- 15 avr. 2012, 13:02
#462067
PARTIE I, c'était pas gagné.
Lui ( que nous appellerons X dans l'histoire, âgé de 24 ans ) et moi ( 21 ans, bientôt 22 ), rien ne nous destinait à sortir ensemble un jour. Si nous nous sommes rencontrés, c'est uniquement parce qu'il travaillait au même endroit que moi. Il ne représentait pas le type d'hommes que j'appréciais ( aussi bien physiquement que moralement ), et pourtant...
Un de mes collègues, et parallèlement un de ses amis, est un jour venu me demander comment je le trouvais, de façon anodine, comme si de rien était, et moi, je lui ai répondu que ce n'était pas mon type d'hommes. Je lui parlais quelques fois, mais sans plus. Je ne sentais pas la petite étincelle, mais sans que je ne m'en rende compte, elle commençait à naitre en moi. Je lui parlais de plus en plus, et de jour en jour, j'ai compris qu'il n'était pas comme son ami qui avait tâté le terrain pour lui auparavant. Je dois avouer que s'il y avait eut ressemblances sur le comportement je n'aurais pas craqué. X. était réservé, timide, et je trouvais ça très mignon. J'ai commencé à être attirée par lui physiquement, sans que je ne puisse l'expliquer ( j'ai une grosse préférence pour les bruns, il était roux "foncé" ). Des qualités auxquelles je n'avais pas prêté attention par le passé me sont alors apparues. Il était grand, avec une belle carrure et un très beau sourire, mais il se montrait également serviable, poli, attentionné.
PARTIE II, le 1er rendez-vous
C'était le 8 mai dernier. Il m'avait invité chez lui, pour qu'on discute. Ce que nous avons fait. J'ai découvert qu'il recherchait une relation sérieuse, qu'il n'avait jamais eut de chances avec les filles car il avait été plusieurs fois trompé. Il n'accordait donc pas sa confiance avec facilité. De mon côté, je recherchais ça également, mais avec l'appréhension profonde que ça ne durerait que 2 semaines, comme les autres ( oui, je me suis toujours lassée à ce stade ^^ ). J'ai également découvert qu'il fumait, et pas seulement la cigarette. A ce moment-là, je n'imaginais pas encore que ce fait entrainerait par la suite un bon nombre de disputes... Une fois que nous nous sommes confiés chacun l'un à l'autre, il a osé m'embrasser. Avec beaucoup de timidité. Je crois que cela a ajouté un petit quelque chose à la situation. Mes ex étaient toujours des personnes entreprenantes, sûres d'elles, alors forcément...avoir en face de moi quelqu'un que j'intimide, c'est à la fois flatteur et intéressant.
PARTIE III, pas facile de camoufler une relation au travail
Nous étions en couple, ça y est. Nous avions convenu qu'il était préférable de ne pas le dire à nos collègues, car cela ne regardait que nous. Évidemment, ce n'est pas facile de cacher ce genre de choses, et quelques personnes qui nous connaissaient particulièrement l'ont devinés.
Les tensions ont commencés à ce moment-là. Non pas parce que certains étaient au courant, mais parce que les autres, dont une fille courrait autour de X. Je ne supportais pas ça. C'est alors qu'il a décidé de faire croire qu'il avait une petite amie nommée Laura ( moi vous l'aurez compris ) pour sa tranquillité mais surtout pour m'apaiser. Honnêtement, cette fille, j'avais envie de lui éclater la tête contre un mur. Oui je sais, c'est pas très gentil, mais je ne l'avais jamais apprécié, allez savoir pourquoi...Du coup, il était clair que ça ne pouvait pas s'arranger avec le comportement qu'elle adoptait.
PARTIE IV, fumette et jalousie
Au bout d'un mois ou 2 ( je m'en souviens pas précisément ), les choses se sont corsées. Il accordait bien trop de temps à ses amis ( tous célibataires, je crois que c'est important de le signaler, sauf un, et tous fumeurs ), je lui en ai donc parlé. Pour explication, il m'a dit qu'il était célibataire depuis longtemps et qu'il ne pouvait pas se remettre dans le bain aussi rapidement. Il lui fallait un temps d'adaptation. Soit. Je le comprenais, en espérant que cela aille vite.
