Kakahuet, tu as tout faux...
J'avoue avoir été surprise en lisant ton message, en lisant que notre histoire avait compté pour toi... Cela m'a touchée.
Manifestement, ça n'était pas évident pour elle, elle a peut être ressenti que gâteau ne s'investissait pas vraiment...
Le fait que tu ne m'ais jamais recontactée (alors que nous sommes voisins le week end), n'a, à mes yeux, pas facilité ou non le fait que je passe à autre chose (là n'était pas vraiment la question),
C'est clair, non ?, qu'elle a eu (a ?) du mal a tourner la page...
Mais pudeur, peur de trop en dire elle rajoute que ce n'était pas la question (ben alors, prquoi le mentionner, banane !)
mais a plutôt mis en évidence que je n’avais pas (eu) grande importance pour toi.
Reproche et surtout tristesse, qui signifie "montre moi que de l'importance, j'en ai (eu?) !"
La vie est courte (Ah ben merci pour ce moment de gaieté et d'optimisme ), il faut en profiter ... et chacun y cherche sa part de bonheur, ce qui le rendra heureux, épanoui... de
Voilà pourquoi j'ai avancé de mon côté et ai tout à fait accepté et respecté tes choix, ton silence, même si parfois cela m'aurait fait plaisir que tu me recontactes ou que tu te dises que je valais peut-être la peine de te retourner...
Ah ben mince, si c'est pas lui dire qu'elle a rompu parce qu'il ne lui montrait pas qu'il tenait à elle... et qu'elle voudrait bien qu'il le lui montre encore !!
Le temps qui est passé m'a permis de prendre du recul par rapport à notre histoire, notre rupture, mais aussi vis-à-vis des doutes, de mon attitude sur' la défensive' que j’avais l’an dernier. Avec ce recul, après quelques semaines de 'rancune', j’ai parfois pensé à notre histoire... Et si la raison me disait qu’il valait mieux continuer sa vie chacun de son côté, qu’une histoire qui avait échouée ne pouvait pas marcher, mon cœur me rappelait aussi parfois ce que j’ai ressenti à tes côtés et mes envies de construire quelque chose.
Appel du pied...
Montre moi qu'on peut recommencer...
Et même si je me dis que je ne suis pas faite pour toi, quand je suis en face de toi tout me fait dire le contraire (bon, bon, ok, je note le copyright).
Et ça, c'est quoi sinon dire qu'elle a toujours des sentiments !!!
Même si je suis très pudique, je tenais à prendre ces trois lignes pour simplement écrire, sans me chercher d'excuses, 'pardon'... non pas pour changer les choses, mais car j'ai conscience d'avoir un peu mer*é (oui, ça c'est pour ajouter une once de vulgarité à ce message trop lisse) l'an dernier, d'avoir ma part d'échec dans cette jolie histoire 'entre voisins' , notamment à cause de ce caractère sur la 'défensive' qui ne me ressemblait pas du tout.
Traduction : "j'avais peur, mais si tu me montres que je n'ai plus à avoir peur, alors... "(la défensive ne lui ressemble pas du tout ; traduction, "je suis passionnée et je peux te le montrer si tu me veux encore")
Si je t'ai recontacté lorsque j'ai su que ma vie allait être entre nos deux villes, c'est que je me disais, qu'en plus du temps qui était passé, nous pourrions peut-être effectuer les trajets en train ensemble, et/ou éventuellement sortir un peu à Paris, tout simplement !
Appel du pied !
Tout comme toi, j'ai cette petite 'émotion' lorsque l'on se revoit. Une drôle d'impression... que beaucoup de temps est passé mais que notre entente est intacte malgré tout.
Drôle d'impression... la flamme qui n'est pas morte...
Alors bien évidemment, comme je te l’ai dis l’autre fois, je souhaite également que l'on reste en contact et que l’on se revoit, parce que je trouverais cela dommage que l'on coupe les ponts (et puis il faudra bien que l'on fasse des courses de moto lorsque nous aurons chacun la nôtre ).
Je te l'accorde, ce sera certainement plutôt curieux lorsque chacun de nous sera en couple, mais nous verrons !
La fin : petite pudeur pour ne pas trop montrer qu'elle est en attente, donc faux détachement...
Ce que je retiens de son message c'est qu'elle te dit que tu ne l'as pas vue, qu'elle avait la trouille, et qu'elle est partie parce que tu ne t'investissais pas assez... selon elle...
Kakahuet, tu as beau avoir eu des milliers d'expériences, d'après ce que tu dis, tu ne connais toujours rien aux femmes...
