- 23 janv. 2011, 00:47
#292801
J'ai lu beaucoup de messages très désespérés ces derniers temps, soit de personnes qui ne savent plus du tout comment sortir de leur spirale malsaine de souffrance, soit de personnes qui se complaisent dans - voire créent - leurs douleurs avec un fort ascendant martyre tendance flagellant.
C'est moche, c'est triste, surtout qu'il existe quelques solutions simples, faciles et éprouvées pour sortir la tête de l'eau. (mais c'est pas miraculeux non plus, si elle vous permettent de remonter à la surface , elle vous feront pas sortir miraculeusement par lévitation de la piscine)
Expérience faite d'une bonne partie des trucs vraiment bien dégueulasses qu'offre cette vie, et y ayant non seulement survécu, mais, en plus, m'en étant tiré avec un sacré bénèf', je vous offre ici gratos et libre de tout copyright les meilleures techniques pour s'en sortir pas trop amoché (garanti testé et approuvé - rien de moins que sur moi même):
#1(unanimement!!) Cultiver la gratitude
LA meilleure solution, unanimement. Des centaines (milliers?) d'études, des dizaines de milliers de cas étudiés sous toutes les coutures: pour être heureux, soyons reconnaissants.
Ok, vous êtes largués et traversez un tourbillon d'émotions toutes plus désagréables les unes que les autres. Une simple notion peut pourtant contrebalancer le pire de ces souffrances: la gratitude.
Je sais, je sais. C'est pas ce qu'on a envie d'entendre. "Exprime ta colère!" "Venge-toi!" "Oublie ce connard/cette connasse!". Oh, ça soulage. Sur l'instant. Mais ça ancre aussi le traumatisme dans le cerveau, et donc la haine et la rancœur (largué et rancunier, c'est hyper sexy, ça!)
La gratitude c'est l'opposé de tout ça. C'est apprendre à dire merci de ce qu'on a eu, de ce qu'on a, et par là créer ce qu'on aura.
Exercice n°1: trouver trois raisons pour lesquelles cette rupture est une bonne chose
(Je suis sympa, je fournis les exemples:
- ça met un terme à cette situation de tension/d'attente (citation needed)
- je me sentais pas si heureux/se les derniers temps (citation needed)
- on accumulait des frustrations, j'étais agacé/e (citation needed)
- la communication, c'était plus ça, cette rupture me fait me sentir plus libre pour parler
- le sexe... c'était plus ça non plus (citation needed
)
non mais bon, c'est TON taff cher lecteur/trice)
Exercice n°2 (en phase colère): trouver trois souvenirs uniques qui font que c'était cette personne au bon moment au bon endroit.
(naaah, pas d'exemple!) Hum. (Bon, mais l'idée c'est pas la nostalgie, c'est la gratitude: lui/elle à ce moment de ma vie qui fait que... que je suis qui je suis devenu, par exemple!)
Exercice n°3: trouver trois bonnes raisons pourquoi c'est quand même sacrément agréable d'être célib' maintenant.
(et si je dis trainer dans sa robe de chambre en pilou rose sur le canap' - après un bain brûlant parfumé outrageusement cher par Lush - en ayant ramené la couette du pieu et se faire livrer une hénauuurme pizza puis se gaver de haribos devant l'intégrale de Lost le tout étalé sur 24 heures, je parle pas du tout d'expérience perso et je poursuivrait en justice toute personne y faisant allusion)
... plus à venir...
C'est moche, c'est triste, surtout qu'il existe quelques solutions simples, faciles et éprouvées pour sortir la tête de l'eau. (mais c'est pas miraculeux non plus, si elle vous permettent de remonter à la surface , elle vous feront pas sortir miraculeusement par lévitation de la piscine)
Expérience faite d'une bonne partie des trucs vraiment bien dégueulasses qu'offre cette vie, et y ayant non seulement survécu, mais, en plus, m'en étant tiré avec un sacré bénèf', je vous offre ici gratos et libre de tout copyright les meilleures techniques pour s'en sortir pas trop amoché (garanti testé et approuvé - rien de moins que sur moi même):
#1(unanimement!!) Cultiver la gratitude
LA meilleure solution, unanimement. Des centaines (milliers?) d'études, des dizaines de milliers de cas étudiés sous toutes les coutures: pour être heureux, soyons reconnaissants.
Ok, vous êtes largués et traversez un tourbillon d'émotions toutes plus désagréables les unes que les autres. Une simple notion peut pourtant contrebalancer le pire de ces souffrances: la gratitude.
Je sais, je sais. C'est pas ce qu'on a envie d'entendre. "Exprime ta colère!" "Venge-toi!" "Oublie ce connard/cette connasse!". Oh, ça soulage. Sur l'instant. Mais ça ancre aussi le traumatisme dans le cerveau, et donc la haine et la rancœur (largué et rancunier, c'est hyper sexy, ça!)
La gratitude c'est l'opposé de tout ça. C'est apprendre à dire merci de ce qu'on a eu, de ce qu'on a, et par là créer ce qu'on aura.
Exercice n°1: trouver trois raisons pour lesquelles cette rupture est une bonne chose
(Je suis sympa, je fournis les exemples:
- ça met un terme à cette situation de tension/d'attente (citation needed)
- je me sentais pas si heureux/se les derniers temps (citation needed)
- on accumulait des frustrations, j'étais agacé/e (citation needed)
- la communication, c'était plus ça, cette rupture me fait me sentir plus libre pour parler
- le sexe... c'était plus ça non plus (citation needed

non mais bon, c'est TON taff cher lecteur/trice)
Exercice n°2 (en phase colère): trouver trois souvenirs uniques qui font que c'était cette personne au bon moment au bon endroit.
(naaah, pas d'exemple!) Hum. (Bon, mais l'idée c'est pas la nostalgie, c'est la gratitude: lui/elle à ce moment de ma vie qui fait que... que je suis qui je suis devenu, par exemple!)
Exercice n°3: trouver trois bonnes raisons pourquoi c'est quand même sacrément agréable d'être célib' maintenant.
(et si je dis trainer dans sa robe de chambre en pilou rose sur le canap' - après un bain brûlant parfumé outrageusement cher par Lush - en ayant ramené la couette du pieu et se faire livrer une hénauuurme pizza puis se gaver de haribos devant l'intégrale de Lost le tout étalé sur 24 heures, je parle pas du tout d'expérience perso et je poursuivrait en justice toute personne y faisant allusion)
... plus à venir...