- 22 avr. 2011, 19:01
#323533
Voilà,
Ici bas on vante les mérites du sacro-saint SR. Je ne sais pas si c'est la solution...
Je m'explique, séparé depuis 3 semaines. Une histoire de 2 ans. Plus jeune (21 ans), elle m'a quitté, avec malgré tout de l'amour, car elle voulait être seule, "profiter" un peu de sa jeunesse, ce qu'elle fait, la fêtarde...
Je suis passé par tous les états. Aujourd'hui ça va mieux, même si bien sûr, je pense constamment à elle. Mais j'ai des collègues vraiment top, je me change les idées, je vis!
On ne s'est plus trop donné de nouvelles. J'ai essayé ce fameux SR strict. Pas réussi.
Mardi soir, je craque, résolu à savoir si oui ou non, elle a quelqu'un, histoire de pouvoir me dire: "okay mon gars, t'es fixé, n'attends plus rien d'elle. Passe à autre chose!"
Je l'appelle. 45 min de conversation plutôt agréable. Ces 3 semaines m'ont permis de reprendre face à elle ma fierté, mon aisance, ma gouaille de gavroche!
Elle me dit qu'elle n'osait pas appeler, ni écrire, de peur de se faire violemment rembarrer.
Elle me parle de sa vie, de ses problèmes. Je fais de même.
Personne dans sa vie. Elle insiste pour savoir si j'ai couché avec d'autres filles.
Je lui dis (certains penseront que j'ai merdé) qu'elle me manque, que je pense à elle tous les jours. Elle fait de même.
Elle pleure, me déclare que je suis la seule personne à provoquer ça chez elle (elle, la bretonne, fière, têtue comme un bloc de granite).
Elle me dit qu'elle est bien dans cette situation (le célibat), puis ne sait plus, me déclare qu'elle est paumée... A certains moments, c'est sa voix de miel au téléphone qui prend le dessus (celle qu'elle a eu pendant 2 ans pour son mec, c.a.d moi).
On parle de tout et de rien. Je dois débarquer le 15 mai à Lannion (6 mois de stage, planifié avant la rupture), à 50 km de chez elle. Elle insiste une nouvelle fois sur le fait qu'elle a envie de me voir pendant cette période.
Je lui parle d'un saut chez elle pour récupérer mes affaires, elle me propose de me raccompagner ce soir là à Lannion avec mes affaires (je n'ai ni voiture, ni permis).
Je lui déclare que je ne pourrai pas devenir son "ami", trop de sentiments, une belle histoire commune. Elle opine et me dit de même. Voilà 45 min d'une conversation ma foi agréable.
Y avait cette complicité perdue, des rires, des émotions. Moi au top de ma forme (oui 3 semaines pour soi et rien que pour soi, ça fait du bien).
Alors voilà, je ne suis pas sûr qu'un SR striiiict soit vraiment indiqué dans ce cas. Garder contact, oui, mais en finesse, sans laisser paraitre cette attente d'amoureux transi qui avilit plus que tout. Elle connait tout à fait mes sentiments, mes souhaits...
Juste envie de la retrouver, mais avec la pêche!
Alors voilà, quelques avis, conseils seraient les bienvenus... De la finesse, me dis-je, de la finesse. Vivre pour soi et savoir être fin...
Ici bas on vante les mérites du sacro-saint SR. Je ne sais pas si c'est la solution...
Je m'explique, séparé depuis 3 semaines. Une histoire de 2 ans. Plus jeune (21 ans), elle m'a quitté, avec malgré tout de l'amour, car elle voulait être seule, "profiter" un peu de sa jeunesse, ce qu'elle fait, la fêtarde...
Je suis passé par tous les états. Aujourd'hui ça va mieux, même si bien sûr, je pense constamment à elle. Mais j'ai des collègues vraiment top, je me change les idées, je vis!
On ne s'est plus trop donné de nouvelles. J'ai essayé ce fameux SR strict. Pas réussi.
Mardi soir, je craque, résolu à savoir si oui ou non, elle a quelqu'un, histoire de pouvoir me dire: "okay mon gars, t'es fixé, n'attends plus rien d'elle. Passe à autre chose!"
Je l'appelle. 45 min de conversation plutôt agréable. Ces 3 semaines m'ont permis de reprendre face à elle ma fierté, mon aisance, ma gouaille de gavroche!
Elle me dit qu'elle n'osait pas appeler, ni écrire, de peur de se faire violemment rembarrer.
Elle me parle de sa vie, de ses problèmes. Je fais de même.
Personne dans sa vie. Elle insiste pour savoir si j'ai couché avec d'autres filles.
Je lui dis (certains penseront que j'ai merdé) qu'elle me manque, que je pense à elle tous les jours. Elle fait de même.
Elle pleure, me déclare que je suis la seule personne à provoquer ça chez elle (elle, la bretonne, fière, têtue comme un bloc de granite).
Elle me dit qu'elle est bien dans cette situation (le célibat), puis ne sait plus, me déclare qu'elle est paumée... A certains moments, c'est sa voix de miel au téléphone qui prend le dessus (celle qu'elle a eu pendant 2 ans pour son mec, c.a.d moi).
On parle de tout et de rien. Je dois débarquer le 15 mai à Lannion (6 mois de stage, planifié avant la rupture), à 50 km de chez elle. Elle insiste une nouvelle fois sur le fait qu'elle a envie de me voir pendant cette période.
Je lui parle d'un saut chez elle pour récupérer mes affaires, elle me propose de me raccompagner ce soir là à Lannion avec mes affaires (je n'ai ni voiture, ni permis).
Je lui déclare que je ne pourrai pas devenir son "ami", trop de sentiments, une belle histoire commune. Elle opine et me dit de même. Voilà 45 min d'une conversation ma foi agréable.
Y avait cette complicité perdue, des rires, des émotions. Moi au top de ma forme (oui 3 semaines pour soi et rien que pour soi, ça fait du bien).
Alors voilà, je ne suis pas sûr qu'un SR striiiict soit vraiment indiqué dans ce cas. Garder contact, oui, mais en finesse, sans laisser paraitre cette attente d'amoureux transi qui avilit plus que tout. Elle connait tout à fait mes sentiments, mes souhaits...
Juste envie de la retrouver, mais avec la pêche!
Alors voilà, quelques avis, conseils seraient les bienvenus... De la finesse, me dis-je, de la finesse. Vivre pour soi et savoir être fin...