- 12 avr. 2010, 21:26
#216379
Bonjour, je me lance, donc...
Je rencontre X au premier de l'an. Craquage direct... Je me montre très directe, il répond de suite, slow très langoureux. Le lendemain, les choses se précisent, toujours en dansant d'ailleurs, mais cette fois dans mon salon avec lumières tamisées, pas pendant la grosse fête... Début d'un conte de fée pour moi. X est adorable, me prépare des petits plats, allume des feux de cheminée juste pour moi, me téléphone parce qu'il a "juste envie de me parler", m'envoie des sms, me tient par la main, me présente à ses amis, à ses collègues... M'invite à venir le voir jouer (X est musicien), je fonds sur mon siège quand il me cherche dans la salle en entrant sur scène et me fait un petit signe...
Nous parlons de tout de rien, rions beaucoup, sortons avec des amis. Sous la couette c'est festival... Et puis, imperceptiblement, X s'éloigne un peu, se montre moins disponible. Me pensant étouffante, je ne bronche pas et accepte la chose. Une semaine après le "début d'éloignement", X arrive chez moi, je lui trouve l'air soucieux. Il confirme et me dit qu'il veut qu'on parle de nous. En fait c'est un monologue, du genre très court : "je veux qu'on arrête". C'est mon coeur qui s'arrête alors de battre... Tout devient froid, aride. Je ne peux même pas pleurer. Je ne comprends tout simplement pas... Il me dit qu'il n'est pas amoureux. Ah, ben comment traite-t-il alors les filles quand il l'est, ça doit être un sacré truc... Je me blottis dans ses bras, il pleure un peu. Je lui demande de partir, le rappelle immédiatement parce que je ne peux pas le voir partir. Il me serre dans ses bras, m'embrasse et part finalement.
Le lendemain, je lui envoie un mail, lui disant que je ne comprends pas vraiment, que ce temps passé ensemble a été merveilleux, et lui liste ce que j'aime en lui, ce que j'aime faire avec lui. Il me répond que mon mail l'a beaucoup touché, qu'il ne se sent pas très bien lui non plus, me dit que je n'ai rien à me reprocher, que c'est lui qui est paumé dans sa tête, pas remis de son histoire précédente... Je lui réponds que je ne comprends pas (oui, je suis lente à la comprenette...) mais qu'il vaut mieux qu'on ne s'écrive plus, que c'est trop dur pour moi. Première tentative de SR....
J'enchaîne les sorties alcoolisées avec les potes. (interdit n°1) Au terme de l'une d'entre elles, après une semaine de SR, je traverse échevelée et en état d'ébriété avancé la ville en courant et sonne chez lui à 1H30 du matin (interdit n°2...). Il est là et réveillé (il y avait de la lumière...), me fait entrer, me serre dans ses bras et m'embrasse. Nous restons une heure dans son canapé, enlacés. Je lui demande s'il reviendra. Il me répond, doucement mais fermement, que non. Enchaîne en me disant qu'il va se rhabiller pour me ramener chez moi. Un prince, vous dis-je... Je refuse, je rentrerai à pied.
Quelques jours plus tard, je lui envoie une longue lettre, un peu vache, dans laquelle je lui dis, en substance, que je ne comprends pas sa conception de l'amour, qu'il cherche un absolu... Que non, de mon côté, je ne suis pas amoureuse d'une idéalisation de lui, qu'il y a des choses en lui que je n'aime pas. Je liste... Revenant d'un voyage professionnel une semaine plus tard, je trouve sa réponse dans ma boîte aux lettres. Un peu piqué par la liste de défauts (faut dire, c'était pas très smart...), il me redit qu'il est paumé mais ne reviendra pas sur sa décision. Je lui laisse un message sur son répondeur pour lui dire que je n'avais pas eu l'intention d'être blessante dans ma lettre, et que j'étais désolée de l'avoir été. Il me rappelle le lendemain. Nous sommes calmes, parlons 10 minutes et raccrochons. Le 2° SR débute. Deux semaines de SR total, de sorties avec des amis, et même de couchage d'une nuit avec un bel inconnu.
Et hier soir, je le vois à l'anniversaire d'une amie commune. Il m'avait prévenue par sms qu'il serait là, me disant que si ça me posait problème il ne viendrait pas. Je lui ai répondu (5 ou 6h plus tard...) qu'il fallait bien que ça arrive... Je reste digne pendant la soirée, mais je n'arrive pas à le regarder. Il me fait la bise, cherche mon regard. Finalement, l'alcool et le rire avec les potes aidant, j'arrive même à lui répondre posément 2 ou 3 fois quand il me parle (de choses anodines). Je finis la soirée complètement ivre, mais encore digne. Lui se sent de toute évidence merdeux, car il sait que si je picole comme ça, c'est à cause de lui... Il part assez rapidement. Là, je fonds en larmes dans les bras des potes, adorables. La nuit a été difficile. J'aborde le 3°SR...
