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MON HISTOIRE :
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Les lois de l’attraction.
- Drôle de façon de commencer un premier article. -
L’attraction est au cœur, à la racine de tout couple. “Force qui attire, qui fait qu’un corps en attire un autre”.
Nous nous sommes attirés l’un l’autre, peu être trop tôt, dans un tourbillon, qui nous fera partager le même lit, les mêmes projets, le même bonheur, la même peine, bref, la même vie.
Seize ans, quelle idée saugrenue de tomber sous l’attraction, attirés comme les trous noirs attirent tout ce qui les entourent à des milliards de kilomètres à la ronde.
Mais me voilà, dix-neuf ans. Seul.
- Attend qu’est-ce que tu racontes, et les trois ans, on veut savoir, nous ! -
C’est vrai, il y a eu ces trois ans, trois ans d’épanouissement de soi, de bonheur et d’attraction. On avait notre “bulle”. Des hauts, des bas. Des certitudes, des doutes. Mais toujours cette attraction. Je ne suis pas un garçon jaloux, envahissant, asphyxiant. Je laisse vivre, fais confiance. Je veux dire, c’est la base. Ne pas s’enfermer dans le couple, s’amuser avec ses ami(e)s, accepter ça c’est accepter une relation qui durera longtemps, car libre, dans les limites du couple, il s’entend.
- Mais alors qu’est-il arrivé ? -
Une chose après l’autre, s’il te plait, j’étais sa première relation “longue durée”, de mon côté j’avais déjà vécu plusieurs relations de ce type, même si elles n’avaient déjà dépassé l’année. Nous ne vivions pas ensemble, nous nous voyions que les weekend, la semaine, elle est en internat, pour son BTS.
- Aller, viens-en au fait ! -
Ce blog sera basé sur mon histoire, comment veux-tu que les gens comprennent, si je ne pose pas des bases solides ? Bon, reprenons : ces derniers mois se sont globalement très bien passés. Nous avions des petites habitudes, forcement, après trois ans. On avait une étrange attirance pour les films d’horreur, surtout d’esprits. Elle me demandait toujours des massages, pour entretenir son joli dos, et je râlais, souvent, alors qu’au fond j’adorais ça aussi, la voir détendue, heureuse de ce petit plaisir. Ah oui, j’allais oublié, on aimait bien faire des gâteaux, c’était facile, elle me disais quoi faire, je le faisais, puis une fois le mélange transvasé dans le moule, je lapais le plat comme un chaton, c’était super !
- Mais .. -
J’y viens, j’y viens. Nous avions passé le weekend du 11 novembre ensembles, un super weekend, on aura dormis 2 soirs de suite ensembles, pris notre douche à deux, s’être câlinés, bisoutés, aimés. Lorsque je suis parti de chez elle lundi soir, avec notre petit rituel du bisou sur le palier de la porte, puis les bisous volant tout le long du chemin jusqu’à ma voiture, en la regardant me voir partir, le rituel qui veut dire “à la semaine prochaine, tu me manques déjà”. on peut dire que ce jour là, j’été loin de me douter que le lendemain, j’aurais la pire des surprises qu’il m’avait été donné de vivre.
- Attend, quoi ? Ça fini mal ? -
"Maman disais toujours : la vie c’est comme une boite de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber" disait Forest Gump, dans le film éponyme. Elle était bien plus que ma “copine”, elle était l’épaule sur laquelle je pouvait me reposer, ma confidente, ma meilleure amie, on se disait tout, on parlait de tout ..
- Tu recules là ! On veut savoir ce qui c’est passé le lendemain ! -
" […] Je peux plus continuer, je suis vraiment désolé, c’est pas de ta faute c’est de la mienne, on est encore jeunes et j’ai besoin de profiter de ma jeunesse […] Je t’aime encore mais ça suffit plus […] Je sais que t’arrivera pas à comprendre pourquoi je gâche 3 ans de couple et je sais que je te brise le cœur, ça fait des mois que j’y pense mais j’y arrivais pas parce que je t’aime toujours […] Il fallait que je le fasse […] J’aurais fini par te faire souffrir à l’avenir […] J’espère que tu me pardonneras un jour et que tu passeras à autre chose […] "
Fin de l’histoire, attraction insuffisante.
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