- 21 janv. 2009, 02:10
#61295
Ca y'est...
Là, je crois que c'est bon, je crois que ça y'est, je l'ai viré de ma vie. J'ai réussi à accepter. Comment?
-> Accepter le fait qu'il ne m'aime plus, et qu'on ne force pas un être à en aimer un autre. Donc renoncer, parce que c'est une cause perdue.
-> Commettre deux trois interdits comme une lettre (au moins, il sait ce que je pense, je n'ai rien à regretter) un coup de fil (les horreurs qu'il m'a dite m'ont tellement brisé le coeur que je me suis rendue compte que mon "appolon" d'ex n'était finalement pas si génial que ça, et même que c'était même carrément un connard... Disons un mec paumé qui a du mal à s'en faire pour les sentiments des autres, ce serait plus correct.
-> Beaucoup parler avec mes amis, en parler, faire sortir les choses, me sentir entourée et surtout comprise. Ne pas hésiter à raconter à tout le monde. Tout le temps, répèter. A force, la douleur exprimée, elle sort de l'intérieur.
-> Sortir beaucoup, avec et sans mes amis, rencontrer de nouvelles personnes, bouger et faire des choses qui sont sympas, avoir des projets, boucler toute ma semaine d'activités.
Voilà.
Alors biensur, parfois j'ai des rechutes. Parfois j'y repense et j'ai mal au coeur. Mais je sais que c'est mon histoire d'amour passée que je pleure, et pas lui. Car lui, il a changé, et il n'est plus celui qui m'aimait. Or sans son amour, je ne peux être heureuse avec lui. Et vu que ça ne se commande pas... CQFD
Le silence radio, ça fait un mois que je le tiens maintenant. mais j'ai décidé d'en faire un plus long, plus définitif. S'il veut me retrouver, si par miracle il retrouve des sentiments pour moi, alors, il saura venir, de lui même, je ne lui ferais pas le plaisir d'être de nouveau à ses pieds.
Biensur, ne vous leurrez pas, il y a un mois, j'étais désesperée, pleurante, voulant mourir, je ne voulais voir personne et entendre personne, je ne voulais que l'appeler et lui écrivais de longues lettres enflammées.
Mais on finit àar guérir. C'est chiant à entendre et on n'y croit pas, mais c'est vrai. On guérit. Même s'il y a des rechutes par moments, on s'en sort.
Bisous et bon courage!
Là, je crois que c'est bon, je crois que ça y'est, je l'ai viré de ma vie. J'ai réussi à accepter. Comment?
-> Accepter le fait qu'il ne m'aime plus, et qu'on ne force pas un être à en aimer un autre. Donc renoncer, parce que c'est une cause perdue.
-> Commettre deux trois interdits comme une lettre (au moins, il sait ce que je pense, je n'ai rien à regretter) un coup de fil (les horreurs qu'il m'a dite m'ont tellement brisé le coeur que je me suis rendue compte que mon "appolon" d'ex n'était finalement pas si génial que ça, et même que c'était même carrément un connard... Disons un mec paumé qui a du mal à s'en faire pour les sentiments des autres, ce serait plus correct.
-> Beaucoup parler avec mes amis, en parler, faire sortir les choses, me sentir entourée et surtout comprise. Ne pas hésiter à raconter à tout le monde. Tout le temps, répèter. A force, la douleur exprimée, elle sort de l'intérieur.
-> Sortir beaucoup, avec et sans mes amis, rencontrer de nouvelles personnes, bouger et faire des choses qui sont sympas, avoir des projets, boucler toute ma semaine d'activités.
Voilà.
Alors biensur, parfois j'ai des rechutes. Parfois j'y repense et j'ai mal au coeur. Mais je sais que c'est mon histoire d'amour passée que je pleure, et pas lui. Car lui, il a changé, et il n'est plus celui qui m'aimait. Or sans son amour, je ne peux être heureuse avec lui. Et vu que ça ne se commande pas... CQFD
Le silence radio, ça fait un mois que je le tiens maintenant. mais j'ai décidé d'en faire un plus long, plus définitif. S'il veut me retrouver, si par miracle il retrouve des sentiments pour moi, alors, il saura venir, de lui même, je ne lui ferais pas le plaisir d'être de nouveau à ses pieds.
Biensur, ne vous leurrez pas, il y a un mois, j'étais désesperée, pleurante, voulant mourir, je ne voulais voir personne et entendre personne, je ne voulais que l'appeler et lui écrivais de longues lettres enflammées.
Mais on finit àar guérir. C'est chiant à entendre et on n'y croit pas, mais c'est vrai. On guérit. Même s'il y a des rechutes par moments, on s'en sort.
Bisous et bon courage!