PARTIE IV bis, le côté obscur de la force
Le cannab*s, le sh*t, tout ça ne représentait pas un danger pour moi jusqu'à ce je me rende compte de la dépendance qu'avait X pour ça et que son comportement se modulait en fonction de sa consommation. Il devenait franchement exécrable lorsqu'il ne fumait pas. De mon côté, j'étais incapable de me montrer compréhensive. Je ne savais pas ce qu'il vivait mais il est clair que je ne voulais pas vivre ça éternellement à ses côtés...
PARTIE V, ruptures en série
En 11 mois, il a du me larguer facile, 4-5 fois. Dès que quelque chose n'allait pas, il voulait tout arrêter. Pourtant, lorsque je revenais, il me reprenait. Avec le recul, je crois que cela flattait beaucoup son égo. Qu'une fille court après soit de cette façon, ça doit être certainement très agréable.
J'avoue ne pas avoir un caractère facile à vivre. Je suis jalouse, rancunière, têtue et j'aime que les choses se passent comme je le veux.
Bref, je revenais tout le temps en pleurs, incapable de m'imaginer vivre sans lui, et ça repartait de nouveau...Tout allait bien pendant quelques semaines, puis les embrouilles revenaient.
PARTIE VI, cette fois, ce fut la bonne
Un weekend, il s'est amusé à ne contacter aucun de ses amis. Avec moi, c'était tendu suite à une dispute, et même si je lui disais au téléphone que je voulais le voir, cela n'avait aucun impact sur lui. Il s'est alors rendu compte qu'aucun ne l'avait appelés, alors qu'ils étaient sortis etc. Le lundi, il m'a appelé et a sous-entendu que c'était de ma faute. Il m'avait souvent rabâché qu'il ne se forçait jamais à faire les choses, du coup, je lui ai rappelé sa propre phrase ( il est vrai que les 2 précédentes semaines il était venu tous les soirs dormir chez moi, et depuis que je lui avais dit que ça m'embêtait qu'il fréquente plus ses amis que moi, il avait fait d'énormes efforts ). Le soir même nous nous sommes rappelés, et là, le clash. Dispute, pleurs. Il voulait absolument me voir, mais j'ai refusé. A quoi cela servirait-il? J'allais encore pleuré devant lui, alors non merci.
J'étais rodée de mon côté, alors le lendemain, quand je lui ai envoyé un sms pour lui demander la confirmation que c'était bel et bien terminé, et qu'il m'a répondu oui ( il m'a également dit sur ce sms qu'il n'allait pas bien, il avait en effet perdu son travail, mais il le voulait, je précise, arrivant toujours en retard, ne supportant pas son patron...et qu'il ne voulait pas que ça se répercute sur moi, que nous n'avions pas la même vision des choses et que c'était dommage, que si nous devions nous revoir, nous nous reverrions etc etc ), j'ai été incapable de pleurer pour lui. J'avais versé bien trop de larmes en son honneur. J'ai pris ses affaires que j'ai mises dans une enveloppe, puis avec un ami je me suis rendu jusqu'à chez lui. Évidemment, il est sortit au même instant de chez lui. Il a été choqué je crois, il ne s'attendait pas à me voir là. Je lui ai demandé ou je devais déposer ses affaires, puis sans même attendre, je les ai posés sur sa boite à lettres avant de partir sans me retourner.