Je rencontre X au premier de l'an. Craquage direct... Je me montre très directe, il répond de suite, slow très langoureux. Le lendemain, les choses se précisent, toujours en dansant d'ailleurs, mais cette fois dans mon salon avec lumières tamisées, pas pendant la grosse fête... Début d'un conte de fée pour moi. X est adorable, me prépare des petits plats, allume des feux de cheminée juste pour moi, me téléphone parce qu'il a "juste envie de me parler", m'envoie des sms, me tient par la main, me présente à ses amis, à ses collègues... M'invite à venir le voir jouer (X est musicien), je fonds sur mon siège quand il me cherche dans la salle en entrant sur scène et me fait un petit signe...
Nous parlons de tout de rien, rions beaucoup, sortons avec des amis. Sous la couette c'est festival... Et puis, imperceptiblement, X s'éloigne un peu, se montre moins disponible. Me pensant étouffante, je ne bronche pas et accepte la chose. Une semaine après le "début d'éloignement", X arrive chez moi, je lui trouve l'air soucieux. Il confirme et me dit qu'il veut qu'on parle de nous. En fait c'est un monologue, du genre très court : "je veux qu'on arrête". C'est mon coeur qui s'arrête alors de battre... Tout devient froid, aride. Je ne peux même pas pleurer. Je ne comprends tout simplement pas... Il me dit qu'il n'est pas amoureux. Ah, ben comment traite-t-il alors les filles quand il l'est, ça doit être un sacré truc... Je me blottis dans ses bras, il pleure un peu. Je lui demande de partir, le rappelle immédiatement parce que je ne peux pas le voir partir. Il me serre dans ses bras, m'embrasse et part finalement.
Le lendemain, je lui envoie un mail, lui disant que je ne comprends pas vraiment, que ce temps passé ensemble a été merveilleux, et lui liste ce que j'aime en lui, ce que j'aime faire avec lui. Il me répond que mon mail l'a beaucoup touché, qu'il ne se sent pas très bien lui non plus, me dit que je n'ai rien à me reprocher, que c'est lui qui est paumé dans sa tête, pas remis de son histoire précédente... Je lui réponds que je ne comprends pas (oui, je suis lente à la comprenette...) mais qu'il vaut mieux qu'on ne s'écrive plus, que c'est trop dur pour moi. Première tentative de SR....
J'enchaîne les sorties alcoolisées avec les potes. (interdit n°1) Au terme de l'une d'entre elles, après une semaine de SR, je traverse échevelée et en état d'ébriété avancé la ville en courant et sonne chez lui à 1H30 du matin (interdit n°2...). Il est là et réveillé (il y avait de la lumière...), me fait entrer, me serre dans ses bras et m'embrasse. Nous restons une heure dans son canapé, enlacés. Je lui demande s'il reviendra. Il me répond, doucement mais fermement, que non. Enchaîne en me disant qu'il va se rhabiller pour me ramener chez moi. Un prince, vous dis-je... Je refuse, je rentrerai à pied.
Quelques jours plus tard, je lui envoie une longue lettre, un peu vache, dans laquelle je lui dis, en substance, que je ne comprends pas sa conception de l'amour, qu'il cherche un absolu... Que non, de mon côté, je ne suis pas amoureuse d'une idéalisation de lui, qu'il y a des choses en lui que je n'aime pas. Je liste... Revenant d'un voyage professionnel une semaine plus tard, je trouve sa réponse dans ma boîte aux lettres. Un peu piqué par la liste de défauts (faut dire, c'était pas très smart...), il me redit qu'il est paumé mais ne reviendra pas sur sa décision. Je lui laisse un message sur son répondeur pour lui dire que je n'avais pas eu l'intention d'être blessante dans ma lettre, et que j'étais désolée de l'avoir été. Il me rappelle le lendemain. Nous sommes calmes, parlons 10 minutes et raccrochons. Le 2° SR débute. Deux semaines de SR total, de sorties avec des amis, et même de couchage d'une nuit avec un bel inconnu.
Et hier soir, je le vois à l'anniversaire d'une amie commune. Il m'avait prévenue par sms qu'il serait là, me disant que si ça me posait problème il ne viendrait pas. Je lui ai répondu (5 ou 6h plus tard...) qu'il fallait bien que ça arrive... Je reste digne pendant la soirée, mais je n'arrive pas à le regarder. Il me fait la bise, cherche mon regard. Finalement, l'alcool et le rire avec les potes aidant, j'arrive même à lui répondre posément 2 ou 3 fois quand il me parle (de choses anodines). Je finis la soirée complètement ivre, mais encore digne. Lui se sent de toute évidence merdeux, car il sait que si je picole comme ça, c'est à cause de lui... Il part assez rapidement. Là, je fonds en larmes dans les bras des potes, adorables. La nuit a été difficile. J'aborde le 3°SR...
Modifié en dernier par filleperdue le 18 avr. 2010, 18:43, modifié 1 fois.