- 08 août 2013, 23:07
#732625
Conversation complète avec mon ex suite au lapin qu'elle m'a posé :
Elle : 8.08.2013 – 18h40.
J’ai descendu ma chienne à 17h25 et je n’ai vu personne. Samedi 10 août entre 17h et 17h30. En bas de chez moi, dehors.
Moi : 8.08.2013 – 18h51.
Je ne serais pas là. J’ai regardé partout personne. J’étais présent de 17h10 à 17h45. Tu n’as pas répondu au téléphone. Tu as une voiture, et tu ne fais rien de particulier, tu ne peux te déplacer ? Au pire je verrais directement avec Philippe si tu es occcupé.
Elle : 8.08.2013 – 19h07.
Ce n’est pas possible, je promenais Vénus. Je ne fais rien de particulier ? Qu’en sais-tu ? Tu connais mon quotidien par cœur pour affirmer ça ? Et ce n’est pas Philippe mais monsieur Clatot s’il te plait. De plus la gendarme a dit que tu devait venir avec ton père, donc tu peux vent dimanche.
Moi : 8.08.2013 – 19h12.
J’étais accompagné. Tu as pour habitude de faire Oissel, Grand Quevilly, ce qui te fait plus de trajet. Et comme tu le dis tu es à présent disponible. Je ne suis pas à disposition durant tes dates. Je verrais les disponibilités de monsieur Clatot directement ou de Madame Amelin.
Elle : 8.08.2013 – 19h15.
Je n’ai pas vu la voiture de ton père quand je promenais mon chien et je ne t’ai pas vu toi. Qu’est-ce que t’en sais que je fais Oissel-Grand Quevilly ?
Elle : 8.08.2013 – 19h25.
Oooh ma question te gènes, bizarre… Je ne débourserai pas un centime pour TES affaires, tu as été capable de te bouger pour me les rendre, tu es donc capable de venir les récupérer. De plus, je n’ai jamais dit que j’étais disponible… Et puis si tu étais réellement en bas, pourquoi ne pas avoir sonné ? J’ai un interphone mais je ne t’apprends rien. Donc dimanche après-midi, parfait !
Moi : 8.08.2013 – 19h36.
Excuse moi de pas te répondre du tac au tac. Après tout, cela fait bien longtemps que tu ne réponds plus. Arrête de faire comme si on a avait pas été ensemble. Enterre la hache de guerre s’il te plait. Deux ans que je te connais, il était évident que tu te tournerais vers tes anciens amis. Certes, j’ai abusé quand on a rompu, mais j’étais malade, perdre la personne à qui je tenais le plus m’a fait tourné zinzin. Mais je ne cherche pas à te nuire. Je n’ai jamais eu l’intention de dénoncer ta sœur pour sa drogue ou toi pour ton bac. Ce serait bien de pouvoir parler tranquillement, on est pas des inconnus. Si tu es heureuse maintenant tant mieux. Mais arrête de croire que je suis un monstre. Je ne suis pas disponible les jours qui viennent. Les membres de ta famille eux, seront là, je verrais avec eux.
Elle : 8.08.2013 – 19h44.
Oui tu as abusé et tu abuses toujours, ma question te gènes parce que tu m’espionnes encore et encore. Et qu’est-ce que t’en sais qu’ils seront là ?
Elle : 8.08.2013 – 19h44.
Comment peux-tu parler avec autant d’assurance de mon quotidien ?
Moi : 8.08.2013 – 19h47.
Non, je n’abuse pas et je ne t’espionne pas, arrête de t’imaginer des choses. J’ai d’autres choses en tête que ta vie. J’ai arrêté les conneries le jour où j’ai reçu les sms de menace de mort venant de ton mobile. J’en sais rien pour l’emploi du temps de tes parents, je verrais directement avec eux.
Elle : 8.08.2013 – 19h48.
Je t’ai juste dit « Vas te pendre ». Arrête d’enveminer la chose, ce que tu m’as fait c’est mille fois pire. Donc comment peux-tu parler avec autant d’assurance de mon quotidien ?
Moi : 8.08.2013 – 19h49.
Parce que t’oublis qu’on a été en couple et que je te connaissais (à fortiori je ne me trompe pas). La psychologue m’a aidé à y voir clair sur beaucoup de choses.
Elle : 8.08.2013 – 19h48.
Non non, tu ne me connais pas. Donc comment sais-tu que je travailles à Saint Julien ?
Moi : 8.08.2013 – 19h50.
Qu’est-ce que je t’ai fait Alex ? Pour une fois qu’on peut discuter. Enfin pour une fois que t’as pas en fasse un gros con.
Elle : 8.08.2013 – 19h51.
Il faut arrêter de m’espionner, de mater ce qu’il y a dans ma bagnole, de te renseigner avec qui je suis et où je suis. Arrête ! Et moi c’est Alexandra.
Moi : 8.08.2013 – 19h52.
Biensûr que je te connais. Parce que tu ne travail pas rive droite. Je te rappel que j’ai fait la bêtise du mail du CHU.
Elle : 8.08.2013 – 19h52.
T’es malade, on ne peut pas discuter avec toi.
Moi : 8.08.2013 – 19h53.
