- 31 déc. 2008, 22:06
#52029
je l'aime et pourtant j'ai tout fait pour la perdre...
je suis obligé de passer par là pour en parler, étant donné que pour elle, me parler n'est plus quelques choses de concevable.
J'ai appris même si je m'en doutais depuis longtemps qu'elle refuses de me pardonner, soit c'est son choix, je ne peux l'obliger à penser autre chose, encore moins à faire comme si il ne s'était rien passé.
Je vais tenter de dire ce que moi je ressens à l'heure actuelle. Je suis toujours à la ramasse, j'ai comme l'impression de vivre un mauvais rêve dans lequel j'ai le rôle du méchant, même si je ne voulais pas l'être.
Je suis désolé de l'avoir autant déçu, et croyez le ou non, je suis sûrement plus déçu qu'elle de ce que j'ai fait.
A un moment, elle voulait qu'on redevienne amis, j'ai accepté pour quelques parts ne pas la perdre, pensant que si j'avais dit non je ne veux pas, elle m'aurait dit ok donc je te quitte. Peu être aurait ce été la meilleur solution pour nous deux, même si je l'aurai mal vécu à ce moment là. Mais ce qui est fait est fait.
Durant ces longs mois, j'aurais du la laisser tranquille, mais de peur de la perdre, parfois, je glissais un petit bisou par ci, un autre par là, et quelques fois je me risquais à demander si elle m'aimait encore et si telle pensait encore à nous deux, questions auxquelles je n'obtenais jamais de réponses à part des « j'sais pas, ou des je ne veux pas entendre ça pour le moment », réponses qui moi, m'attristaient, mais que je n'osais pas approfondir, toujours de peur d'être trop « chiant » et à force de réellement la perdre. Mais dans un couple, l'amour ça se partage à deux, j'aurai déjà du voir qu'elle ne voulait peu être plus rien partager avec moi...
Entre temps, rien ne s'améliorait pour moi : toujours pas de travail en vue, toujours pas de formation, un temps pourri qui empêche de sortir se changer les idées (je déteste l'hiver), une nuit précoce, une santé pas fameuse, encore des kilos perdus passant d'une taille 38 à 36 en à peine 2 mois, et je continue encore à descendre, pas d'amis dans les environs, mais dans cette univers pour moi qui devenait jour après jour de plus en plus morose, lui parler me réchauffait le coeur, même si elle ne disait rien qui allait dans le sens que j'aurai aimé, le son de sa voix me suffisait à me regonfler, je me disais malgré tout : même si rien ne marche, je continue à y croire, à me battre pour être avec elle quand elle sera elle aussi sortie de ses ennuis, et malgré mon mal être, j'avançais en pensant qu'à un moment ou l'autre quelques choses allait bouger, mais je ne suis pas non plus en fer, et à force de tout garder pour moi, de faire semblant, j'ai commencé à craquer, à me fissurer, à ressentir de la peur en pensant : et si jamais elle réussissait elle à s'en sortir alors que moi je « galèrerai » encore, comment ça se passerait?
J'ai voulu appeler, insistant ce fameux week end avant l'expo de la dernière chance pour elle (elle a une activité d'artisan), mais j'en avais besoin, je voulais être rassuré, enfin avoir une réponse pour arrêter de chercher en me faisant des films, mais personne ne m'a répondu le samedi, je ne me suis pas trop inquiété à ce moment là, mais j'ai continué à me poser des tonnes de questions, ressassant le passé, imaginant tout et n'importe quoi, laissant la peur que j'avais d'être abandonné par celle que j'aime prendre le dessus sur la logique. Une heure à peine de sommeil, et rebelote, de nouveau à me poser des questions, nouvelle appel vers 11h30 le dimanche, toujours pas de réponses, là j'ai commencé à m'inquiéter, sachant que le lendemain une expo importante allait commencer; et sans savoir comment ou pourquoi, je me suis senti d'un coup vide, rappelant plusieurs fois dans l'après midi. Je ne ressentais plus rien, à part de la peur. Peur de quoi, je ne sais pas, en dernier recours, j'ai réussi à appeler des amis qui tentèrent de me rassurer, mais la peur était toujours là, et malgré tout, j'ai réessayé d'appeler une dernière fois à 22h. Quelques minutes après, je recevais un texto : premier reflex, le soulagement, elle allait bien, elle n'avait pas eut d'accident. Mais à la lecture de ce sms, la