- 13 juin 2011, 13:54
#339891
Bonjour je suis José, je détaille mon histoire, si cela pouvait intéresser quelqu'un et me donner des avis ou des conseils... Merci d'avance.
Je suis José 47 ans bienôt, et visiblement toujours aussi pret à croire en l'amour comme un petit garcon, croire en tout et n'importe quoi..
Je me lance : il y a un peu plus de deux moi j'ai fait connaissance par une site de rencontres de Pascale. D'abord par msn, puis je suis allé la voir à 3 heures de voiture de chez moi...
Elle est, cela a son importance, mon opposée tout en étant lion comme moi. Elle introvertie, solitaire, taciturne, indépendante, pas romantique pour deux sous, froide, distante, sévère et austère. Moi, enjoué, rieur, taquin, extraverti, romantique à l'excès, bohème, artiste...
Donc j'etais prévenu! Malgré tout ca, ca a marché plein pot, pendant 6 semaines. A tous les niveaux, elle ; si fermée, m'a vite dit qu'elle m'aimait, que je lui manquais... et tout le toutim...
J'étais aux anges à cette époque là.
Comme c'est souvent le cas, le premier week end on a parlé de notre vie passée, amoureuse, et je pense qu'on s'est tout dit ou presque. Elle m'a parlé de son ex mari avec qui elle a de très bonnes relations, d'un ami qu'elle aidait car empêtré dans sa vie privée et dans son boulot, et un certain K. ami de longue date. Ce K. elle m'en a parlé juste comme d'un ami, qui passait son temps à passer d'un lit à l'autre, sans meme connaitre le prénom de ses partenaires. Jusque là, pas de problème, moi j'ai passé l'age mais je ne juge pas et tant mieux si c'est un bon ami.
Deux week ends plus tard elle m'a dit elle aussi etre tombée 2 ou trois fois dans ses bras, juste parce qu'elle en avait besoin et qu'il était là. pas de problème, ca arrive même si ca correspondait peu à ce qu'elle m'avait dit d'elle, je relève ce détail et aussi le fait que la première fois elle l'avait occulté, omission je suppose puisque pas important dans sa vie.
Je suis allé chez elle tous les week ends, et chose très importante qu'elle ne faisait jamais avant elle a décidé de me présenter ses enfants car elle croyait que nous c'etait important. Cela se passe très bien, ils m'adoptent et meme m'aiment, tout va bien.
Le 6 ème week end, une émission TV sur le sida lui fait me demander ou j'en étais à ce niveau là, je lui dis dernier test en janvier, tout va bien. Et je demande la meme chose... D'une facon très détachée elle me dit qu'à part avec K. elle s'etait toujours protégée.
Je reste un peu sonné pensant qu'il revient souvent et peu à peu dans la conversation. Je passe une mauvaise soirée et le week end se finit.
Puis toute la belle machine s'enraye ! Le fameux K. doit venir passer une soirée et nuit chez elle pour le dépanner, dix jours plus tard. Je lui fais part de ma souffrance mais pas de mon refus bien sur, ni meme de ma jalousie mais de mon mal etre, ca commencait à faire beaucoup... Tout en lui assurant que je lui faisais entièrement confiance, mais que pendant cette soirée là à 300 bornes je serai mal.
S'en suit une suite de mails un peu virulents, la veille du passage de K. mais pendant la soirée avec lui elle me rassure, on se téléphone tout va bien.
Le week end suivant elle me propose d'aller passer le week end chez elle comme d'hab, je lui dis qu'il faut qu'on oublie la "crise" concernant K. que je me calme et que je suis redevenu comme avant, aimant et confiant.
Le week end se passe mal, elle est froide, distante, me dit que c'est plus fort qu'elle, que ca va lui passer mais elle sait ni quand ni comment, qu'elle m'avait prévenu que c'est ca période "huitre"... Je suis triste mais je m'y fais... Que quelque chose s'était cassé à cause de moi.
Je ne reconnais pas ma Pascale...
Le week end qui suit c'est le pont de l'ascension, et on doit passer les quatre jours ensemble chez elle.
J'arrive jeudi soir, et moi frais comme un gardon, pensant que tout va bien, je repasse cette soirée et celle du vendredi avec une Pascale froide, distante, indifférente.
