Je confirme, il faut du clair, du solide, au risque que cela fasse mal.
Je me demande également quelle part de calcul, de compromis voire de "misérabilisme" (ça fait longtemps qu'on en n'avait pas parlé, les ancien[ne]s du forum s'en souviendront !

) avec soi-même, on est prêts à faire pour ne garder ne serait-ce qu'un semblant d'espoir ?
On gagne du temps, on ne tient compte que des seules informations
validant le modèle "à oeillères" que l'on a décidé d'adopter, on sacrifie sa liberté et le respect de soi-même en guettant des
bribes éventuelles d'inflexions potentielles (c'est ironique) de son...ex !
Alors soit, rien ne dit qu'il/elle ne va pas revenir dans 3 mois ou dans...10 ans. Mais qui est prêt à perdre son temps dans une époque où tout va vite et où il faut sans cesse s'adapter au contexte...pour survivre, au moins ?! Les "jeunes" peut-être, les "vieux" pas sûr. Je suis entre les deux, je ne veux plus perdre de temps avec la vérité nue qui me désole et ne me convient pas mais qui est ainsi !
PS : que personne ne voit dans mon post la dénonciation de telle ou telle histoire. C'est simplement une réflexion que je vous pose, étant passé par de tels compromis et un tel "misérabilisme". Et il vrai que lorsqu'on a la tête dans le guidon de son (ex-)histoire, on se ment très facilement. C'est humain, là-aussi ça s'appelle de la survie (mentale).
Bien à vous.