joie laissa place à une forme de colère qui couvait depuis longtemps déjà. Une colère pas uniquement dirigée contre elle, mais contre tout ce qui échouait pour moi, contre tous mes échecs, une colère contre moi-même surtout. Elle était la tout le week-end, mais refusait simplement de me parler, considérant que mon texto de vendredi ou je lui envoyait des bisous l'avait gêné et que me parler même pour me dire je ne veux pas te parler je ne le méritais pas. Moralité, d'elle dont j'attendais d'être rassuré, j'ai reçu la dernière claque suffisante pour m'achever et me faire comprendre que je l'avais perdu, et la tout s'est enchaîné très vite : un premier appel avec un message sur son répondeur ou je lui demandai de ne pas se comporter « comme une merde », suivi d'une réponse toujours par texto de sa part pour me dire « vue que je suis une merde je te parlerai pas » et la me sentant à la fois énervé de ne pas avoir droit à une explication de vive voix, et dégoûté d'être traité comme si je n'avais aucune valeur à ses yeux, je me suis laisser emporté et j'ai dit des choses sûrement horrible mais que j'ai oublié, balançant des choses que je ne pensais pas, que je voulais sûrement simplement vexante et lui faire ressentir à quel point j'étais dégoûté de sa façon de me traiter, mais ma colère à largement dépassé ce stade, mêlant mon passé à la situation que je vivais, revoyant là une situation similaire déjà vécue, à mes problèmes de travail ect. Elle a pris a ce moment là toutes mes peurs et mes frustrations de plein fouet, et suite à cela, je me sentais vider, fatigué comme après un combat de boxe en 12 rounds, mais je n'étais pas pour autant apaisé, sachant que je venais d'insulté celle que j'aimais, allait elle me pardonner ça?
Par la suite j'ai bien compris que non, vue qu'elle a tout pris au premier degré pour elle pensant que ces insultes étaient pour elle personnellement, sans voir que de rien, j'ai péter un câble n'arrivant plus à ce moment là à me maîtriser, un ras le bol général m'ayant envahi, je pensai qu'un abandon de plus, un nouvel échec c'était trop pour moi.
Elle peut ne pas oublier cela je peux le comprendre, mais refuser de me pardonner et m'ignorer, considérant que je ne vaut rien, ça c'est ce qui fait le plus mal. Si j'étais coutumier du fait, je comprendrais, mais tous ceux qui me connaissent savent que je suis loin d'être quelqu'un de méchant, mais là, je me suis laissé dirigé par la peur d'une fois de plus tout perdre alors qu'à la base je voulais juste être rassuré ! Elle a du avoir peur pour elle, pour sa fille, pensant que je pouvait être comme ça plus souvent, ce qui n'est pas vrai, je suis très loin d'être agressif, je ne communique pas assez sur mes problèmes, sur ce qui me rends malade ou sur ce qui me gêne. Des problèmes de plus que je devrais réussir à régler pour moi comme pour les autres.
En quelques mots, en quelques minutes, j'ai perdu celle que j'aime. Je lui avais juré de ne jamais lui faire de mal, pour qu'elle oublie ceux qui avant moi avait abîmé la notion de couple, suite à quoi elle avait mis tout un tas de barrières pour se protéger elle et sa fille. Ce fut merveilleux les premiers mois, j'ai appris à connaître sa fille, à me faire aimer d'elle, j'ai rencontrer sa famille ou j'aurai pu sûrement très bien m'intégrer, mais à un moment sans boulot, sans moyen de subvenir à une vie de couple, j'ai du refuser de vivre avec elle pour ne pas être « assister » par celle que j'aime, prétextant qu'on était trop différent pour se supporter : quelles conneries on peut dire pour éviter de parler des vrai problèmes, la honte d'avouer que je ne voulais pas dépendre d'elle m'a poussé à lui mentir, une erreur de plus sûrement. Par la suite j'ai appris que vivre avec elle l'aurait aidé pour sa fille, qu'elle aurait eut moins a payer de garderie ou de cantine, mais ma présence aurait augmenter d'autres dépenses, je suis adulte, je mange plus, et je me serrai vite senti de trop. Ça ne m'empêchait pas de chercher du travail dans sa région malgré tout, fournissant cv et lettres de motivations à son adresse mais apparemment, jamais personne ne m'a répondu, puisqu'elle ne m'a jamais fait part d'un courrier.
