Ahahah !
J'en suis à 2 mois de rupture + 2 jours et à 5 semaines de SR (avec quelques communications pour qu'elle vienne récupérer ses affaires). J'ai culpabilisé d'en arriver si vite là, mais finalement, tant mieux. On respire.
Si je dois apporter mes ressentis personnels :
- La dévastation c'est la douleur à l'état pur. J'ai même songé à me flinguer.
- Le sevrage est terrible, j'avais le corps en flamme qui la réclamait, on pense qu'un petit coup de caresses sur le sexe suffit, il n'en est absolument rien. On rêve de sexe avec elle, notre peau la désire et on sent parfois son goût sur nos lèvre. Et ça n'a rien d'agréable parce qu'on se dit qu'on ne l'aura plus jamais.
- J'ai fait beaucoup de Cha-cha-cha entre l'intériorisation et la rage. Mes complexes sur le poids ont largement alimenté mes doutes sur mon pouvoir de séduction et ont dû maintenir cette phase active longtemps. (Bon, même avec 16 kilos en moins, je reste obèse, mais je sais que ça va changer, et je sais que mon bagou fera le reste

) Ca a été de loin les 2 phases qui ont duré le plus longtemps.
- Je l'ai déjà dit mais je le répète : Dans la rage, il y a aussi de la colère. J'ai fantasmé sur le fait d'être violent envers elle (et Dieu sait si je suis doux et calme), j'ai voulu très fort que son next, si elle en avait un, la trompe et la fasse souffrir. J'ai alimenté cette colère par le souvenir de la rupture, et jusqu'à aujourd'hui j'en garde un peu de trace (c'est ce qui me fait penser que ce sera compliqué que je lui laisse un chance de revenir, parce que oui, le relèvement, c'est aussi quand on pense que l'ex est perdante dans l'histoire...)
Voilà voilà.
Quant à ces dames, je crois bien qu'en ce moment, mon coeur se languit de quelqu'un (eh oui déjà - mais a priori je vais me faire éjecter), désolé
