Albane a écrit :
alors là si je savais.... hein théo on a le même spécimen de boulet....ou presque....
Oui.
Marrant, je lisais l'avant dernière page du post de Lola, et j'allais citer ton commentaire, Albane, sur le "je t'oublierai jamais" … Et puis hop, je vois mon nom écrit ici !
De mon côté, j'ai eu droit à des tas de jolies phrases comme ça. Et même à "je te laisserai jamais te barrer de ma vie". Sisisisisisisisisi, il l'a dit, le jour même de la rupture, et il l'a répété encore et encore.
Oui, bon. Mais il n'est pas revenu, et il est (du moins le supposé-je) toujours avec son prix Nobel de physique quantique.
Bon Lola, je vois que tu n'es pas dupe. Et Emmauelle non plus. Bravo, les filles. Seulement, faites attention : avec de telles petites phrases, et même avec n'importe quel contact "gentil" avec son ex on est toujours plus fragile qu'on croit — ou qu'on veut croire. Cela est très déstabilisant, car on est, malgré soi, amené à espérer vaguement dans le meilleur des cas, à se faire des films dans le pire des cas. Il faut beaucoup de temps pour tuer cette très importante part de nous qui l'aimait.
LES ACTES. Comme le dit Albane. Là, oui, on peut éventuellement envisager quelque chose. Si je trouvais M. Ex debout sur mon paillasson avec un bouquet de fleurs à la main (et un diam's de 1.000.000 de carats tant que j'y suis
), je prendrais le temps de réfléchir sérieusement à la situation. Sinon, à quoi bon ?
J'ai beaucoup aimé, sur un autre fil, l'expression de Sapias "
caresses narcissiques". Je n'avais pas formulé la chose aussi élégamment, ni aussi clairement, mais je crois que le comportement de nos ex procède, effectivement, de ce genre de motivation.
Avec aussi, sans doute, une forme d'attachement qui leur vient des années passées avec nous. Mettons platement cet attachement sur le compte de l'habitude, et prenons ce que la vie nous envoie, sans trop planifier quoi que ce soit.
On n'est pas là pour caresser narcissiquement du boulet. Surtout quand ils en ont une autre sous la main pour accomplir cette tâche héroïque.
Nous on
?)
