- 12 juil. 2010, 08:09
#240298
(Ou, le long roman pas tranquille...)
Je dis tout cela parce que j’ai moi aussi ma propre histoire, vécue comme tragique, bien sûr…
…
Mon histoire vient de se terminer (en fait, depuis un mois presque, mais ça me semble tellement être hier), après presque 8 mois d’une relation aussi forte que houleuse…
Je ne crois pas que ce soit « la bonne » (je n’y ai jamais vraiment cru, au fond), mais il y avait quelque chose de si beau en elle, entre nous, quand ce n’était pas houleux… Elle a voulu me convaincre que j’étais celui avec lequel elle voudrait finir sa vie… J’ai fini par y croire, tellement je vivais avec elle des choses si nouvelles et tellement importantes pour moi…
…
Mais, notre histoire était déjà compromise, depuis notre première rencontre, et je ne voulais pas l’admettre (je suis de nature optimiste et très patient, sans compter ma grande force passionnelle, car je porte haut les valeurs de la relation, de l’amour, et de La femme, celle que je cherche au plus profond de mon cœur…)
Elle disait se sentir incapable de mener une vie à deux, mais qu’elle avait peur de finir toute seule, sans existence, vide de sens (croyant que d’avoir un enfant était la réponse qui devait lui manquer – elle a 39 ans et n’a jamais eu d’enfant)…
Et puis, elle disait que je n’étais pas son genre, que je l’effrayais, par ma nature iconoclaste, d’électron libre, d’artiste marginal (parce qu’elle vient d’une bonne famille, juive, et soucieuse des apparences, du bien pensant et de la réussite)… Et c’est en même temps ce qui la fascinait…
Elle m’a fait languir un mois (on se voyait souvent, à sa demande), puis a finalement cédé l’air de rien (elle m’a invité à dormir avec elle, après une soirée home-cinéma, sans rien dire ni rien chercher, mais faisant la surprise quand j’ai fini par être entreprenant) ; elle m’a laissé faire, mais sans rendre aucun geste, et refusant de m’embrasser (elle a même pleuré alors)
Le lendemain, nous nous sommes promené ensemble ; elle me donnait la main, mais elle refusa que je l’embrasse (me rappelant que je n’étais pas son genre, mais que pourtant elle voyait dans mes yeux une profondeurs qu’elle n’avait jamais connu et qui la fascinait)…
On s’est revu, et peu à peu elle m’a désiré de toutes ses forces (mais fuyant entre deux instants, chaque fois, après m’avoir dit qu’elle était littéralement sous le charme comme ça lui arrivait trop rarement)…
Elle refusa encore longtemps de m’embrasser…
…
Deux semaines après, on passa un WE si merveilleux qu’elle me dit m’avoir au plus profond d’elle, complètement bouleversée, et garder en mémoire la force de mon regard… Elle m’a dit « je t’aime » alors qu’on nous faisons si merveilleusement l’amour…
…
Puis, sa famille est arrivée. Elle a pris panique et m’a rejeté. Elle m’a dit ensuite qu’elle serait toujours comme ça, et qu’il faudrait qu’elle ait la force de me quitter.
Je ne comprenais pas. Je ne suis pas du genre à baisser les bras, surtout quand je suis touché et que je tiens à quelqu’un. Nous avons poursuivis ainsi, mais nous retrouvant de plus en plus difficilement (parfois elle rêvait de mes bras, et d’autres fois elle refusait, de m’embrasser)…
…
J’ai décidé finalement de la quitter, un mois et 1/2 plus tard, sentant que je m’attachais trop à elle (je ne lui avais jamais dit je t’aime – c’est quelque chose de très rare chez moi)…
Elle a pleuré, on a fait l’amour. C’était pour moi un magnifique au revoir (un adieu, même si ça m’arrachait le cœur)… Mais, le lendemain, elle m’a appelé comme si nous ne nous étions jamais quitté, me disant combien elle se sent attaché à moi. J’ai aussitôt craqué, voyant là la preuve de son sentiment, la force de son amour pour moi…
…
Nous passions alors des WE magnifique ensemble (comme je n’en n’avais jamais partagé dans ma vie) ; je me sentais heureux…
Puis, elle a recommençait… me disant qu’elle n’éprouve rien, parfois, puis un amour complètement envahissant d’autre fois (que les moments de plein la transcendait, comme elle n’avait jamais connu ça, mais que les moments de vide passait par un total rejet et un absolu mépris de mes sentiments et de la douleur alors causée)…
J’ai essayé encore de partir, sur un coup de gueule, à de nombreuses reprises ; mais, à chaque fois, elle a pleuré et m’a supplié de rester (ou de revenir)…
Parfois elle s’écœurait. Parfois je l’écœurais.
