- 20 oct. 2013, 17:19
#778334
J'étais réapparue sur le forum le 16/10 car j'étais tombée sur des messages de mon ex qui s'avéraient être une tentative pour revenir vers moi et j'étais mitigée.
Je pensais qu'il avait changé et j'allais passer -limite- sur le fait qu'il ne me fasse pas d'excuses pour le moment sur son comportement de mai (date de début de SR où il m'a brisée) et pour revenir ainsi comme une fleur.
J'étais partagée, mitigée.Il avait reconnu qu'il ne m'avait pas assez soutenue, qu'on avait pas communiqué..Mais ca s'accompagnait chez moi d'une tristesse et d'un début de dépression que je n'arrivais pas à comprendre, un retour à l'état dans lequel je me trouvais en mai. Mais dernièrement j'avais accepté le fait qu'il me manque et j'ai fait une brèche dans ma carapace pour le laisser revenir dans ma vie, du moins, envisager une reconstruction de mon couple.
Et pour se faire, je lui ai parlé de mes projets pro (auxquels ils n'adhérait pas avant et que je voyais comme tout de même la possibilité d'être autonome vis à vis de lui en cas de coup dure). Je pensais donc qu'il avait grandi..et finalement..NON.
Monsieur voulait juste un retour à l'état post rupture, bobonne à la maison.
Mais pour se faire, Monsieur a entre autre dit qu'en Mai il avait envisageait de refaire sa vie avec une autre (merci de me péter le moral connard, j'avais pas besoin d'avoir des mots sur une situation dont je me doutais) et que ca n'avait pas marché, qu'il était déçu, qu'il avait tenté de changer des trucs mais qu'il n'arrivait pas à passer outre mon bon souvenir...et que compte tu de mes choix pro, j'allais finalement finir avec une retraite avec peu d'euros et que j'allais bien regretter de ne pas avoir choisi d'avoir fait ma vie avec lui.
Et bien écoutes mon grand, vaut mieux finir, pauvre, seule que mal accompagnée par un connard qui ne vous aurait de toute façon pas soutenue, fait un gosse et fait en sorte d'avoir le gosse puisqu'il m'aurait laissée à la rue.
Voilà, alors aujourd'hui, je te dis : bonne continuation! et je ne me ferais plu avoir au jeu du "j'ai changé, tu me manques bobonne".
Bref, désolée, mais là j'en pouvais plus, c'était un coup de gueule contre cet énergumène qui était entrain de me redétruire et je vais devoir de nouveau me reconstruire.
Je pensais qu'il avait changé et j'allais passer -limite- sur le fait qu'il ne me fasse pas d'excuses pour le moment sur son comportement de mai (date de début de SR où il m'a brisée) et pour revenir ainsi comme une fleur.
J'étais partagée, mitigée.Il avait reconnu qu'il ne m'avait pas assez soutenue, qu'on avait pas communiqué..Mais ca s'accompagnait chez moi d'une tristesse et d'un début de dépression que je n'arrivais pas à comprendre, un retour à l'état dans lequel je me trouvais en mai. Mais dernièrement j'avais accepté le fait qu'il me manque et j'ai fait une brèche dans ma carapace pour le laisser revenir dans ma vie, du moins, envisager une reconstruction de mon couple.
Et pour se faire, je lui ai parlé de mes projets pro (auxquels ils n'adhérait pas avant et que je voyais comme tout de même la possibilité d'être autonome vis à vis de lui en cas de coup dure). Je pensais donc qu'il avait grandi..et finalement..NON.
Monsieur voulait juste un retour à l'état post rupture, bobonne à la maison.
Mais pour se faire, Monsieur a entre autre dit qu'en Mai il avait envisageait de refaire sa vie avec une autre (merci de me péter le moral connard, j'avais pas besoin d'avoir des mots sur une situation dont je me doutais) et que ca n'avait pas marché, qu'il était déçu, qu'il avait tenté de changer des trucs mais qu'il n'arrivait pas à passer outre mon bon souvenir...et que compte tu de mes choix pro, j'allais finalement finir avec une retraite avec peu d'euros et que j'allais bien regretter de ne pas avoir choisi d'avoir fait ma vie avec lui.
Et bien écoutes mon grand, vaut mieux finir, pauvre, seule que mal accompagnée par un connard qui ne vous aurait de toute façon pas soutenue, fait un gosse et fait en sorte d'avoir le gosse puisqu'il m'aurait laissée à la rue.
Voilà, alors aujourd'hui, je te dis : bonne continuation! et je ne me ferais plu avoir au jeu du "j'ai changé, tu me manques bobonne".
Bref, désolée, mais là j'en pouvais plus, c'était un coup de gueule contre cet énergumène qui était entrain de me redétruire et je vais devoir de nouveau me reconstruire.
