- 12 sept. 2010, 18:42
#259467
Bonsoir à tous et à toutes
Je poste ce soir après une réflexion qui m'est venue à l'esprit et que je voulais partager avec vous.
Cela va faire six jours que je n'ai plus parlé à mon ex. J'ai encore du mal à m'approprier ce mot. Ex, çà donne un mal de ventre pas possible. c'est toute la douleur condensée en deux minuscules lettres. et le X m'est tellement étranger...
Depuis le début de la rupture, j'ai décidé de me tenir à un SR strict et j'ai commis peu d'interdits. Je ne sais pas s'il me reviendra.
La question de mon post n'est pas vraiment là...
En fait depuis qu'on s'est quitté, je n'ai pas arrêté de pleurer. J'ai même été surprise par ma faculté à évacuer autant de larmes. Je n'avais en tout cas pas réalisé que cela m'affectait à ce point. Je suis passée par beaucoup de phases: haine, rancœur, incompréhension, torture mentale...
Puis je me suis posée et je me suis demandée: qui est ce que je pleure.
Est ce que je pleure vraiment mon ex?
Et là je me suis rendue compte que non....qu'en réalité l'évocation de la séparation entrainait avec elle beaucoup d'autres douleurs....j'ai immédiatement songé à l'avenir, à mon manque affectif, à mon enfance douloureuse etc etc
En fait j'ai réalisé au bout du compte que je ne le pleurais pas lui seulement...
Je me pleurais moi
J'ai réalisé donc que cette séparation est une blessure à plusieurs étages...
petite analyse:
lorsqu'on tombe amoureux, on est anesthésié...le monde est beau, on est plus tolérant, plus patient...en réalité quand on est amoureux, on est quelqu'un de meilleur..
je me suis demandée, pourquoi cela? Pourquoi être avec quelqu'un pour être quelqu'un de meilleur? Ne doit on pas pouvoir aussi savoir apprécier la vie seul?
Certes, pas facile...pour personne...
ce que je propose ce n'est pas une solution miracle
c'est juste de se poser et de se demander pourquoi on essaie pas aussi de se réaliser soi...de réaliser ses rêves, ses envies, de conquérir le monde, ses secrets....
En somme de grandir....
Cela n'enlève ni la peine, ni la volonté de reconquérir
je n'ai pas abdiqué...mais je veux prendre mon temps
le temps d'être seule, de réflechir, de devenir quelqu'un de meilleur sans lui...
Si dieu me l'a envoyé redorer ma vie, j'ai moi aussi le devoir de rendre l'autre heureux, et quand je dis l'autre, je parle de n'importe qui...
n'est ce pas mieux que de rester chez soi à broyer du noir? Faire du bien autour de soi, faire un don de soi un instant...
et aussi réflechir à sa vie, à ce que l'on veut....
autre idée pour ceux qui sont désespérés pendant le silence radio:
SOYEZ POSITIFS
attention, cela ne veut pas dire de rêver bêtement, non!
Mais dites vous que vous allez y arriver, garder en tête cette pensée positive tout en faisant du bien autour de vous et pour vous...
Marchez, faites du sport, lisez, aidez....
partagez maintenant que vous êtes seul la douleur du monde qui elle, existe avec ou sans vous
Je dis çà car je réalise qu'autour de moi, beaucoup de monde souffre...beaucoup
que certes, ma souffrance je ne dois pas l'ignorer, mais je peux m'élever aussi...
et ainsi devenir meilleure, plus sereine pour l'avenir
et surtout plus forte....
Hauts les cœurs tous et toutes
Je poste ce soir après une réflexion qui m'est venue à l'esprit et que je voulais partager avec vous.
Cela va faire six jours que je n'ai plus parlé à mon ex. J'ai encore du mal à m'approprier ce mot. Ex, çà donne un mal de ventre pas possible. c'est toute la douleur condensée en deux minuscules lettres. et le X m'est tellement étranger...
Depuis le début de la rupture, j'ai décidé de me tenir à un SR strict et j'ai commis peu d'interdits. Je ne sais pas s'il me reviendra.
La question de mon post n'est pas vraiment là...
En fait depuis qu'on s'est quitté, je n'ai pas arrêté de pleurer. J'ai même été surprise par ma faculté à évacuer autant de larmes. Je n'avais en tout cas pas réalisé que cela m'affectait à ce point. Je suis passée par beaucoup de phases: haine, rancœur, incompréhension, torture mentale...
Puis je me suis posée et je me suis demandée: qui est ce que je pleure.
Est ce que je pleure vraiment mon ex?
Et là je me suis rendue compte que non....qu'en réalité l'évocation de la séparation entrainait avec elle beaucoup d'autres douleurs....j'ai immédiatement songé à l'avenir, à mon manque affectif, à mon enfance douloureuse etc etc
En fait j'ai réalisé au bout du compte que je ne le pleurais pas lui seulement...
Je me pleurais moi
J'ai réalisé donc que cette séparation est une blessure à plusieurs étages...
petite analyse:
lorsqu'on tombe amoureux, on est anesthésié...le monde est beau, on est plus tolérant, plus patient...en réalité quand on est amoureux, on est quelqu'un de meilleur..
je me suis demandée, pourquoi cela? Pourquoi être avec quelqu'un pour être quelqu'un de meilleur? Ne doit on pas pouvoir aussi savoir apprécier la vie seul?
Certes, pas facile...pour personne...
ce que je propose ce n'est pas une solution miracle
c'est juste de se poser et de se demander pourquoi on essaie pas aussi de se réaliser soi...de réaliser ses rêves, ses envies, de conquérir le monde, ses secrets....
En somme de grandir....
Cela n'enlève ni la peine, ni la volonté de reconquérir
je n'ai pas abdiqué...mais je veux prendre mon temps
le temps d'être seule, de réflechir, de devenir quelqu'un de meilleur sans lui...
Si dieu me l'a envoyé redorer ma vie, j'ai moi aussi le devoir de rendre l'autre heureux, et quand je dis l'autre, je parle de n'importe qui...
n'est ce pas mieux que de rester chez soi à broyer du noir? Faire du bien autour de soi, faire un don de soi un instant...
et aussi réflechir à sa vie, à ce que l'on veut....
autre idée pour ceux qui sont désespérés pendant le silence radio:
SOYEZ POSITIFS
attention, cela ne veut pas dire de rêver bêtement, non!
Mais dites vous que vous allez y arriver, garder en tête cette pensée positive tout en faisant du bien autour de vous et pour vous...
Marchez, faites du sport, lisez, aidez....
partagez maintenant que vous êtes seul la douleur du monde qui elle, existe avec ou sans vous
Je dis çà car je réalise qu'autour de moi, beaucoup de monde souffre...beaucoup
que certes, ma souffrance je ne dois pas l'ignorer, mais je peux m'élever aussi...
et ainsi devenir meilleure, plus sereine pour l'avenir
et surtout plus forte....
Hauts les cœurs tous et toutes
