- 17 juin 2012, 11:39
#495489
Bon bah me suis fait larguer il y a dix jours...
J'ai envoyé un message le soir même pour lui dire "qu'il fallait qu'elle se reconstruise, que j'aurais bien aimé pouvoir lui dire qu'on surmonterait cet obstacle à deux, mais que visiblement c'était pas possible et que du coup je me contenterai d'aller bien". Elle m'a répondu simplement en me disant "qu'elle devait s'aimer elle-même avant de pouvoir aimer les autres, qu'elle l'avait appris à nos dépens et qu'elle allait s'y atteler".
Depuis rien. Nada. Aucune nouvelle.
J'avance de mon côté, sans vraiment me soucier du sien. Je suis allé lui ramener ses affaires sans la croiser et j'ai eu quelques brefs contacts (en secret) avec sa soeur qui m'a dit qu'elle était perdue.
Je suis assez fier, j'ai l'impression de ne pas avoir perdu ma dignité. Dans le fond j'aimerais lui dire combien je suis malheureux sans elle, mais à quoi bon lui pleurer dans le gilet? Elle le sait que je l'aime. Elle le sait que je lui manque. Elle le sait que je suis triste. Elle le sait que c'était la femme de ma vie. Non? Du coup je me raccroche à des phrases qui m'aident à avancer..
"Elle a décidé qu'elle n'avait pas besoin de moi pour aller mieux, pourquoi vouloir à tout prix la contacter?"
"La seule recette de l'amour: être deux. Visiblement ce n'est pas le cas. A quoi bon?'"
"Quand l'un se défausse, l'histoire est perdue. A quoi bon vouloir la convaincre?"
"C'est à elle seule de faire un pas dans ma direction. On ne peut pas forcer les gens sur leurs sentiments".
"Si elle ne revient pas, c'est qu'elle n'en a pas envie et qu'il est inutile d'essayer de batailler".
Voilà, peut-être en connaissez-vous d'autres?... C'était ma philosophie et je voulais vous la faire partager, peut-être qu'elle vous aidera à avancer. Dans mon cas, je relis toutes ces phrases à haute voix lorsque je vais mal... Une vision certes fataliste, mais ô combien réaliste non?
Je me sens plutôt fort et courageux et vous devriez essayer, ça fait du bien. Le seul truc qui me rend malheureux c'est de me dire qu'avec cette attitude elle risque de ne jamais réaliser au combien elle m'a rendu malheureux. Mais bon au final, à quoi bon, non?
Qu'en pensez-vous? Voyez-vous des interdits ou des faux pas de ma part?
J'ai envoyé un message le soir même pour lui dire "qu'il fallait qu'elle se reconstruise, que j'aurais bien aimé pouvoir lui dire qu'on surmonterait cet obstacle à deux, mais que visiblement c'était pas possible et que du coup je me contenterai d'aller bien". Elle m'a répondu simplement en me disant "qu'elle devait s'aimer elle-même avant de pouvoir aimer les autres, qu'elle l'avait appris à nos dépens et qu'elle allait s'y atteler".
Depuis rien. Nada. Aucune nouvelle.
J'avance de mon côté, sans vraiment me soucier du sien. Je suis allé lui ramener ses affaires sans la croiser et j'ai eu quelques brefs contacts (en secret) avec sa soeur qui m'a dit qu'elle était perdue.
Je suis assez fier, j'ai l'impression de ne pas avoir perdu ma dignité. Dans le fond j'aimerais lui dire combien je suis malheureux sans elle, mais à quoi bon lui pleurer dans le gilet? Elle le sait que je l'aime. Elle le sait que je lui manque. Elle le sait que je suis triste. Elle le sait que c'était la femme de ma vie. Non? Du coup je me raccroche à des phrases qui m'aident à avancer..
"Elle a décidé qu'elle n'avait pas besoin de moi pour aller mieux, pourquoi vouloir à tout prix la contacter?"
"La seule recette de l'amour: être deux. Visiblement ce n'est pas le cas. A quoi bon?'"
"Quand l'un se défausse, l'histoire est perdue. A quoi bon vouloir la convaincre?"
"C'est à elle seule de faire un pas dans ma direction. On ne peut pas forcer les gens sur leurs sentiments".
"Si elle ne revient pas, c'est qu'elle n'en a pas envie et qu'il est inutile d'essayer de batailler".
Voilà, peut-être en connaissez-vous d'autres?... C'était ma philosophie et je voulais vous la faire partager, peut-être qu'elle vous aidera à avancer. Dans mon cas, je relis toutes ces phrases à haute voix lorsque je vais mal... Une vision certes fataliste, mais ô combien réaliste non?
Je me sens plutôt fort et courageux et vous devriez essayer, ça fait du bien. Le seul truc qui me rend malheureux c'est de me dire qu'avec cette attitude elle risque de ne jamais réaliser au combien elle m'a rendu malheureux. Mais bon au final, à quoi bon, non?
Qu'en pensez-vous? Voyez-vous des interdits ou des faux pas de ma part?