- 30 janv. 2011, 15:34
#294386
Je l'ai connu sur un forum. Je suis mariée, j'ai deux enfants, il est marié, il a trois enfants. Echanges publics pour commencer, plaisanteries, rigolades. Et puis les rigolades se sont poursuivies en messages privés. Jusqu'à ce qu'il me dise être attiré par moi. Et comme je l'étais par lui, tout allait bien. Il m'explique son mariage, la distance avec son épouse, le schéma classique. Notre relation devient de plus en plus intime bien que virtuelle. Il veut quitter sa femme, il m'envoit la photo de ses enfants... bref, une euphorie totale. (classique me direz-vous avec un sourire cynique). Les déclarations d'amour pleuvent, les sms, les mails, les appels téléphoniques. On fixe une rencontre début décembre. La trouille au ventre que cela ne sonne le glas de notre histoire.
La rencontre est mitigée. Il est distant, parfois passionné mais incapable de tromper sa femme et très mal dans le mensonge. Nous n'échangerons que des baisers passionnés et des caresses. Le voyant totalement bloqué, je préfère écourter mon séjour. Mon départ semble le bouleverser, il pleure, il me serre contre lui. Je pars en lui expliquant que ce n'est qu'un au revoir, que je ne le rejette pas, il a simplement besoin d'un peu plus de temps et ce temps je le lui accorde. La semaine qui suit mon retour chez moi, il sera très pressant : mails, sms, etc... et arrive le week end.
Peu de nouvelles, distant... Le lundi c'est la douche froide. Il n'est plus celui qu'il était. et ça me fait mal. S'il préfère stopper notre histoire, je le comprends, mais il ne me donne aucune explication, il fuit. Fin décembre, je casse notre histoire. Deux jours après, il m'envoit un mail ratifiant ma décision. Mais depuis on n'arrive pas à rester longtemps sans s'écrire, mail ou sms. Je sais qu'il a pris sa décision à contrecoeur et que beaucoup de choses le poussent vers moi. Nerveusement je suis à cran, sous anti dépresseurs.
La réaction est peut être "surfaite" vu le peu de choses qui se sont réellement passées entre nous, mais je sens que c'est lui le nouvel homme de ma vie. Je ne suis tombée amoureuse que trois fois. Je n'arrive pas à tourner la page. Lui non plus. On se fait du mal, on est nuls dans nos vies respectives. Je ne sais pas si je dois espérer ou tout envoyer ballader (et encore si j'en ai la force). J'ai toujours compté sur le temps pour que cette histoire s'efface d'elle même. Mais ça fait un mois, et je me sens toujours aussi mal que le jour où j'ai tout arrêté.
voilà, fin du pavé grotesque. Je me deteste.
La rencontre est mitigée. Il est distant, parfois passionné mais incapable de tromper sa femme et très mal dans le mensonge. Nous n'échangerons que des baisers passionnés et des caresses. Le voyant totalement bloqué, je préfère écourter mon séjour. Mon départ semble le bouleverser, il pleure, il me serre contre lui. Je pars en lui expliquant que ce n'est qu'un au revoir, que je ne le rejette pas, il a simplement besoin d'un peu plus de temps et ce temps je le lui accorde. La semaine qui suit mon retour chez moi, il sera très pressant : mails, sms, etc... et arrive le week end.
Peu de nouvelles, distant... Le lundi c'est la douche froide. Il n'est plus celui qu'il était. et ça me fait mal. S'il préfère stopper notre histoire, je le comprends, mais il ne me donne aucune explication, il fuit. Fin décembre, je casse notre histoire. Deux jours après, il m'envoit un mail ratifiant ma décision. Mais depuis on n'arrive pas à rester longtemps sans s'écrire, mail ou sms. Je sais qu'il a pris sa décision à contrecoeur et que beaucoup de choses le poussent vers moi. Nerveusement je suis à cran, sous anti dépresseurs.
La réaction est peut être "surfaite" vu le peu de choses qui se sont réellement passées entre nous, mais je sens que c'est lui le nouvel homme de ma vie. Je ne suis tombée amoureuse que trois fois. Je n'arrive pas à tourner la page. Lui non plus. On se fait du mal, on est nuls dans nos vies respectives. Je ne sais pas si je dois espérer ou tout envoyer ballader (et encore si j'en ai la force). J'ai toujours compté sur le temps pour que cette histoire s'efface d'elle même. Mais ça fait un mois, et je me sens toujours aussi mal que le jour où j'ai tout arrêté.
voilà, fin du pavé grotesque. Je me deteste.