Je viens juste donner mon avis parce que forcément qui dit porter plainte releve du droit alors ça m'interesse.
Alors venons en aux faits :
La question posée : Est-il possible de porter plainte pour rupture ?
Premièrement, comme je l'ai déjà énoncé oui il est possible de le faire, ça existe déjà, en cas de rupture abusive lorsque deux personnes sont fianciés. De plus je tiens a rappeler que l'adultère a été considéré comme une faute pénalement jusqu' il y encore pas si longtemps que ça...
Pour ce qui est d'un préjudice subis ? Comme dans tous conflits, il y a un auteur et une victime. Ici aussi et c'est le cas, la victime étant la personne qui est quittée. Non je suis pas d'accord moi non plus de parler " de responsabilisation " Je ne vois pas trop le rapport avec la question posée bien au contraire, la personne qui est quittée, seule dans son chagrin elle ne cesse de se remettre en question, de comprendre quelles sont ces erreurs ? Pourquoi elle a été abandonné ? Pourquoi l'autre ne l'aime plus ? Qu'as t'elle fait de mal ?
En revanche celui qui quitte la personne, ou est sa remise en question ? Bien souvent c'est la personne qui rejette toute la faute sur l'autre personne, elle ne fait aucun effort ! Elle en a marre tous simplement de ce quotidien. Mais elle ne se remet pas en question !
Bien évidement nous vivons dans une société de consommation ou nos relations humaines deviennent consommables de la meme façon que l'on achete un telephone portable. Oh celui la il m'a gavé allez j'en achete un autre. Les hommes et les femmes réagissent de la meme façon avec les relations humaines cela vaut bien évidement en amour qu'en amitié !
Bien souvent, dès qu'il y a un débat, un échange d'argument, " c'est je n'ai pas envie de me prendre la tete basta ça suffit je quitte ". Personne n'essaye de comprendre le pourquoi du comment ? D'ailleurs quand est-il de la thérapie conjugale ? J'en vois déjà certains qui me rigolent au nez, moi consulter un psy mais non je suis pas fou !!!!
Cette France a bien du mal a avancer dans les mœurs, il y a qu'avoir sur le débat du mariage pour tous pour comprendre la mentalité française... Enfin c'est encore un autre débat, je m'éloigne...
Alors je vais me recentrer sur le sujet :
Cette personne qui a été quitté " subit " malgré tout la décision de l'autre, parce qu'elle n'a pas le choix. Elle subit donc un préjudice. A partir de la ou on reconnait la dépression comme maladie, et qu'une rupture amoureuse peut amener à une dépression. Elle peut meme amener à un crime passionnel évoqué sur les pages précendentes. On reconnait bien le harcelement moral désormais aujourd'hui ! On reconnait la manipulation psychologique aujourd'hui !
Alors oui cette question est à prendre au cas par cas bien entendue ! On ne peut pas invoquer de déposer plainte au moindre faits et gestes que l'on fait, quoi que les Etats Unis ne s'en privent pas... Et qu'en France, on va de meme, quand je vois que des personnes déposent plainte pour " trouble du voisinage " ou que lorsque dans un divorce on se bat pour la garde d'un chien ! Alors j'ai envie de dire pourquoi pas !
A partir du moment ou les preuves sont rapportées s'il y a eu lieu d'un préjudice. De ce faite, on en arriverai pas la, si les personnes aujourd'hui se respectaient un peu plus en elles memes. Que lorsque l'on quitte quelqu'un ne serait - ce de dire " je suis désolée, ou je m'en excuse " cela pourrait soulager la conscience de l'autre.
Mais bien souvent, ce ne sont pas des comportements exemplaires, bien souvent il n' y a pas d'explication, bien souvent la personne laisse l'autre dans le silence, sans comprendre pourquoi le couple en est arrivé ici.
Je vais me régaler!
Tout d'abord, Juju est aussi juriste que la lettre magique est magique.
Je te conseille de te renseigner sur les conditions d'accès à ce métier, il s'agit d'une expertise qui ne s'acquiert pas en une année. C'est bien pour ça que tout le monde ne comprend pas et le juriste doit savoir expliquer le droit, le vulgariser, sinon c'est qu'il n'y comprend rien lui-même.
Et en tant que juriste, ta vanité et ta pédanterie m'exaspèrent, tu ne fais pas honneur à ce beau métier.
Ensuite, tu devrais peut-être revoir ta méthodologie des cas pratiques, c'est pas juste pour faire joli, ça sert à faire des consultations dans la vraie vie après. Et ça évite d'affirmer des choses sans les étayer, et donc de se planter en racontant n'imp.
Conseil plus personnel: tu devrais apprendre l'humilité, pour le moment tu n'as vraiment pas les moyens de tes prétentions.
Pour ceux qui sont intéressés, quelques propos rapides sur la rupture abusive de fiançailles (c'est con Juju, tu y étais presque, si tu comprenais les mots que tu emploies, tu n'aurais pas écrit toutes ces énormités):
Définition de fiançailles: promesse de mariage. Le droit de ne pas se marier doit être respecté et la rupture des fiançailles est toujours possible, pas de problème. Ce qui pose problème, c'est la rupture ABUSIVE de ces fiançailles, l'abus du droit de rompre. L'abus sera qualifié selon les faits: l'un des deux à un amant, se barre du jour au lendemain sans raison,... On peut quitter son/sa fiancée, mais on peut quand même rester correct!
Les considérations ne sont pas émotionnelles mais économiques. En effet, les fiançailles se traduisent concrètement par un échange de cadeaux, bien souvent coûteux, entre le promis et la promise, notamment bague de fiançailles qui peut être un bien de famille.
Imaginons donc que le fiancé offre à sa promise un gros caillou présent dans sa famille de génération en génération. La promise, une fois la baguouse au doigt, se tire du jour au lendemain (ciao le nase, moi j'me casse!), sans que le promis n'ait rien commis de dommageable. Le problème qui se pose est que la bague a été offerte et non prêtée, et selon l'adage bien connu, "donné c'est donné, reprendre c'est volé, nananère", le fiancé ne peut donc la récupérer. Celui qui a commis l'abus devra rendre ses cadeaux tandis que l'autre pourra conserver les siens à titre de dédommagement (si pas de cadeaux, money money bien sûr).
En soit, sanctionner un abus de droit n'est pas si scandaleux.
On retrouve la même chose par exemple dans la vente immobilière (promesse de vente avec indemnité d'immobilisation, qui constitue le dédommagement en cas de non-réalisation de la vente), les relations commerciales (rupture abusive des négociations/pourparlers, sanctionnée par le remboursement des frais engagés pendant les négociations et des dommages et intérêts).
Concernant l'action maintenant: porter plainte signifie porter le litige au pénal. Or un abus de droit ne constitue ni une infraction, ni un délit, ni un crime. Il ne relève donc pas du pénal, mais du civil. Porter plainte n'aura donc aucun effet (on peut toujours le faire hein, mais ça ne sert à rien). Juju, je te conseille donc de retourner effectivement dans ton bouquin de droit pénal et ne plus perdre 5 min à intervenir sur ce forum, ça nous évitera d'en perdre bien plus à te déchiffrer et à rattraper les bêtises que tu peux y écrire. Ah et puis il n'y a adultère que lorsqu'il y a mariage, pas au stade des fiançailles. Une des qualités requises du juriste est la précision, tant dans la lecture des faits que dans la réponse apportée. L'adultère est hors sujet.
Bon je vous l'ai faite succincte et vachement édulcorée selon mes souvenirs lointains, mais c'est un peu le principe du bidule.