CONCLUSION
Cela fait donc presque 3 semaines que je n'ai pas de ses nouvelles. J'ai également oublié de préciser que c'est un garçon très fier et que 2 semaines avant de me larguer, il avait enfin réussit à sortir les mots magiques sans que je ne demande quoi que se soit. Ca c'était pour la petite note logique
J'avais donc les avis des personnes qui auront eut le courage de lire mon pâté ^^ Si vous avez des questions n'hésitez pas
Lui ( que nous appellerons X dans l'histoire, âgé de 24 ans ) et moi ( 21 ans, bientôt 22 ), rien ne nous destinait à sortir ensemble un jour. Si nous nous sommes rencontrés, c'est uniquement parce qu'il travaillait au même endroit que moi. Il ne représentait pas le type d'hommes que j'appréciais ( aussi bien physiquement que moralement ), et pourtant...
Un de mes collègues, et parallèlement un de ses amis, est un jour venu me demander comment je le trouvais, de façon anodine, comme si de rien était, et moi, je lui ai répondu que ce n'était pas mon type d'hommes. Je lui parlais quelques fois, mais sans plus. Je ne sentais pas la petite étincelle, mais sans que je ne m'en rende compte, elle commençait à naitre en moi. Je lui parlais de plus en plus, et de jour en jour, j'ai compris qu'il n'était pas comme son ami qui avait tâté le terrain pour lui auparavant. Je dois avouer que s'il y avait eut ressemblances sur le comportement je n'aurais pas craqué. X. était réservé, timide, et je trouvais ça très mignon. J'ai commencé à être attirée par lui physiquement, sans que je ne puisse l'expliquer ( j'ai une grosse préférence pour les bruns, il était roux "foncé" ). Des qualités auxquelles je n'avais pas prêté attention par le passé me sont alors apparues. Il était grand, avec une belle carrure et un très beau sourire, mais il se montrait également serviable, poli, attentionné.
PARTIE II, le 1er rendez-vous
C'était le 8 mai dernier. Il m'avait invité chez lui, pour qu'on discute. Ce que nous avons fait. J'ai découvert qu'il recherchait une relation sérieuse, qu'il n'avait jamais eut de chances avec les filles car il avait été plusieurs fois trompé. Il n'accordait donc pas sa confiance avec facilité. De mon côté, je recherchais ça également, mais avec l'appréhension profonde que ça ne durerait que 2 semaines, comme les autres ( oui, je me suis toujours lassée à ce stade ^^ ). J'ai également découvert qu'il fumait, et pas seulement la cigarette. A ce moment-là, je n'imaginais pas encore que ce fait entrainerait par la suite un bon nombre de disputes... Une fois que nous nous sommes confiés chacun l'un à l'autre, il a osé m'embrasser. Avec beaucoup de timidité. Je crois que cela a ajouté un petit quelque chose à la situation. Mes ex étaient toujours des personnes entreprenantes, sûres d'elles, alors forcément...avoir en face de moi quelqu'un que j'intimide, c'est à la fois flatteur et intéressant.
PARTIE III, pas facile de camoufler une relation au travail
Nous étions en couple, ça y est. Nous avions convenu qu'il était préférable de ne pas le dire à nos collègues, car cela ne regardait que nous. Évidemment, ce n'est pas facile de cacher ce genre de choses, et quelques personnes qui nous connaissaient particulièrement l'ont devinés.
Les tensions ont commencés à ce moment-là. Non pas parce que certains étaient au courant, mais parce que les autres, dont une fille courrait autour de X. Je ne supportais pas ça. C'est alors qu'il a décidé de faire croire qu'il avait une petite amie nommée Laura ( moi vous l'aurez compris ) pour sa tranquillité mais surtout pour m'apaiser. Honnêtement, cette fille, j'avais envie de lui éclater la tête contre un mur. Oui je sais, c'est pas très gentil, mais je ne l'avais jamais apprécié, allez savoir pourquoi...Du coup, il était clair que ça ne pouvait pas s'arranger avec le comportement qu'elle adoptait.
PARTIE IV, fumette et jalousie
Au bout d'un mois ou 2 ( je m'en souviens pas précisément ), les choses se sont corsées. Il accordait bien trop de temps à ses amis ( tous célibataires, je crois que c'est important de le signaler, sauf un, et tous fumeurs ), je lui en ai donc parlé. Pour explication, il m'a dit qu'il était célibataire depuis longtemps et qu'il ne pouvait pas se remettre dans le bain aussi rapidement. Il lui fallait un temps d'adaptation. Soit. Je le comprenais, en espérant que cela aille vite.
