- 26 août 2012, 20:04
#529061
Bonjour à tous,
J'ai vécu un an et demi de relation avec un garçon que j'aime sincèrement, et ceci pas seulement à cause de ma dépendance affective (comme beaucoup le dise, le dépendant affectif ne ressent que de l'attachement et quand on en a plus besoin on jette, ce que je ne crois pas du tout faire...). Beaucoup de bas, à cause de moi, souvent, car j'étais jalouse, possessive et exclusive, je me réfugiais dans notre relation à corps perdu afin de ne pas voir mes véritables problèmes...
Il y a trois mois, j'ai vécu une période difficile, j'avais envie de mourir, de m'en aller, ne plus souffrir de ma vie familial (j'ai 17 ans), que je subis depuis maintenant très jeune, et à partir de là, les choses se sont dégradés, on se quitte, on revient, on se quitte on revient... Bref, pas du tout sain...
Début Août, je crise, jalousie, peur qu'il aille voir ailleurs (nouveau taff de serveur...), il me quitte en me disant que je le pousse à le faire à force de lui rabâcher... Une semaine plus tard, on se remet ensemble, ça se passe bien, jusqu'à ce que je vois un message qu'il a envoyer à un pote, comme quoi il voulait inviter une fille chez lui, mais qu'elle était avec une amie et donc, qu'il avait "le seum"... On a une explication, il me dit avec une mine désolé qu'avec la colère et la rancune qu'il avait envers moi, il l'avait dis sans le penser parce qu'il savait parfaitement qu'il ne se passerait rien...
J'ai pas su gérer ma jalousie, ma peine, et à nouveau, des idées très noires, il pète un câble, me ramène chez moi, me dit au revoir...
Dix jours s'écoulent pendant lesquels je pars chez ma famille, je vais mieux, j'arrive à peu près à gérer ma peine, car je ne suis pas chez mes parents (avec qui j'ai décidé d'avouer mon mal-être, que l'ambiance et la situation me pèse - j'ai un père alcoolique, parfois très violent, et une mère qui ne se décide pas à partir...), mais voilà, de retour à Paris, et toujours sans donner de nouvelles, je me sens mal... Et là, message de sa part, il essaye d'amorcer un dialogue, il me parle de son taff, qu'il est perdu, qu'il ne sait pas s'il va reprendre ses études, et me confie qu'il regrette sa décision, mais qu'il a toujours la peur au ventre, comme il a celle de me perdre...
Hier, on s'est vu, je lui rend ses affaires, il me tend une lettre dans laquelle il me dit se sentir en dépression, qu'il mange pas, dors pas, que son taff lui plait, mais lui bouffe la vie, qu'il arrive pas à avancer dans sa vie sentimentale, qu'il ne sait pas comment faire, qu'il arrive pas à faire le deuil de notre relation...
Alors on parle, je le réconforte, car j'ai vécu sa peine trois mois plus tôt, et on en arrive à coucher ensemble, on passe un bon moment, comme si on ne s'était jamais séparé, mais il me fait part de ses doutes, qu'il a toujours peur (malgré le fait que j'aille bien mieux, et que je prenne ma vie en main), et là, il me confie qu'il a peur d'aller voir ailleurs...
Arrive le moment où je pars, il m'embrasse et me dit au revoir, mais là, je commence à tilter que les choses n'ont pas avancer, malgré tout ce qu'il s'est passé... Je ne dors pas de la nuit, commence à me dire que j'en ai marre de son indécision, et que j'ai pas envie d'être la roue de secours s'il se trouve quelqu'un... Je lui envoie donc un message lui expliquant que je ne peux pas rester dans ce cercle vicieux, que j'ai mal depuis hier, après tout ce qu'il s'est passé, il me dit qu'il avait pas envie que je parte, mais qu'il voulait pas que les bisous, les câlins, les je t'aime continue, alors j'ai pris mon courage à deux mains, et je lui ai dis adieu, et là, aucune réponse, rien...
Aujourd'hui, j'aimerai qu'il revienne, c'est vrai, mais je me sens comme une roue de secours, car il dit m'aimer, mais ne se remet pas avec moi à cause de ses peurs, et reste prostré là-dessus... Je ne sais plus quoi faire...
Mais je vais me tenir à un SR, en espérant que mon adieu le fasse réagir (mais j'y crois pas trop)...