A trop chercher à ne plus recommencer mes erreurs du passé, je n'ai pas vécu ce que j'aurai du avec elle, les début furent merveilleux, la fin fut tragique, et si vous êtes dans une situation de détresse, que votre amie n'est pas proche de vous, si elle vous demande de l'air, surtout, laissez la, et ne vous repliez pas sur vous même, ça serait créer une véritable bombe à retardement, je sais de quoi je parle, la mienne a explosé sur celle pour qui je fondais tant d'espoir d'avoir enfin une vie commune heureuse, parce que oui à un moment j'aurais vécu avec elle, au moment ou je me serai enfin relevé de mes problèmes, ou ma peur de l'échec aurait été dominé, et qu'on aurait retrouvé tous les deux le goût de vivre comme on l'était au début de notre relation.
Je ne cherche pas de compassion, c'était juste un moyen à la fois de partager ce qu'il ne faut pas faire dans certains cas, une forme de thérapie que je voulais nécessaire, j'ai sûrement oublié des détails, mais l'essentiel est là.
Je continuerai à l'aimer toute ma vie, qu'elle soit longue ou courte, et je continuerai également à vivre avec ce sentiment d'un joli gâchis qui nous a sûrement privé d'une vie heureuse, car j'avais énormément d'amour, sûrement trop même à lui donner.
Je ne veux plus jamais aimer quelqu'un comme je l'aime, ça fait trop mal quand ça s'arrête, quelques soit la raison. Je sais qu'attendre ne sers à rien, que jamais elle ne me pardonnera, quoique je puisse faire, elle n'a plus confiance en moi, et me battre comme je le fais, avoir cherché à toujours lui montrer que j'étais là pour elle, même si j'ai sûrement été lourd parfois aurait du lui montrer que je tient plus que tout à elle, sinon jamais je n'aurais regretté mes paroles malheureuses. Le passé est le passé, elle croit sûrement que ce que j'ai fait ne me sert pas de leçon, que je ne vaut pas mieux que ses échecs précédents, libre à elle de le croire, mais elle oublie que je ne suis pas eux, qu'elle a osé avec moi se libérer elle qui se croyait coincée sur certains points, elle a juste agi comme moi en comparant notre histoire avec le passé...
depuis elle m'a effacer de son msn, et veut tourner la page... dur dur à accepter bien sur...
je suis obligé de passer par là pour en parler, étant donné que pour elle, me parler n'est plus quelques choses de concevable.
J'ai appris même si je m'en doutais depuis longtemps qu'elle refuses de me pardonner, soit c'est son choix, je ne peux l'obliger à penser autre chose, encore moins à faire comme si il ne s'était rien passé.
Je vais tenter de dire ce que moi je ressens à l'heure actuelle. Je suis toujours à la ramasse, j'ai comme l'impression de vivre un mauvais rêve dans lequel j'ai le rôle du méchant, même si je ne voulais pas l'être.
Je suis désolé de l'avoir autant déçu, et croyez le ou non, je suis sûrement plus déçu qu'elle de ce que j'ai fait.
A un moment, elle voulait qu'on redevienne amis, j'ai accepté pour quelques parts ne pas la perdre, pensant que si j'avais dit non je ne veux pas, elle m'aurait dit ok donc je te quitte. Peu être aurait ce été la meilleur solution pour nous deux, même si je l'aurai mal vécu à ce moment là. Mais ce qui est fait est fait.
Durant ces longs mois, j'aurais du la laisser tranquille, mais de peur de la perdre, parfois, je glissais un petit bisou par ci, un autre par là, et quelques fois je me risquais à demander si elle m'aimait encore et si telle pensait encore à nous deux, questions auxquelles je n'obtenais jamais de réponses à part des « j'sais pas, ou des je ne veux pas entendre ça pour le moment », réponses qui moi, m'attristaient, mais que je n'osais pas approfondir, toujours de peur d'être trop « chiant » et à force de réellement la perdre. Mais dans un couple, l'amour ça se partage à deux, j'aurai déjà du voir qu'elle ne voulait peu être plus rien partager avec moi...