Le samedi matin je lui en fais part, elle comprend mon maletre, et d'un commun accord et dans les larmes nous décidons que je rentre chez moi, que c'est un mauvais passage, que je souffre de la voir si distante et qu'elle culpabilise de me voir souffrir ainsi. Toujours pas de dispute, on se quitte devant chez elle, je pleure abondamment et je lui dis que j'ai peur de ne plus la revoir (elle ne pleure jamais), mais je le concois, elle me rassure dans ses bras, me dit que ca va aller, qu'elle ne sait pas comment elle va se "rouvrir" mais que je ne sois pas inquiet, qu'elle m'aime, et qu'elle ne va pas ne plus m'aimer d'un coup tellement c'est rare chez elle....
Je finis le week end chez moi et là d'après ses dires, je deviens, intrusif, excessif, je la harcèle de textos... Je voulais moi juste savoir ou elle en était et etre rassuré...
Quelques mails mal interprétés et lundi elle m'appelle m'annoncant que c'est fini, qu'elle ne veut plus se prendre la tete, qu'elle est forte et indépendante, qu'elle n'a pas besoin de quelqu'un de possessif...
Evidemment, je plonge, toute la semaine je veux comprendre, textos, mails, msn... On s'appelle samedi (nous sommes lundi)... Je lui dis de nous laisser une chance que rien n'est grave mais elle dit que non qu'elle a pris sa décsion, rien à faire, je lui dis que je la laisse un peu réfléchir que j'attends, elle ne veut pas me faire attendre...
Depuis avant hier je pratique le silence radio, je suis perdu, paumé, je ne comprends pas ce qu'il y a eu de si grave, fais je bien? Aves vous des lumières à m'apporter? Mille fois merci. Qu'est ce que j'ai loupé dans cette histoire? J'ai fait ce qu'elle voulait qu'on fasse... Merci de m'aider, je suis dans le noir et dans la pluie, il pleut dehors et dedans moi, tous les jours, toutes les nuits... Que faire! Merci pour tout meme juste un petit coucou... Je sais que je suis très fleur bleue malgré mon grand age. Mais pourquoi bruler tout ce qu'elle a aimé en deux jours? Pourquoi nous saborder alors que rien n'est grave! Bises à toutes et à tous, en espérant ne pas vous avoir embêtés avec mon... histoire... José
Je suis José 47 ans bienôt, et visiblement toujours aussi pret à croire en l'amour comme un petit garcon, croire en tout et n'importe quoi..
Je me lance : il y a un peu plus de deux moi j'ai fait connaissance par une site de rencontres de Pascale. D'abord par msn, puis je suis allé la voir à 3 heures de voiture de chez moi...
Elle est, cela a son importance, mon opposée tout en étant lion comme moi. Elle introvertie, solitaire, taciturne, indépendante, pas romantique pour deux sous, froide, distante, sévère et austère. Moi, enjoué, rieur, taquin, extraverti, romantique à l'excès, bohème, artiste...
Donc j'etais prévenu! Malgré tout ca, ca a marché plein pot, pendant 6 semaines. A tous les niveaux, elle ; si fermée, m'a vite dit qu'elle m'aimait, que je lui manquais... et tout le toutim...
J'étais aux anges à cette époque là.
Comme c'est souvent le cas, le premier week end on a parlé de notre vie passée, amoureuse, et je pense qu'on s'est tout dit ou presque. Elle m'a parlé de son ex mari avec qui elle a de très bonnes relations, d'un ami qu'elle aidait car empêtré dans sa vie privée et dans son boulot, et un certain K. ami de longue date. Ce K. elle m'en a parlé juste comme d'un ami, qui passait son temps à passer d'un lit à l'autre, sans meme connaitre le prénom de ses partenaires. Jusque là, pas de problème, moi j'ai passé l'age mais je ne juge pas et tant mieux si c'est un bon ami.
Deux week ends plus tard elle m'a dit elle aussi etre tombée 2 ou trois fois dans ses bras, juste parce qu'elle en avait besoin et qu'il était là. pas de problème, ca arrive même si ca correspondait peu à ce qu'elle m'avait dit d'elle, je relève ce détail et aussi le fait que la première fois elle l'avait occulté, omission je suppose puisque pas important dans sa vie.