Merci d'avoir lu, et excusez-moi s'il y a des fautes...
J'ai vécu un an et demi de relation avec un garçon que j'aime sincèrement, et ceci pas seulement à cause de ma dépendance affective (comme beaucoup le dise, le dépendant affectif ne ressent que de l'attachement et quand on en a plus besoin on jette, ce que je ne crois pas du tout faire...). Beaucoup de bas, à cause de moi, souvent, car j'étais jalouse, possessive et exclusive, je me réfugiais dans notre relation à corps perdu afin de ne pas voir mes véritables problèmes...
Il y a trois mois, j'ai vécu une période difficile, j'avais envie de mourir, de m'en aller, ne plus souffrir de ma vie familial (j'ai 17 ans), que je subis depuis maintenant très jeune, et à partir de là, les choses se sont dégradés, on se quitte, on revient, on se quitte on revient... Bref, pas du tout sain...
Début Août, je crise, jalousie, peur qu'il aille voir ailleurs (nouveau taff de serveur...), il me quitte en me disant que je le pousse à le faire à force de lui rabâcher... Une semaine plus tard, on se remet ensemble, ça se passe bien, jusqu'à ce que je vois un message qu'il a envoyer à un pote, comme quoi il voulait inviter une fille chez lui, mais qu'elle était avec une amie et donc, qu'il avait "le seum"... On a une explication, il me dit avec une mine désolé qu'avec la colère et la rancune qu'il avait envers moi, il l'avait dis sans le penser parce qu'il savait parfaitement qu'il ne se passerait rien...
J'ai pas su gérer ma jalousie, ma peine, et à nouveau, des idées très noires, il pète un câble, me ramène chez moi, me dit au revoir...
Dix jours s'écoulent pendant lesquels je pars chez ma famille, je vais mieux, j'arrive à peu près à gérer ma peine, car je ne suis pas chez mes parents (avec qui j'ai décidé d'avouer mon mal-être, que l'ambiance et la situation me pèse - j'ai un père alcoolique, parfois très violent, et une mère qui ne se décide pas à partir...), mais voilà, de retour à Paris, et toujours sans donner de nouvelles, je me sens mal... Et là, message de sa part, il essaye d'amorcer un dialogue, il me parle de son taff, qu'il est perdu, qu'il ne sait pas s'il va reprendre ses études, et me confie qu'il regrette sa décision, mais qu'il a toujours la peur au ventre, comme il a celle de me perdre...
Hier, on s'est vu, je lui rend ses affaires, il me tend une lettre dans laquelle il me dit se sentir en dépression, qu'il mange pas, dors pas, que son taff lui plait, mais lui bouffe la vie, qu'il arrive pas à avancer dans sa vie sentimentale, qu'il ne sait pas comment faire, qu'il arrive pas à faire le deuil de notre relation...
Alors on parle, je le réconforte, car j'ai vécu sa peine trois mois plus tôt, et on en arrive à coucher ensemble, on passe un bon moment, comme si on ne s'était jamais séparé, mais il me fait part de ses doutes, qu'il a toujours peur (malgré le fait que j'aille bien mieux, et que je prenne ma vie en main), et là, il me confie qu'il a peur d'aller voir ailleurs...
Arrive le moment où je pars, il m'embrasse et me dit au revoir, mais là, je commence à tilter que les choses n'ont pas avancer, malgré tout ce qu'il s'est passé... Je ne dors pas de la nuit, commence à me dire que j'en ai marre de son indécision, et que j'ai pas envie d'être la roue de secours s'il se trouve quelqu'un... Je lui envoie donc un message lui expliquant que je ne peux pas rester dans ce cercle vicieux, que j'ai mal depuis hier, après tout ce qu'il s'est passé, il me dit qu'il avait pas envie que je parte, mais qu'il voulait pas que les bisous, les câlins, les je t'aime continue, alors j'ai pris mon courage à deux mains, et je lui ai dis adieu, et là, aucune réponse, rien...
Aujourd'hui, j'aimerai qu'il revienne, c'est vrai, mais je me sens comme une roue de secours, car il dit m'aimer, mais ne se remet pas avec moi à cause de ses peurs, et reste prostré là-dessus... Je ne sais plus quoi faire...
Mais je vais me tenir à un SR, en espérant que mon adieu le fasse réagir (mais j'y crois pas trop)...
Merci d'avoir lu, et excusez-moi s'il y a des fautes...