Entre temps, rien ne s'améliorait pour moi : toujours pas de travail en vue, toujours pas de formation, un temps pourri qui empêche de sortir se changer les idées (je déteste l'hiver), une nuit précoce, une santé pas fameuse, encore des kilos perdus passant d'une taille 38 à 36 en à peine 2 mois, et je continue encore à descendre, pas d'amis dans les environs, mais dans cette univers pour moi qui devenait jour après jour de plus en plus morose, lui parler me réchauffait le coeur, même si elle ne disait rien qui allait dans le sens que j'aurai aimé, le son de sa voix me suffisait à me regonfler, je me disais malgré tout : même si rien ne marche, je continue à y croire, à me battre pour être avec elle quand elle sera elle aussi sortie de ses ennuis, et malgré mon mal être, j'avançais en pensant qu'à un moment ou l'autre quelques choses allait bouger, mais je ne suis pas non plus en fer, et à force de tout garder pour moi, de faire semblant, j'ai commencé à craquer, à me fissurer, à ressentir de la peur en pensant : et si jamais elle réussissait elle à s'en sortir alors que moi je « galèrerai » encore, comment ça se passerait?
J'ai voulu appeler, insistant ce fameux week end avant l'expo de la dernière chance pour elle (elle a une activité d'artisan), mais j'en avais besoin, je voulais être rassuré, enfin avoir une réponse pour arrêter de chercher en me faisant des films, mais personne ne m'a répondu le samedi, je ne me suis pas trop inquiété à ce moment là, mais j'ai continué à me poser des tonnes de questions, ressassant le passé, imaginant tout et n'importe quoi, laissant la peur que j'avais d'être abandonné par celle que j'aime prendre le dessus sur la logique. Une heure à peine de sommeil, et rebelote, de nouveau à me poser des questions, nouvelle appel vers 11h30 le dimanche, toujours pas de réponses, là j'ai commencé à m'inquiéter, sachant que le lendemain une expo importante allait commencer; et sans savoir comment ou pourquoi, je me suis senti d'un coup vide, rappelant plusieurs fois dans l'après midi. Je ne ressentais plus rien, à part de la peur. Peur de quoi, je ne sais pas, en dernier recours, j'ai réussi à appeler des amis qui tentèrent de me rassurer, mais la peur était toujours là, et malgré tout, j'ai réessayé d'appeler une dernière fois à 22h. Quelques minutes après, je recevais un texto : premier reflex, le soulagement, elle allait bien, elle n'avait pas eut d'accident. Mais à la lecture de ce sms, la joie laissa place à une forme de colère qui couvait depuis longtemps déjà. Une colère pas uniquement dirigée contre elle, mais contre tout ce qui échouait pour moi, contre tous mes échecs, une colère contre moi-même surtout. Elle était la tout le week-end, mais refusait simplement de me parler, considérant que mon texto de vendredi ou je lui envoyait des bisous l'avait gêné et que me parler même pour me dire je ne veux pas te parler je ne le méritais pas. Moralité, d'elle dont j'attendais d'être rassuré, j'ai reçu la dernière claque suffisante pour m'achever et me faire comprendre que je l'avais perdu, et la tout s'est enchaîné très vite : un premier appel avec un message sur son répondeur ou je lui demandai de ne pas se comporter « comme une merde », suivi d'une réponse toujours par texto de sa part pour me dire « vue que je suis une merde je te parlerai pas » et la me sentant à la fois énervé de ne pas avoir droit à une explication de vive voix, et dégoûté d'être traité comme si je n'avais aucune valeur à ses yeux, je me suis laisser emporté et j'ai dit des choses sûrement horrible mais que j'ai oublié, balançant des choses que je ne pensais pas, que je voulais sûrement simplement vexante et lui faire ressentir à quel point j'étais dégoûté de sa façon de me traiter, mais ma colère à largement dépassé ce stade, mêlant mon passé à la situation que je vivais, revoyant là une situation similaire déjà vécue, à mes problèmes de travail ect. Elle a pris a ce moment là toutes mes peurs et mes frustrations de plein fouet, et suite à cela, je me sentais vider, fatigué comme après un combat de boxe en 12 rounds, mais je n'étais pas pour autant apaisé, sachant que je venais d'insulté celle que j'aimais, allait elle me pardonner ça?
Par la suite j'ai bien compris que non, vue qu'elle a tout pris au premier degré pour elle pensant que ces insultes étaient pour elle personnellement, sans voir que de rien, j'ai péter un câble n'arrivant plus à ce moment là à me maîtriser, un ras le bol général m'ayant envahi, je pensai qu'un abandon de plus, un nouvel échec c'était trop pour moi.