…
Finalement, à force de m’investir, je me suis totalement attaché à elle (sans rien voir venir ni contrôler)…
Je dis tout cela parce que j’ai moi aussi ma propre histoire, vécue comme tragique, bien sûr…
…
Mon histoire vient de se terminer (en fait, depuis un mois presque, mais ça me semble tellement être hier), après presque 8 mois d’une relation aussi forte que houleuse…
Je ne crois pas que ce soit « la bonne » (je n’y ai jamais vraiment cru, au fond), mais il y avait quelque chose de si beau en elle, entre nous, quand ce n’était pas houleux… Elle a voulu me convaincre que j’étais celui avec lequel elle voudrait finir sa vie… J’ai fini par y croire, tellement je vivais avec elle des choses si nouvelles et tellement importantes pour moi…
…
Mais, notre histoire était déjà compromise, depuis notre première rencontre, et je ne voulais pas l’admettre (je suis de nature optimiste et très patient, sans compter ma grande force passionnelle, car je porte haut les valeurs de la relation, de l’amour, et de La femme, celle que je cherche au plus profond de mon cœur…)
Elle disait se sentir incapable de mener une vie à deux, mais qu’elle avait peur de finir toute seule, sans existence, vide de sens (croyant que d’avoir un enfant était la réponse qui devait lui manquer – elle a 39 ans et n’a jamais eu d’enfant)…
Et puis, elle disait que je n’étais pas son genre, que je l’effrayais, par ma nature iconoclaste, d’électron libre, d’artiste marginal (parce qu’elle vient d’une bonne famille, juive, et soucieuse des apparences, du bien pensant et de la réussite)… Et c’est en même temps ce qui la fascinait…
Elle m’a fait languir un mois (on se voyait souvent, à sa demande), puis a finalement cédé l’air de rien (elle m’a invité à dormir avec elle, après une soirée home-cinéma, sans rien dire ni rien chercher, mais faisant la surprise quand j’ai fini par être entreprenant) ; elle m’a laissé faire, mais sans rendre aucun geste, et refusant de m’embrasser (elle a même pleuré alors)
Le lendemain, nous nous sommes promené ensemble ; elle me donnait la main, mais elle refusa que je l’embrasse (me rappelant que je n’étais pas son genre, mais que pourtant elle voyait dans mes yeux une profondeurs qu’elle n’avait jamais connu et qui la fascinait)…
On s’est revu, et peu à peu elle m’a désiré de toutes ses forces (mais fuyant entre deux instants, chaque fois, après m’avoir dit qu’elle était littéralement sous le charme comme ça lui arrivait trop rarement)…
Elle refusa encore longtemps de m’embrasser…
…
Deux semaines après, on passa un WE si merveilleux qu’elle me dit m’avoir au plus profond d’elle, complètement bouleversée, et garder en mémoire la force de mon regard… Elle m’a dit « je t’aime » alors qu’on nous faisons si merveilleusement l’amour…
…
Puis, sa famille est arrivée. Elle a pris panique et m’a rejeté. Elle m’a dit ensuite qu’elle serait toujours comme ça, et qu’il faudrait qu’elle ait la force de me quitter.
Je ne comprenais pas. Je ne suis pas du genre à baisser les bras, surtout quand je suis touché et que je tiens à quelqu’un. Nous avons poursuivis ainsi, mais nous retrouvant de plus en plus difficilement (parfois elle rêvait de mes bras, et d’autres fois elle refusait, de m’embrasser)…
…
J’ai décidé finalement de la quitter, un mois et 1/2 plus tard, sentant que je m’attachais trop à elle (je ne lui avais jamais dit je t’aime – c’est quelque chose de très rare chez moi)…
Elle a pleuré, on a fait l’amour. C’était pour moi un magnifique au revoir (un adieu, même si ça m’arrachait le cœur)… Mais, le lendemain, elle m’a appelé comme si nous ne nous étions jamais quitté, me disant combien elle se sent attaché à moi. J’ai aussitôt craqué, voyant là la preuve de son sentiment, la force de son amour pour moi…
…
Nous passions alors des WE magnifique ensemble (comme je n’en n’avais jamais partagé dans ma vie) ; je me sentais heureux…
Puis, elle a recommençait… me disant qu’elle n’éprouve rien, parfois, puis un amour complètement envahissant d’autre fois (que les moments de plein la transcendait, comme elle n’avait jamais connu ça, mais que les moments de vide passait par un total rejet et un absolu mépris de mes sentiments et de la douleur alors causée)…
J’ai essayé encore de partir, sur un coup de gueule, à de nombreuses reprises ; mais, à chaque fois, elle a pleuré et m’a supplié de rester (ou de revenir)…
Parfois elle s’écœurait. Parfois je l’écœurais.
…
Finalement, à force de m’investir, je me suis totalement attaché à elle (sans rien voir venir ni contrôler)…