- 14 nov. 2010, 19:59
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Je viens de rentrer, la soirée à durée tout le weekend.
A mon arrivée vers midi, elle était la et me dis tiens tu es là... je la salut avec le sourire et je m’intègre dans les groupes. je finis même par oublier (c'est une façon de dire), sa présence, tout vas bien, j'avais peur de ne pas être à l'aise, mais je me sens bien. Gros apéritif, beaucoup de femmes viennent vers moi...si si...Je trouve agréable ces bouffées de sympathie, et cela me conforte.
Vers 15H30, c'est leur de passer à table, il y en a bien 40, elle viens vers moi, l'air de rien et me dit, bon tu t'assoie avec nous...A cette table il y a son compagnon et ces enfants.
Musique dance, je reste toujours dans une distance sympathique, ( laursab...), je ne l'épis même pas, je reste naturel et je ne me pose aucune question.
Au fur à mesures que le temps passe, je me rend compte, qu'ils ont surmontés leur brouille de la semaine dernière, elle relance visiblement son investissement avec son compagnon.
La je doute un peu, et je me dis, que si c'est ainsi et bien c'est son droit, et tout doucement le malaise passe.
Super ambiance avec les enfants, on rigole, on parle, c'est simple...Je ne suis pas stressés et j'oublie de nouveau sa présence.
La soirée continue et à partir de minuit, les gens commencent à partir, son compagnon viens me proposer de dormir ce soir, dans le studio que j'occupais avant, qu'il laisserait les clefs sur la porte.Je lui en parle et lui demande si cela ne l'a dérange pas. Pour elle pas de problème. C'est cool, pas besoins de gérer un retour dans la nuit, et je me détend encore plus.
A un moment, elle me demande de lui masser les pieds, je le fais avec plaisirs, mais elle ne reste pas trop longtemps, une musique l'envoie sur la piste. Plus tard je lui masse la nuque, et au bout d'un certain temps, elle me regarde et me dit, faut arrêter on nous regarde, et elle rajoute, mais c’était bien.
Entre temps, notre amis homo, me fais une confidence, en me faisant promettre de ne le garder pour moi, elle a failli refuser les cuissardes, car elle connait ma situation financière...
Son compagnon rentre et on se retrouve avec ses enfants, on s'amuse bien, et je reste toujours dans ma distance courtoise.
5 heures du matin, au dodo, j'arrive devant la porte du studio pas de clés, je la croise dans l'escalier, et nous voilà en train d'essayé plein de clés...pas la bonne, elle essaie de réveiller son compagnon, impossible...
Elle me propose donc le canapé, elle me donne une couverture, je suis fatigués et elle reviens avec un oreiller, et me dit c'est le mien, tu seras mieux. Oui c'est sur...
Réveil ce matin, son compagnon est déjà partis, je me lève le premier, et je plie tout comme il faut. Quand je sort de la salle de bain, elle sort de sa chambre.
Et nous passons la matinée tout les deux, doux dialogue, aucune allusion a nous, je parle de ma nouvelle organisation de vie, elle me parle un peu , elle écoute, on n'aborde pas le sujet de son compagnon, on se retrouve dans la même complicité du début de notre relation.
Un peu avant midi, je m’éclipse, et je me fais une petite promenade sous ce doux soleil. On se retrouve vers midi, pour la troisième mi temps...il y a une vingtaine de personne, que des très proches.
C'est en fait, un triple anniversaire et chacun a reformé un cercle plus restreint. Les circonstance font qu'on se retrouve face à face, et tout en gardant c'est douce distance, je sens bien qu'elle n'est plus dans le refus...comme les autres fois ou je l'ai vues. Je reste à ma place. Son compagnon part encore une fois, j'aide à ranger, et je lui propose de l'aider à décharger sa voiture, elle est me dis oui, merci, si tu as le temps.
On se retrouve de nouveau chez elle, elle essaie de remettre en place correctement des roses rouges offertes par son compagnon, pour son anniversaire, et elle se pique, elle ne peux s’empêcher de sourire et me montre son doigt, avec du sang ...
C'est elle qui parle plus maintenant, pas un mot sur la situation, on parle des gens et elle m'informe que les deux autres organisateurs de l'anniversaires ne souhaitaient pas trop ma présence. Je lui dis que si j'avais sus, je ne serez pas venue, elle me répond c'est pour ça que je ne t'ai rien dit.
Son compagnon arrive, je les saluts et je rentre chez moi.