Je suis allé chez elle tous les week ends, et chose très importante qu'elle ne faisait jamais avant elle a décidé de me présenter ses enfants car elle croyait que nous c'etait important. Cela se passe très bien, ils m'adoptent et meme m'aiment, tout va bien.
Le 6 ème week end, une émission TV sur le sida lui fait me demander ou j'en étais à ce niveau là, je lui dis dernier test en janvier, tout va bien. Et je demande la meme chose... D'une facon très détachée elle me dit qu'à part avec K. elle s'etait toujours protégée.
Je reste un peu sonné pensant qu'il revient souvent et peu à peu dans la conversation. Je passe une mauvaise soirée et le week end se finit.
Puis toute la belle machine s'enraye ! Le fameux K. doit venir passer une soirée et nuit chez elle pour le dépanner, dix jours plus tard. Je lui fais part de ma souffrance mais pas de mon refus bien sur, ni meme de ma jalousie mais de mon mal etre, ca commencait à faire beaucoup... Tout en lui assurant que je lui faisais entièrement confiance, mais que pendant cette soirée là à 300 bornes je serai mal.
S'en suit une suite de mails un peu virulents, la veille du passage de K. mais pendant la soirée avec lui elle me rassure, on se téléphone tout va bien.
Le week end suivant elle me propose d'aller passer le week end chez elle comme d'hab, je lui dis qu'il faut qu'on oublie la "crise" concernant K. que je me calme et que je suis redevenu comme avant, aimant et confiant.
Le week end se passe mal, elle est froide, distante, me dit que c'est plus fort qu'elle, que ca va lui passer mais elle sait ni quand ni comment, qu'elle m'avait prévenu que c'est ca période "huitre"... Je suis triste mais je m'y fais... Que quelque chose s'était cassé à cause de moi.
Je ne reconnais pas ma Pascale...
Le week end qui suit c'est le pont de l'ascension, et on doit passer les quatre jours ensemble chez elle.
J'arrive jeudi soir, et moi frais comme un gardon, pensant que tout va bien, je repasse cette soirée et celle du vendredi avec une Pascale froide, distante, indifférente.
Le samedi matin je lui en fais part, elle comprend mon maletre, et d'un commun accord et dans les larmes nous décidons que je rentre chez moi, que c'est un mauvais passage, que je souffre de la voir si distante et qu'elle culpabilise de me voir souffrir ainsi. Toujours pas de dispute, on se quitte devant chez elle, je pleure abondamment et je lui dis que j'ai peur de ne plus la revoir (elle ne pleure jamais), mais je le concois, elle me rassure dans ses bras, me dit que ca va aller, qu'elle ne sait pas comment elle va se "rouvrir" mais que je ne sois pas inquiet, qu'elle m'aime, et qu'elle ne va pas ne plus m'aimer d'un coup tellement c'est rare chez elle....
Je finis le week end chez moi et là d'après ses dires, je deviens, intrusif, excessif, je la harcèle de textos... Je voulais moi juste savoir ou elle en était et etre rassuré...
Quelques mails mal interprétés et lundi elle m'appelle m'annoncant que c'est fini, qu'elle ne veut plus se prendre la tete, qu'elle est forte et indépendante, qu'elle n'a pas besoin de quelqu'un de possessif...
Evidemment, je plonge, toute la semaine je veux comprendre, textos, mails, msn... On s'appelle samedi (nous sommes lundi)... Je lui dis de nous laisser une chance que rien n'est grave mais elle dit que non qu'elle a pris sa décsion, rien à faire, je lui dis que je la laisse un peu réfléchir que j'attends, elle ne veut pas me faire attendre...
Depuis avant hier je pratique le silence radio, je suis perdu, paumé, je ne comprends pas ce qu'il y a eu de si grave, fais je bien? Aves vous des lumières à m'apporter? Mille fois merci. Qu'est ce que j'ai loupé dans cette histoire? J'ai fait ce qu'elle voulait qu'on fasse... Merci de m'aider, je suis dans le noir et dans la pluie, il pleut dehors et dedans moi, tous les jours, toutes les nuits... Que faire! Merci pour tout meme juste un petit coucou... Je sais que je suis très fleur bleue malgré mon grand age. Mais pourquoi bruler tout ce qu'elle a aimé en deux jours? Pourquoi nous saborder alors que rien n'est grave! Bises à toutes et à tous, en espérant ne pas vous avoir embêtés avec mon... histoire... José