PARTIE IV bis, le côté obscur de la force
Le cannab*s, le sh*t, tout ça ne représentait pas un danger pour moi jusqu'à ce je me rende compte de la dépendance qu'avait X pour ça et que son comportement se modulait en fonction de sa consommation. Il devenait franchement exécrable lorsqu'il ne fumait pas. De mon côté, j'étais incapable de me montrer compréhensive. Je ne savais pas ce qu'il vivait mais il est clair que je ne voulais pas vivre ça éternellement à ses côtés...
PARTIE V, ruptures en série
En 11 mois, il a du me larguer facile, 4-5 fois. Dès que quelque chose n'allait pas, il voulait tout arrêter. Pourtant, lorsque je revenais, il me reprenait. Avec le recul, je crois que cela flattait beaucoup son égo. Qu'une fille court après soit de cette façon, ça doit être certainement très agréable.
J'avoue ne pas avoir un caractère facile à vivre. Je suis jalouse, rancunière, têtue et j'aime que les choses se passent comme je le veux.
Bref, je revenais tout le temps en pleurs, incapable de m'imaginer vivre sans lui, et ça repartait de nouveau...Tout allait bien pendant quelques semaines, puis les embrouilles revenaient.
PARTIE VI, cette fois, ce fut la bonne
Un weekend, il s'est amusé à ne contacter aucun de ses amis. Avec moi, c'était tendu suite à une dispute, et même si je lui disais au téléphone que je voulais le voir, cela n'avait aucun impact sur lui. Il s'est alors rendu compte qu'aucun ne l'avait appelés, alors qu'ils étaient sortis etc. Le lundi, il m'a appelé et a sous-entendu que c'était de ma faute. Il m'avait souvent rabâché qu'il ne se forçait jamais à faire les choses, du coup, je lui ai rappelé sa propre phrase ( il est vrai que les 2 précédentes semaines il était venu tous les soirs dormir chez moi, et depuis que je lui avais dit que ça m'embêtait qu'il fréquente plus ses amis que moi, il avait fait d'énormes efforts ). Le soir même nous nous sommes rappelés, et là, le clash. Dispute, pleurs. Il voulait absolument me voir, mais j'ai refusé. A quoi cela servirait-il? J'allais encore pleuré devant lui, alors non merci.
J'étais rodée de mon côté, alors le lendemain, quand je lui ai envoyé un sms pour lui demander la confirmation que c'était bel et bien terminé, et qu'il m'a répondu oui ( il m'a également dit sur ce sms qu'il n'allait pas bien, il avait en effet perdu son travail, mais il le voulait, je précise, arrivant toujours en retard, ne supportant pas son patron...et qu'il ne voulait pas que ça se répercute sur moi, que nous n'avions pas la même vision des choses et que c'était dommage, que si nous devions nous revoir, nous nous reverrions etc etc ), j'ai été incapable de pleurer pour lui. J'avais versé bien trop de larmes en son honneur. J'ai pris ses affaires que j'ai mises dans une enveloppe, puis avec un ami je me suis rendu jusqu'à chez lui. Évidemment, il est sortit au même instant de chez lui. Il a été choqué je crois, il ne s'attendait pas à me voir là. Je lui ai demandé ou je devais déposer ses affaires, puis sans même attendre, je les ai posés sur sa boite à lettres avant de partir sans me retourner.
CONCLUSION
Cela fait donc presque 3 semaines que je n'ai pas de ses nouvelles. J'ai également oublié de préciser que c'est un garçon très fier et que 2 semaines avant de me larguer, il avait enfin réussit à sortir les mots magiques sans que je ne demande quoi que se soit. Ca c'était pour la petite note logique

J'avais donc les avis des personnes qui auront eut le courage de lire mon pâté ^^ Si vous avez des questions n'hésitez pas
