Aller au contenu

Le retour de la cheffe Juju-7 mois de galère, et...


Elieza

Messages recommandés

  • Réponses 1.6 k
  • Créé
  • Dernière réponse

Meilleurs contributeurs dans ce sujet

Meilleurs contributeurs dans ce sujet

Oui c'est sur, beaucoup d'agressivité, beaucoup de choses refoulées, ca épuise quelque part et puis parfois plus envie de se battre...

Mais il ne faut pas se laisser glisser dans la tristesse, ca s'arrangera avec le temps et l'acceptation surement...

En attendant la vie est courte, il faut en profiter car nous avons quand meme cette chance, c'est dêtre toujours vivantes: concues pour durer, programmées pour résister..

Il y a des personnes qui choisissent de nous laisser et ce matin je pense a celle qui ont du nous laisser sans avoir le choix

Le bonheur n'est pas au bout du chemin, le bonheur c' est le chemin!
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Oui la première partie de ma phrase faisait reference a nos ex qui ont choisit de nous laisser, dans la deusième partie, ceux qui ont du nous laisser, je parlai des personne qui n'ont pas eu le choix, en réalité je pensais a mon père qui est décédé il y a quelques mois
Le bonheur n'est pas au bout du chemin, le bonheur c' est le chemin!
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je me sens différente. Dure. Cassante. J'ai en moi une espèce d'agressivité latente insupportable (y'a qu'a me voir en voiture, a baffer la nana).

Ca m'épuise psychologiquement, de me battre avec cette violence sourde.

 

Je vois tout à fait ce dont tu parles.


Cette agressivité qu'on est obligée de refouler parce qu'elle s'adresse en fait à une personne qu'on aime, ou qu'on a aimée.

Alors, on refoule, soit pour rester digne, soit parce que, au fond du fond de nous, on laisse une minuscule porte entrouverte en espérant que l'autre se rendra compte du mal qu'il a fait.


Cette agressivité qu'on refoule et qui nous mange de l'intérieur, c'est ce que raconte mon Oncle d'Amérique (un film d'Alain Resnais)


Tu vois, moi, ce matin, je me suis mise à pleurer, aussi dans la voiture, en m'imaginant dire à mon ex quelque chose comme "ce qui me bouleverse, ce n'est pas ton mensonge, c'est que je ne puisse plus te croire"... parce que, vois-tu, ce qui me bouleverse, ce n'est pas tant que tu m'aies remplacée aussi vite, ce ne sont pas ces gestes que tu as faits avec cette autre qui t'a quittée, c'est que tu oses me demander aujourd'hui si mes petits vont bien, alors que tu les as chassés d'une maison où tu disais qu'ils devaient se sentir chez eux, que presque, tu nous as fait passer pour des mendiants quand il a fallu demander l'aval de tes propres enfants, alors que ce que pouvaient penser mes petits de tout ça, eux qui parlaient de toi en disant "notre beau père", eux que leur père a abandonnés, tu n'y pensais pas pendant que tu bai... ais une autre femme que leur mère...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je me sens différente. Dure. Cassante. J'ai en moi une espèce d'agressivité latente insupportable (y'a qu'a me voir en voiture, a baffer la nana).

Ca m'épuise psychologiquement, de me battre avec cette violence sourde.

 

Je vois tout à fait ce dont tu parles.



Cette agressivité qu'on refoule et qui nous mange de l'intérieur, c'est ce que raconte mon Oncle d'Amérique (un film d'Alain Resnais)

 

 

On m'a fait hier une réflexion, sur le moment je n'ai pas percuté, mais ca prend du sens en fait. Un ami m'a dit (on mangeait ensemble) : "je ne sais pas comment tu fais pour être si mince avec tout ce que tu avales".

Et bien j'ai la réponse je crois. Je me fait manger de l'intérieur, j'héberge un espèce de truc qui me bouffe, de l'intérieur.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ce que je refoule aussi, c'est de ne pas pouvoir lui dire "tu vois, quand tu m'as photographiée, quand j'entourais de mes bras ce bébé qui est ton petit fils, quand j'ai retrouvé les gestes que je faisais avec mes propres petits, il n'y a pas si longtemps, et quand je le faisais, je sais que tu m'a photographiée en pensant que ce bébé, était un peu de toi, et que tu regrettais celui que nous n'aurions pas ensemble".


Parce que ça, je ne l'invente pas.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

On m'a fait hier une réflexion, sur le moment je n'ai pas percuté, mais ca prend du sens en fait. Un ami m'a dit (on mangeait ensemble) : "je ne sais pas comment tu fais pour être si mince avec tout ce que tu avales".

Et bien j'ai la réponse je crois. Je me fait manger de l'intérieur, j'héberge un espèce de truc qui me bouffe, de l'intérieur.

 

Pareil... je suis mince

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

Articles du blog en lien avec ce sujet

×
×
  • Créer...