Elle peut ne pas oublier cela je peux le comprendre, mais refuser de me pardonner et m'ignorer, considérant que je ne vaut rien, ça c'est ce qui fait le plus mal. Si j'étais coutumier du fait, je comprendrais, mais tous ceux qui me connaissent savent que je suis loin d'être quelqu'un de méchant, mais là, je me suis laissé dirigé par la peur d'une fois de plus tout perdre alors qu'à la base je voulais juste être rassuré ! Elle a du avoir peur pour elle, pour sa fille, pensant que je pouvait être comme ça plus souvent, ce qui n'est pas vrai, je suis très loin d'être agressif, je ne communique pas assez sur mes problèmes, sur ce qui me rends malade ou sur ce qui me gêne. Des problèmes de plus que je devrais réussir à régler pour moi comme pour les autres.
En quelques mots, en quelques minutes, j'ai perdu celle que j'aime. Je lui avais juré de ne jamais lui faire de mal, pour qu'elle oublie ceux qui avant moi avait abîmé la notion de couple, suite à quoi elle avait mis tout un tas de barrières pour se protéger elle et sa fille. Ce fut merveilleux les premiers mois, j'ai appris à connaître sa fille, à me faire aimer d'elle, j'ai rencontrer sa famille ou j'aurai pu sûrement très bien m'intégrer, mais à un moment sans boulot, sans moyen de subvenir à une vie de couple, j'ai du refuser de vivre avec elle pour ne pas être « assister » par celle que j'aime, prétextant qu'on était trop différent pour se supporter : quelles conneries on peut dire pour éviter de parler des vrai problèmes, la honte d'avouer que je ne voulais pas dépendre d'elle m'a poussé à lui mentir, une erreur de plus sûrement. Par la suite j'ai appris que vivre avec elle l'aurait aidé pour sa fille, qu'elle aurait eut moins a payer de garderie ou de cantine, mais ma présence aurait augmenter d'autres dépenses, je suis adulte, je mange plus, et je me serrai vite senti de trop. Ça ne m'empêchait pas de chercher du travail dans sa région malgré tout, fournissant cv et lettres de motivations à son adresse mais apparemment, jamais personne ne m'a répondu, puisqu'elle ne m'a jamais fait part d'un courrier.
A trop chercher à ne plus recommencer mes erreurs du passé, je n'ai pas vécu ce que j'aurai du avec elle, les début furent merveilleux, la fin fut tragique, et si vous êtes dans une situation de détresse, que votre amie n'est pas proche de vous, si elle vous demande de l'air, surtout, laissez la, et ne vous repliez pas sur vous même, ça serait créer une véritable bombe à retardement, je sais de quoi je parle, la mienne a explosé sur celle pour qui je fondais tant d'espoir d'avoir enfin une vie commune heureuse, parce que oui à un moment j'aurais vécu avec elle, au moment ou je me serai enfin relevé de mes problèmes, ou ma peur de l'échec aurait été dominé, et qu'on aurait retrouvé tous les deux le goût de vivre comme on l'était au début de notre relation.
Je ne cherche pas de compassion, c'était juste un moyen à la fois de partager ce qu'il ne faut pas faire dans certains cas, une forme de thérapie que je voulais nécessaire, j'ai sûrement oublié des détails, mais l'essentiel est là.
Je continuerai à l'aimer toute ma vie, qu'elle soit longue ou courte, et je continuerai également à vivre avec ce sentiment d'un joli gâchis qui nous a sûrement privé d'une vie heureuse, car j'avais énormément d'amour, sûrement trop même à lui donner.
Je ne veux plus jamais aimer quelqu'un comme je l'aime, ça fait trop mal quand ça s'arrête, quelques soit la raison. Je sais qu'attendre ne sers à rien, que jamais elle ne me pardonnera, quoique je puisse faire, elle n'a plus confiance en moi, et me battre comme je le fais, avoir cherché à toujours lui montrer que j'étais là pour elle, même si j'ai sûrement été lourd parfois aurait du lui montrer que je tient plus que tout à elle, sinon jamais je n'aurais regretté mes paroles malheureuses. Le passé est le passé, elle croit sûrement que ce que j'ai fait ne me sert pas de leçon, que je ne vaut pas mieux que ses échecs précédents, libre à elle de le croire, mais elle oublie que je ne suis pas eux, qu'elle a osé avec moi se libérer elle qui se croyait coincée sur certains points, elle a juste agi comme moi en comparant notre histoire avec le passé...
depuis elle m'a effacer de son msn, et veut tourner la page... dur dur à accepter bien sur...