Je n’ai jamais regardé dans ta voiture, pourquoi tu sors ça ? biensur qu’on peut discuter, mais si tu t’imagines des faits, on est pas sorti.
Elle : 8.08.2013 – 19h55.
J’aurais pû être muter à bois-guillaume, à Rouen à Oissel (qui est rive gauche), alors comment sais-tu toutes ces choses là ? Bien sur tu m’a dit qu’il y avait mon chapeau de paille quand tu étais en vas de chez moi et tu as vu Jérôme pour un dvd.. Et tu as sorti « Chrétien mon cul » par ce que j’ai un chapelet accroché à mon rétro intérieur. T’es encore et toujours malade. Bon courage.
Moi : 8.08.2013 – 20h00.
J’en sais rien. Ton chapellet tu l’as toujours eu dans ta voiture. Ton chapeau, je suppose que tu mets ça sur ta tête c’est tout. Bref, pour une fois que tu es joignable que t’ai-je fait « d’horrible » ? C’est franchement pénible que tu te fasses encore des films sur moi, mais si tu veux bien te mentir à toi-même, ça te regarde, ce n’est pas mon problème.
Elle : 8.08.2013 – 19h55.
Si tu m’espionnes, mais bon moi jm’en tape, je ne perds pas mon temps.
Elle : 8.08.2013 – 19h55.
Je ne veux pas être mon amie donc oublis-moi. Les affaires que tu m’as donné, tu pourras les récupérer dimanche avec ton père.
Moi : 8.08.2013 – 20h04.
Non je suis désolé, je ne t’espionne pas (réfléchit on est pas au cinéma), je suis trop occupé pour ce genre d’enfantillage, et je ne vois pas l’intérêt. Pour les affaires, j’appellerais ton père en début d’après midi. S’il n’est pas joignable, je verrais directement avec la gendarmerie. Ils m’ont conseiller de ne pas porter de plainte contre toi, mais ton manque de volonté est désarment.
Elle : 8.08.2013 – 19h55.
Un manque de volonté ? Tu n’étais pas là aujourd’hui… Tu n’as même pas sonné.
Moi : 8.08.2013 – 20h07.
Je n’ai pas réclamé à être ton ami, je n’ai rien réclamé du tout, tu es devenu parano. Tu m’accuses de t’avoir fait du mal, et tu ne dis pas quoi. Tu es persuadée d’être espionnée. Je t’en veux pas d’avoir profité de moi, t’as un beau diplôme, une armoire pleine. Je n’ai aucun animosité.
Moi : 8.08.2013 – 20h08.
Aujourd’hui, j’avais rendez-vous entre 17h-17h30 dehors, voiture absente, je n’ai pas bougé de la porte, croisé deux voisines, et des jeunes en motos, ce ne sont pas les témoins qui manquent.
Elle : 8.08.2013 – 20h09.
Ce n’est pas ce que tu disais dans tes lettres bref. On ne s’éloigne pas du sujet. Donc tu m’envoies des SMS pour TES affaires. Quelles sont tes disponibilités ? Puisque visiblement aujourd’hui tu étais occupé.
Moi : 8.08.2013 – 20h19.
La lettre réalisé avec ma psychologue était une lettre de deuil, pour demander pardon, assumer mes responsabilités. Depuis qu’on s’est quitté, j’ai vécu des horreurs. J’aurais aimé que la seule personne que j’appréciais m’aide à traverser ce moment difficile. Je vis très mal la rupture dans le sens où je vais de l’avant et tu continu à te sentir menacée. Que tu me dis pas ce que j’ai fait de mal, alors que ce n’est pas le cas, ou en tout cas, tu as jamais dit quoi. Dans le sens où tu nies ce qu’on a vécu. Et que tu n’acceptes pas que tu me quitte a été une vraie souffrance qui m’a fait dépasser les limites. Je rêve qu’on fasse la paix, c’est tout. Nous deux c’était vrai. Arrête de me prendre pour un méchant pour te donner confiance dans ta décision. Je ne sais pas comment tu as pû oublier deux ans, je t’envie, t’as de la chance. Je t’espionne pas, je rentre pas en contacte avec toi, je ne vois personne, et j’ai pas l’attention de voir quelqu’un. Si tu es heureuse, je suis content pour toi. Si tu retrouves quelqu’un avec qui être aussi complice, je suis content pour toi. Je suis disponible maintenant à Boos ou demain uniquement.
Elle : 8.08.2013 – 20h21.
Je ne suis pas disponible, je travaille.
Moi : 8.08.2013 – 20h29.
Il y a un moment où tu rentres chez toi. Je verrais avec ton père demain. Je ne suis pas obligé de te voir. Visiblement, tu ne réponds pas à mon envie de paix, on va donc se bouffer le nez à vie ? Juste parce que t’es persuadée que je veux te nuire. Sérieusement Alex, ouvre les yeux, tu avais une belle vie (avec ou sans moi), un bel avenir (avec ou sans moi). Tu vas pas me dire que tu es joyeuse 24h/24 (ou file ton secret). Reprends-toi.
Elle : 8.08.2013 – 20h21.
C’est parce que tu me saoules encore. Bref, tu n’étais pas là tout à l’heure, tu viendras les chercher avec ton père.