- 14 janv. 2019, 20:50
#1296755
En rentrant du boulot, je suis allé voir mes voisins (ça fait plus d'une semaine que je voulais y aller, mais je ne trouvais pas le courage). Un couple très sympa qui est passé par la PMA et qui est dans une association de soutien.
Je suis allé les voir pour avoir les coordonnées de l'association, et savoir si elle ne connaissait pas un psy qui pourrait m'accompagner dans ma démarche.
Elle m'a indiqué qu'elle avait discuté avec mon ex, et qu'elle était au courante de notre situation. J'ai été très surpris, et du coup on a été amené à discuter un petit peu de mes derniers mois, sans concession.
Cette conversation m'a fait beaucoup de bien. Elle m'a répété de ne pas compter sur son retour, car une femme ne reviendra jamais. Mais surtout, si elle revenait un jour, les choses seraient totalement différentes, et que je ne pourrai jamais oublier le fait qu'elle soit partie pour un autre. Ça m'a rappelé une ancienne relation où l'infidélité était de rigueur, et je ne peux que le confirmer : on oublie jamais.
Elle m'a expliqué son ressenti sur les difficultés de grossesse. Pour une femme, c'est souvent bien plus compliqué que pour un homme (quoi que...). Le fait que je m'autodétruise suite à nos échecs ont ajouté une bonne dose de pression à mon ex, et je n'ai qu'accentuer sa souffrance. Ils m'ont expliqué que leur couple avait, lui aussi, failli rester dans cette épreuve.
Ils ont fini par me dire que je semblais avoir une grande force mentale et qu'il voyait une forte volonté d'aller de l'avant malgré l'épreuve.
Elle a fini par me raconter son expérience : à 35 ans, elle s'est fait larguer par un homme alors qu'ils étaient dans le processus. Ce dernier, par erreur, lui a envoyé un faire part de naissance quelques mois après. Elle a pris le temps de se reconstruire, puis à rencontrer mon voisin avec qui ils ont eu de beaux enfants (avec suivi). C'est tout bête, mais à 32 ans, ça m'a rassuré sur certaines de mes craintes.
Bref, cette conversation m'a fait beaucoup de bien, et j'ai voulu l'exprimer.
Je suis allé les voir pour avoir les coordonnées de l'association, et savoir si elle ne connaissait pas un psy qui pourrait m'accompagner dans ma démarche.
Elle m'a indiqué qu'elle avait discuté avec mon ex, et qu'elle était au courante de notre situation. J'ai été très surpris, et du coup on a été amené à discuter un petit peu de mes derniers mois, sans concession.
Cette conversation m'a fait beaucoup de bien. Elle m'a répété de ne pas compter sur son retour, car une femme ne reviendra jamais. Mais surtout, si elle revenait un jour, les choses seraient totalement différentes, et que je ne pourrai jamais oublier le fait qu'elle soit partie pour un autre. Ça m'a rappelé une ancienne relation où l'infidélité était de rigueur, et je ne peux que le confirmer : on oublie jamais.
Elle m'a expliqué son ressenti sur les difficultés de grossesse. Pour une femme, c'est souvent bien plus compliqué que pour un homme (quoi que...). Le fait que je m'autodétruise suite à nos échecs ont ajouté une bonne dose de pression à mon ex, et je n'ai qu'accentuer sa souffrance. Ils m'ont expliqué que leur couple avait, lui aussi, failli rester dans cette épreuve.
Ils ont fini par me dire que je semblais avoir une grande force mentale et qu'il voyait une forte volonté d'aller de l'avant malgré l'épreuve.
Elle a fini par me raconter son expérience : à 35 ans, elle s'est fait larguer par un homme alors qu'ils étaient dans le processus. Ce dernier, par erreur, lui a envoyé un faire part de naissance quelques mois après. Elle a pris le temps de se reconstruire, puis à rencontrer mon voisin avec qui ils ont eu de beaux enfants (avec suivi). C'est tout bête, mais à 32 ans, ça m'a rassuré sur certaines de mes craintes.
Bref, cette conversation m'a fait beaucoup de bien, et j'ai voulu l'exprimer.